Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Sages-femmes . vol.16 n°4Mention de date : septembre 2017Paru le : 01/09/2017 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLa pratique d’une activité physique en cours de grossesse physiologique d’une population en Île-de-France et analyse des freins à cette pratique / Cécile Popot in Sages-femmes, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] La pratique d’une activité physique en cours de grossesse physiologique d’une population en Île-de-France et analyse des freins à cette pratique [revue] / Cécile Popot, Auteur . - 2017 . - p.227-231.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.227-231
Mots-clés : activité physique
femme enceinte
grossesse
information
sédentaritéRésumé :
Objectif : L’objectif de l’étude était de mieux connaître l’évolution de cette pratique et d’identifier les freins qui conduisent les femmes enceintes à diminuer voire arrêter cette activité physique.
Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle et rétrospective réalisée en milieu urbain, à partir d’un questionnaire distribué entre février et septembre 2015, sur la base du volontariat, à des femmes ayant accouché dans l’année 2015, au sein du service des suites de couches de l’hôpital Antoine-Béclère à Clamart ainsi que dans un cabinet de sages-femmes libérales au Plessis-Robinson chez des patientes réalisant leur rééducation périnéale. Cent vingt femmes âgées de 18 à 40 ans ont participé à cette étude. Ces femmes ont eu une grossesse monofœtale, spontanée et physiologique, aboutissant à un accouchement par voie basse ou par césarienne. Elles pouvaient être primipare ou multipare.
Résultats : L’âge moyen était de 31 ans. Elles étaient principalement employées, de profession supérieures ou intermédiaires, vivant en couple à 86 % et primipares à 56 %. Le terme moyen de grossesse était de 39 semaines d’aménorrhées (SA) et l’issue de la grossesse était à 75 % par voie basse. Soixante pour cent (n=72) de la population pratiquait une activité physique avant la grossesse dont 50 % l’a poursuivie en cours de grossesse. Chez les femmes ayant poursuivi le même type d’activité physique, 89 % ont diminué le rythme global de cette activité. Concernant les 48 femmes ne pratiquant aucune activité avant grossesse, seulement une a débuté de la natation dans le cadre d’une préparation à la naissance. Quatre principaux freins à la pratique d’une activité physique en cours de grossesse ont été identifiés : la crainte de faire une fausse couche ou un accouchement prématuré, la fatigue, la peur des conséquences pour le fœtus et le manque d’information sur le sujet pendant la grossesse. Par ailleurs, 58 % des femmes ont affirmé n’avoir reçu aucune information concernant l’activité possible en cours de grossesse. Pour les femmes ayant reçu une information, le vecteur d’information principal était les professionnels de santé associés à d’autres sources (Internet, littérature, entourage).
Conclusion : L’activité physique diminue en cours de grossesse. La barrière principale identifiée est la peur des conséquences que pourraient avoir une activité physique sur la grossesse et l’enfant à venir. Ces fausses « idées reçues » que les femmes développent sont en parties liées au manque d’information sur les possibilités d’activité sportive pendant la grossesse.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.227-231
Titre : La pratique d’une activité physique en cours de grossesse physiologique d’une population en Île-de-France et analyse des freins à cette pratique Type de document : revue Auteurs : Cécile Popot, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.227-231 Langues : Français Mots-clés : activité physique
femme enceinte
grossesse
information
sédentaritéRésumé :
Objectif : L’objectif de l’étude était de mieux connaître l’évolution de cette pratique et d’identifier les freins qui conduisent les femmes enceintes à diminuer voire arrêter cette activité physique.
Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle et rétrospective réalisée en milieu urbain, à partir d’un questionnaire distribué entre février et septembre 2015, sur la base du volontariat, à des femmes ayant accouché dans l’année 2015, au sein du service des suites de couches de l’hôpital Antoine-Béclère à Clamart ainsi que dans un cabinet de sages-femmes libérales au Plessis-Robinson chez des patientes réalisant leur rééducation périnéale. Cent vingt femmes âgées de 18 à 40 ans ont participé à cette étude. Ces femmes ont eu une grossesse monofœtale, spontanée et physiologique, aboutissant à un accouchement par voie basse ou par césarienne. Elles pouvaient être primipare ou multipare.
Résultats : L’âge moyen était de 31 ans. Elles étaient principalement employées, de profession supérieures ou intermédiaires, vivant en couple à 86 % et primipares à 56 %. Le terme moyen de grossesse était de 39 semaines d’aménorrhées (SA) et l’issue de la grossesse était à 75 % par voie basse. Soixante pour cent (n=72) de la population pratiquait une activité physique avant la grossesse dont 50 % l’a poursuivie en cours de grossesse. Chez les femmes ayant poursuivi le même type d’activité physique, 89 % ont diminué le rythme global de cette activité. Concernant les 48 femmes ne pratiquant aucune activité avant grossesse, seulement une a débuté de la natation dans le cadre d’une préparation à la naissance. Quatre principaux freins à la pratique d’une activité physique en cours de grossesse ont été identifiés : la crainte de faire une fausse couche ou un accouchement prématuré, la fatigue, la peur des conséquences pour le fœtus et le manque d’information sur le sujet pendant la grossesse. Par ailleurs, 58 % des femmes ont affirmé n’avoir reçu aucune information concernant l’activité possible en cours de grossesse. Pour les femmes ayant reçu une information, le vecteur d’information principal était les professionnels de santé associés à d’autres sources (Internet, littérature, entourage).
Conclusion : L’activité physique diminue en cours de grossesse. La barrière principale identifiée est la peur des conséquences que pourraient avoir une activité physique sur la grossