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Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle . vol.98 n°4 5Mention de date : octobre 2017Paru le : 01/10/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierAngioscanner corps entier multi-temps en vue d’un prélèvement multi-organes chez les patients en mort encéphalique clinique : apports et impact en pratique clinique / A. Tache in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Angioscanner corps entier multi-temps en vue d’un prélèvement multi-organes chez les patients en mort encéphalique clinique : apports et impact en pratique clinique [revue] / A. Tache, Auteur ; N. Badet, Auteur ; A. Azizi, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.185-194.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.185-194
Mots-clés : angio-scanner
mort cérébrale
prélèvement d'organes et de tissusRésumé : Objectifs : Évaluer au travers d’une étude rétrospective, l’impact de la réalisation d’un angioscanner corps entier multi-temps pour la mise en évidence des contre-indications (CI) au prélèvement multi-organes (PMO) et dans l’amélioration de la stratégie pré-chirurgicale des prélèvements.
Patients et méthodes : Cent-onze patients consécutifs en ME (mort encéphalique) clinique ont bénéficié d’une exploration angioscanographique corps entier multi-temps pour le diagnostic de ME et le bilan PMO. Le protocole angioscanographique comprenait une acquisition volumique sans injection de produit de contraste (PDC) iodé sur l’encéphale et la cavité abdomino-pelvienne, puis une acquisition thoraco-abdomino-pelvienne (TAP) 25secondes après l’injection IV du PDC iodé, une acquisition encéphalique à 60 secondes et enfin une acquisition abdomino-pelvienne à 90 secondes. Le diagnostic de ME s’établissait selon les critères validés. L’analyse TAP se faisait selon une grille de lecture systématisée. Les techniques de post-traitement étaient utilisées dans tous les cas.
Résultats : Vingt et un patients n’ont pas été prélevés du fait d’un refus exprimé (19 %). Parmi les 90 donneurs potentiels, 22 patients ont été récusés pour le PMO en raison d’une CI générale dont 12/22 (54 %) patients sur des critères angioscanographiques exclusifs. Au final, 68 patients ont été retenus pour le PMO et 160 organes ont été prélevés. L’exclusion spécifique de certains prélèvements d’organes reposait sur des données angioscanographiques exclusives pour 2 fois sur 16, 4 reins sur 70 et 5 poumons sur 55. Cinquante cœurs et 58 pancréas n’ont pas été prélevés, aucun en raison de critères angioscanographiques isolés. Des anomalies et variantes anatomiques vasculaires hépatiques ont été notées chez 10 % des patients de notre étude. Au moins une variante artérielle rénale était retrouvée chez 28 % de nos patients, 13 % présentaient une veine rénale double et 8 % une artère hépato-mésentérique.
Conclusion : L’angioscanner corps entier multi-temps préconisé dans le cadre du PMO repose sur l’association logique et synchrone de l’angioscanner cérébral de la ME à un angioscanner TAP. Il s’agit une procédure rapide, standardisée, facilement accessible et sans effet délétère sur les reins prélevés. Il permet de sélectionner les donneurs et les organes à prélever et fournit au chirurgien-préleveur la possibilité d’anticiper certaines difficultés techniques.[article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.185-194
Titre : Angioscanner corps entier multi-temps en vue d’un prélèvement multi-organes chez les patients en mort encéphalique clinique : apports et impact en pratique clinique Type de document : revue Auteurs : A. Tache, Auteur ; N. Badet, Auteur ; A. Azizi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.185-194 Langues : Français Mots-clés : angio-scanner
mort cérébrale
prélèvement d'organes et de tissusRésumé : Objectifs : Évaluer au travers d’une étude rétrospective, l’impact de la réalisation d’un angioscanner corps entier multi-temps pour la mise en évidence des contre-indications (CI) au prélèvement multi-organes (PMO) et dans l’amélioration de la stratégie pré-chirurgicale des prélèvements.
Patients et méthodes : Cent-onze patients consécutifs en ME (mort encéphalique) clinique ont bénéficié d’une exploration angioscanographique corps entier multi-temps pour le diagnostic de ME et le bilan PMO. Le protocole angioscanographique comprenait une acquisition volumique sans injection de produit de contraste (PDC) iodé sur l’encéphale et la cavité abdomino-pelvienne, puis une acquisition thoraco-abdomino-pelvienne (TAP) 25secondes après l’injection IV du PDC iodé, une acquisition encéphalique à 60 secondes et enfin une acquisition abdomino-pelvienne à 90 secondes. Le diagnostic de ME s’établissait selon les critères validés. L’analyse TAP se faisait selon une grille de lecture systématisée. Les techniques de post-traitement étaient utilisées dans tous les cas.
Résultats : Vingt et un patients n’ont pas été prélevés du fait d’un refus exprimé (19 %). Parmi les 90 donneurs potentiels, 22 patients ont été récusés pour le PMO en raison d’une CI générale dont 12/22 (54 %) patients sur des critères angioscanographiques exclusifs. Au final, 68 patients ont été retenus pour le PMO et 160 organes ont été prélevés. L’exclusion spécifique de certains prélèvements d’organes reposait sur des données angioscanographiques exclusives pour 2 fois sur 16, 4 reins sur 70 et 5 poumons sur 55. Cinquante cœurs et 58 pancréas n’ont pas été prélevés, aucun en raison de critères angioscanographiques isolés. Des anomalies et variantes anatomiques vasculaires hépatiques ont été notées chez 10 % des patients de notre étude. Au moins une variante artérielle rénale était retrouvée chez 28 % de nos patients, 13 % présentaient une veine rénale double et 8 % une artère hépato-mésentérique.
Conclusion : L’angioscanner corps entier multi-temps préconisé dans le cadre du PMO repose sur l’association logique et synchrone de l’angioscanner cérébral de la ME à un angioscanner TAP. Il s’agit une procédure rapide, standardisée, facilement accessible et sans effet délétère sur les reins prélevés. Il permet de sélectionner les donneurs et les organes à prélever et fournit au chirurgien-préleveur la possibilité d’anticiper certaines difficultés techniques.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le scanner corps entier avant PMO : efficace et performant / E. Berthier in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Le scanner corps entier avant PMO : efficace et performant [revue] / E. Berthier, Auteur ; C. Ridereau Zins, Auteur ; L. Dubé, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.195-203.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.195-203
Mots-clés : donneur
mort cérébrale
prélèvement d'organes et de tissus
TDM tomodensitométrieRésumé :
Objectifs : Valider la performance du scanner corps entier dans le bilan morphologique avant prélèvement multi-organes (PMO) chez des sujets en état de mort encéphalique. Évaluer son impact sur la durée de prise en charge des prélèvements.
Matériels et méthodes : Cinquante et un patients en état de mort encéphalique étaient inclus successivement, de façon prospective et monocentrique (mars 2011–mars 2013). Le protocole d’acquisition comportait la confirmation du diagnostic de mort encéphalique par angioscanner cérébral, et un seul passage thoraco-abdomino-pelvien au temps portal. Les anomalies morphologiques thoraco-abdomino-pelviennes (lésions focales ou diffuses, hépatopathie type stéatose), les variantes anatomiques vasculaires étaient analysées. La référence diagnostique était l’aspect macroscopique et/ou l’analyse anatomopathologique sur biopsies. Une première lecture était réalisée par un radiologue senior, une deuxième en cas de discordance radio-chirurgicale. La durée de la prise en charge était évaluée.
Résultats : Le scanner a modifié le PMO dans 21 cas : 3 annulations, 10 poursuites après anatomopathologie, 8 greffons récusés. Quatre-vingt-quinze pour cent des variantes anatomiques vasculaires sont visibles. La concordance radio-chirurgicale sur la stéatose hépatique est de 80 %. Le gain de temps sur la prise en charge est de 2h30.
Conclusion : Le scanner corps entier permet une sélection fiable des potentiels greffons et diminue le temps de prise en charge, sous réserve d’un protocole optimisé.[article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.195-203
Titre : Le scanner corps entier avant PMO : efficace et performant Type de document : revue Auteurs : E. Berthier, Auteur ; C. Ridereau Zins, Auteur ; L. Dubé, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.195-203 Langues : Français Mots-clés : donneur
mort cérébrale
prélèvement d'organes et de tissus
TDM tomodensitométrieRésumé :
Objectifs : Valider la performance du scanner corps entier dans le bilan morphologique avant prélèvement multi-organes (PMO) chez des sujets en état de mort encéphalique. Évaluer son impact sur la durée de prise en charge des prélèvements.
Matériels et méthodes : Cinquante et un patients en état de mort encéphalique étaient inclus successivement, de façon prospective et monocentrique (mars 2011–mars 2013). Le protocole d’acquisition comportait la confirmation du diagnostic de mort encéphalique par angioscanner cérébral, et un seul passage thoraco-abdomino-pelvien au temps portal. Les anomalies morphologiques thoraco-abdomino-pelviennes (lésions focales ou diffuses, hépatopathie type stéatose), les variantes anatomiques vasculaires étaient analysées. La référence diagnostique était l’aspect macroscopique et/ou l’analyse anatomopathologique sur biopsies. Une première lecture était réalisée par un radiologue senior, une deuxième en cas de discordance radio-chirurgicale. La durée de la prise en charge était évaluée.
Résultats : Le scanner a modifié le PMO dans 21 cas : 3 annulations, 10 poursuites après anatomopathologie, 8 greffons récusés. Quatre-vingt-quinze pour cent des variantes anatomiques vasculaires sont visibles. La concordance radio-chirurgicale sur la stéatose hépatique est de 80 %. Le gain de temps sur la prise en charge est de 2h30.
Conclusion : Le scanner corps entier permet une sélection fiable des potentiels greffons et diminue le temps de prise en charge, sous réserve d’un protocole optimisé.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Imagerie tomodensitométrique post-mortem du suicide / M. Garetier in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Imagerie tomodensitométrique post-mortem du suicide [revue] / M. Garetier, Auteur ; L. Deloire, Auteur ; F. Dédouit, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.204-216.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.204-216
Mots-clés : noyade
pendaison
post mortem
suicide
TDM tomodensitométrieRésumé : Le suicide est la huitième cause de mortalité en France et la première cause chez les 25–34 ans. La pendaison, l’intoxication médicamenteuse et l’usage d’une arme à feu sont les principaux modes suicidaires. Le scanner post-mortem est une aide à l’autopsie pour confirmer le suicide et éliminer une autre cause de décès. En cas de pendaison, les lésions de l’os hyoïde et/ou du cartilage thyroïdien sont retrouvées dans un peu plus d’un cas sur deux à l’autopsie. Les lésions des vertèbres cervicales sont rares, survenant en cas de chute d’une hauteur importante. Les reconstructions 3D permettent de visualiser le sillon laissé par le lien sur le cou. Dans les suicides par arme à feu, le scanner permet de déterminer l’orifice d’entrée et l’éventuel orifice de sortie, de visualiser les lésions parenchymateuses le long du trajet du projectile, et de localiser le projectile en cas de traumatisme pénétrant. Le trajet du projectile est plus difficile à déterminer au niveau thoraco-abdominal. Le scanner montre également des anomalies évocatrices en cas de suicide par noyade ou par arme blanche, mais son apport est plus limité en cas d’intoxication. Les phénomènes de décomposition et la modification de la position du corps vont limiter l’analyse des lésions tomodensitométriques. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.204-216
Titre : Imagerie tomodensitométrique post-mortem du suicide Type de document : revue Auteurs : M. Garetier, Auteur ; L. Deloire, Auteur ; F. Dédouit, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.204-216 Langues : Français Mots-clés : noyade
pendaison
post mortem
suicide
TDM tomodensitométrieRésumé : Le suicide est la huitième cause de mortalité en France et la première cause chez les 25–34 ans. La pendaison, l’intoxication médicamenteuse et l’usage d’une arme à feu sont les principaux modes suicidaires. Le scanner post-mortem est une aide à l’autopsie pour confirmer le suicide et éliminer une autre cause de décès. En cas de pendaison, les lésions de l’os hyoïde et/ou du cartilage thyroïdien sont retrouvées dans un peu plus d’un cas sur deux à l’autopsie. Les lésions des vertèbres cervicales sont rares, survenant en cas de chute d’une hauteur importante. Les reconstructions 3D permettent de visualiser le sillon laissé par le lien sur le cou. Dans les suicides par arme à feu, le scanner permet de déterminer l’orifice d’entrée et l’éventuel orifice de sortie, de visualiser les lésions parenchymateuses le long du trajet du projectile, et de localiser le projectile en cas de traumatisme pénétrant. Le trajet du projectile est plus difficile à déterminer au niveau thoraco-abdominal. Le scanner montre également des anomalies évocatrices en cas de suicide par noyade ou par arme blanche, mais son apport est plus limité en cas d’intoxication. Les phénomènes de décomposition et la modification de la position du corps vont limiter l’analyse des lésions tomodensitométriques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Performance du scanner post-mortem sans injection dans la détection des lésions thoraciques après mort violente / I. Sifaoui in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Performance du scanner post-mortem sans injection dans la détection des lésions thoraciques après mort violente [revue] / I. Sifaoui, Auteur ; C. Nedelcu, Auteur ; G. Beltran, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.217-224.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.217-224
Mots-clés : autopsie
mort
TDM tomodensitométrie
thoraxRésumé : L’objectif de notre étude était d’évaluer les index de performance du scanner post-mortem sans injection dans la détection des lésions thoraciques après mort violente.
Matériel et méthode : Nous avons recueilli rétrospectivement un échantillon de 67 corps décédés de mort violente avec lésions thoraciques, et qui ont eu un scanner non injecté, analysé en temps réel et suivi d’une autopsie. Une confrontation scanner–autopsie constituait le gold standard de notre étude. Les données ont été recueillies par organe : cœur, péricarde, aorte, poumons, plèvre, os et diaphragme avec calcul d’index de performance classique.
Résultats : Les lésions pleurales (59/67), et osseuses (55/67) vues au scanner étaient toutes vues à l’autopsie et confirmées en consensus lors du staff mensuel (sensibilité et spécificité de 100 %). Dix-sept sur 67 lésions diaphragmatiques étaient détectées au scanner, et 18 en autopsie et confirmées par le staff, soit une sensibilité de 94 % avec une spécificité de 98 %. Quarante sur 67 contusions pulmonaires étaient vues au scanner avec deux faux positifs et un faux négatif, avec sensibilité du scanner de 95 %, spécificité de 96 % et une accuracy de 95 %. Quatorze sur 67 lésions aortiques ont été détectées au scanner contre 19 lésions retenues par le staff après l’autopsie (sensibilité 74 %, spécificité 85 %, accuracy 82 %). Pour les lésions péricardiques, 19/67 étaient vues au scanner et 20 à l’autopsie et confirmées par le staff (sensibilité 80 %, spécificité 94 %, accuracy 85 %) ; 10/67 lésions cardiaques étaient vues au scanner, et 15 étaient retenues lors du staff de confrontation (sensibilité 57 %, spécificité 94 %, accuracy 81 %).
Conclusion : La performance du scanner post-mortem non injecté était bonne pour la détection des lésions pleuropulmonaires, osseuses et diaphragmatiques mais moindre pour les lésions cardiaques et aortiques pour lesquelles le recours aux signes indirects était impératif.[article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.217-224
Titre : Performance du scanner post-mortem sans injection dans la détection des lésions thoraciques après mort violente Type de document : revue Auteurs : I. Sifaoui, Auteur ; C. Nedelcu, Auteur ; G. Beltran, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.217-224 Langues : Français Mots-clés : autopsie
mort
TDM tomodensitométrie
thoraxRésumé : L’objectif de notre étude était d’évaluer les index de performance du scanner post-mortem sans injection dans la détection des lésions thoraciques après mort violente.
Matériel et méthode : Nous avons recueilli rétrospectivement un échantillon de 67 corps décédés de mort violente avec lésions thoraciques, et qui ont eu un scanner non injecté, analysé en temps réel et suivi d’une autopsie. Une confrontation scanner–autopsie constituait le gold standard de notre étude. Les données ont été recueillies par organe : cœur, péricarde, aorte, poumons, plèvre, os et diaphragme avec calcul d’index de performance classique.
Résultats : Les lésions pleurales (59/67), et osseuses (55/67) vues au scanner étaient toutes vues à l’autopsie et confirmées en consensus lors du staff mensuel (sensibilité et spécificité de 100 %). Dix-sept sur 67 lésions diaphragmatiques étaient détectées au scanner, et 18 en autopsie et confirmées par le staff, soit une sensibilité de 94 % avec une spécificité de 98 %. Quarante sur 67 contusions pulmonaires étaient vues au scanner avec deux faux positifs et un faux négatif, avec sensibilité du scanner de 95 %, spécificité de 96 % et une accuracy de 95 %. Quatorze sur 67 lésions aortiques ont été détectées au scanner contre 19 lésions retenues par le staff après l’autopsie (sensibilité 74 %, spécificité 85 %, accuracy 82 %). Pour les lésions péricardiques, 19/67 étaient vues au scanner et 20 à l’autopsie et confirmées par le staff (sensibilité 80 %, spécificité 94 %, accuracy 85 %) ; 10/67 lésions cardiaques étaient vues au scanner, et 15 étaient retenues lors du staff de confrontation (sensibilité 57 %, spécificité 94 %, accuracy 81 %).
Conclusion : La performance du scanner post-mortem non injecté était bonne pour la détection des lésions pleuropulmonaires, osseuses et diaphragmatiques mais moindre pour les lésions cardiaques et aortiques pour lesquelles le recours aux signes indirects était impératif.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Imagerie postmortem en France : état des lieux en 2017 / E. Dumousset in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Imagerie postmortem en France : état des lieux en 2017 [revue] / E. Dumousset, Auteur ; V. Souffron, Auteur ; F. Macri, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.225-235.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.225-235
Mots-clés : autopsie
IRM imagerie par résonance magnétique
TDM tomodensitométrie
thanatologieRésumé : Dans le cadre de la création d’un nouveau groupe de travail au sein de la SFR (le Gravit : « Groupe de recherche en autopsie virtuelle et imagerie thanatologique ») en octobre 2014, un questionnaire a été élaboré et une enquête a été menée afin de dresser un état des lieux de l’imagerie thanatologique en France, devant l’essor de cette nouvelle pratique radiologique sur notre territoire. La place et le rôle relatifs de l’imagerie postmortem en coupes vis-à-vis de la médecine légale s’affinent avec le temps entre l’examen externe du corps et l’autopsie médicolégale. Les indications commencent à être bien établies aujourd’hui, l’intérêt et l’apport scientifique du scanner pré-autopsique ne font aujourd’hui plus aucun doute. Il persiste cependant une grande hétérogénéité nationale sur différents plans. Les enjeux pratiques et les contraintes organisationnelles sont résolus au cas par cas en fonction de l’architecture hospitalière locale. Le financement et la valorisation de ces actes sont également très disparates : les tarifs d’examen dépendent des conventions locales avec l’administration hospitalière, le Tribunal de grande instance ou la Cour d’appel. Une collaboration entre les services de radiologie et de médecine légale est absolument indispensable, et l’implication des manipulateurs est tout aussi primordiale. Si la formation s’étoffe progressivement de manière significative pour les radiologues et les manipulateurs aussi bien sur le plan national qu’international, les efforts doivent être poursuivis afin d’harmoniser les pratiques, améliorer et uniformiser l’accessibilité à l’imagerie thanatologique en France. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.225-235
Titre : Imagerie postmortem en France : état des lieux en 2017 Type de document : revue Auteurs : E. Dumousset, Auteur ; V. Souffron, Auteur ; F. Macri, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.225-235 Langues : Français Mots-clés : autopsie
IRM imagerie par résonance magnétique
TDM tomodensitométrie
thanatologieRésumé : Dans le cadre de la création d’un nouveau groupe de travail au sein de la SFR (le Gravit : « Groupe de recherche en autopsie virtuelle et imagerie thanatologique ») en octobre 2014, un questionnaire a été élaboré et une enquête a été menée afin de dresser un état des lieux de l’imagerie thanatologique en France, devant l’essor de cette nouvelle pratique radiologique sur notre territoire. La place et le rôle relatifs de l’imagerie postmortem en coupes vis-à-vis de la médecine légale s’affinent avec le temps entre l’examen externe du corps et l’autopsie médicolégale. Les indications commencent à être bien établies aujourd’hui, l’intérêt et l’apport scientifique du scanner pré-autopsique ne font aujourd’hui plus aucun doute. Il persiste cependant une grande hétérogénéité nationale sur différents plans. Les enjeux pratiques et les contraintes organisationnelles sont résolus au cas par cas en fonction de l’architecture hospitalière locale. Le financement et la valorisation de ces actes sont également très disparates : les tarifs d’examen dépendent des conventions locales avec l’administration hospitalière, le Tribunal de grande instance ou la Cour d’appel. Une collaboration entre les services de radiologie et de médecine légale est absolument indispensable, et l’implication des manipulateurs est tout aussi primordiale. Si la formation s’étoffe progressivement de manière significative pour les radiologues et les manipulateurs aussi bien sur le plan national qu’international, les efforts doivent être poursuivis afin d’harmoniser les pratiques, améliorer et uniformiser l’accessibilité à l’imagerie thanatologique en France. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Utilisation combinée des reconstructions 3D de scanner post-mortem et d’un logiciel de design 3D en balistique lésionnelle / L. Tuchtan in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Utilisation combinée des reconstructions 3D de scanner post-mortem et d’un logiciel de design 3D en balistique lésionnelle [revue] / L. Tuchtan, Auteur ; G. Gorincour, Auteur ; M. Kolopp, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.236-239.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.236-239
Mots-clés : autopsie
médecine légale
plaie par balle
TDM tomodensitométrieRésumé : Lors de décès par balle, les experts en médecine légale et balistique sont tenus de soumettre des informations précises et clairement compréhensibles aux autorités judiciaires, dont le personnel doit être considéré comme novice dans le domaine. En quelques années, la tomodensitométrie (TDM) post-mortem pré-autopsique est devenue non seulement la technique de choix pour la localisation multiplanaire de la balle, mais aussi pour établir les aspects dynamiques de la blessure, sans modification de l’état du corps qui peut donc être reconstruit en trois dimensions (Thali et al., 2003, 2005 ; Yen et al., 2004 ; Campana et al., 2016 ; Ebert et al., 2014). [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.236-239
Titre : Utilisation combinée des reconstructions 3D de scanner post-mortem et d’un logiciel de design 3D en balistique lésionnelle Type de document : revue Auteurs : L. Tuchtan, Auteur ; G. Gorincour, Auteur ; M. Kolopp, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.236-239 Langues : Français Mots-clés : autopsie
médecine légale
plaie par balle
TDM tomodensitométrieRésumé : Lors de décès par balle, les experts en médecine légale et balistique sont tenus de soumettre des informations précises et clairement compréhensibles aux autorités judiciaires, dont le personnel doit être considéré comme novice dans le domaine. En quelques années, la tomodensitométrie (TDM) post-mortem pré-autopsique est devenue non seulement la technique de choix pour la localisation multiplanaire de la balle, mais aussi pour établir les aspects dynamiques de la blessure, sans modification de l’état du corps qui peut donc être reconstruit en trois dimensions (Thali et al., 2003, 2005 ; Yen et al., 2004 ; Campana et al., 2016 ; Ebert et al., 2014). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Évaluation de la faisabilité de l’angioscanner post-mortem sur trois corps préparés par thanatopraxie / U. Scemama in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Évaluation de la faisabilité de l’angioscanner post-mortem sur trois corps préparés par thanatopraxie [revue] / U. Scemama, Auteur ; T. Bège, Auteur ; P. Gach, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.240-246.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.240-246
Mots-clés : angio-scanner
cadavre
corps
thanatopraxieRésumé : Objectif : Évaluer la faisabilité de l’angioscanner post-mortem sur des cadavres préparés par thanatopraxie.
Matériel et méthodes : Dix corps préparés par thanatopraxie ont été inclus. Trois corps ont fait l’objet d’une injection de produit de contraste iodé. Une acquisition tomodensitométrique corps entier était réalisée pour chaque corps.
Résultats : Un rehaussement vasculaire qualitatif et quantitatif était observé sur tous les cadavres injectés. Différents types d’artéfacts étaient identifiés : certains habituels de l’imagerie post mortem sur cadavres frais, d’autres spécifiques de la technique d’injection (air intravasculaire, extravasation de produit de contraste).
Conclusion : L’angioscanner de cadavres ayant fait l’objet d’une thanatopraxie est faisable. Des optimisations techniques et une évaluation sur un échantillon de plus grande taille sont nécessaire pour valider cette technique.[article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.240-246
Titre : Évaluation de la faisabilité de l’angioscanner post-mortem sur trois corps préparés par thanatopraxie Type de document : revue Auteurs : U. Scemama, Auteur ; T. Bège, Auteur ; P. Gach, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.240-246 Langues : Français Mots-clés : angio-scanner
cadavre
corps
thanatopraxieRésumé : Objectif : Évaluer la faisabilité de l’angioscanner post-mortem sur des cadavres préparés par thanatopraxie.
Matériel et méthodes : Dix corps préparés par thanatopraxie ont été inclus. Trois corps ont fait l’objet d’une injection de produit de contraste iodé. Une acquisition tomodensitométrique corps entier était réalisée pour chaque corps.
Résultats : Un rehaussement vasculaire qualitatif et quantitatif était observé sur tous les cadavres injectés. Différents types d’artéfacts étaient identifiés : certains habituels de l’imagerie post mortem sur cadavres frais, d’autres spécifiques de la technique d’injection (air intravasculaire, extravasation de produit de contraste).
Conclusion : L’angioscanner de cadavres ayant fait l’objet d’une thanatopraxie est faisable. Des optimisations techniques et une évaluation sur un échantillon de plus grande taille sont nécessaire pour valider cette technique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Estimation de l’âge osseux en IRM en vue d’une sélection « FIFA U-17 » / O.A. Bah in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°4 5 (octobre 2017)
[article] Estimation de l’âge osseux en IRM en vue d’une sélection « FIFA U-17 » [revue] / O.A. Bah, Auteur ; O. Djanikpo, Auteur ; J. Mesrar, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.247-250.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.247-250
Mots-clés : football
IRM imagerie par résonance magnétique
poignetRésumé : La sélection des footballeurs de haut niveau de moins de 17 ans (U-17) repose sur des critères d’âge. Pour limiter les fraudes la Fédération internationale de Football Association (FIFA) a recours à la détermination de l’âge osseux via l’imagerie par résonance magnétique (IRM) du poignet gauche chez ces candidats. L’objectif de cette revue est de décrire la technique de réalisation et la place actuelle de l’IRM du poignet et son interprétation dans l’estimation de l’âge des footballeurs de moins de 17 ans qui se base sur l’analyse de la physe radiale distale. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°4 5 (octobre 2017) . - p.247-250
Titre : Estimation de l’âge osseux en IRM en vue d’une sélection « FIFA U-17 » Type de document : revue Auteurs : O.A. Bah, Auteur ; O. Djanikpo, Auteur ; J. Mesrar, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.247-250 Langues : Français Mots-clés : football
IRM imagerie par résonance magnétique
poignetRésumé : La sélection des footballeurs de haut niveau de moins de 17 ans (U-17) repose sur des critères d’âge. Pour limiter les fraudes la Fédération internationale de Football Association (FIFA) a recours à la détermination de l’âge osseux via l’imagerie par résonance magnétique (IRM) du poignet gauche chez ces candidats. L’objectif de cette revue est de décrire la technique de réalisation et la place actuelle de l’IRM du poignet et son interprétation dans l’estimation de l’âge des footballeurs de moins de 17 ans qui se base sur l’analyse de la physe radiale distale. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031404 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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00031404 | Rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
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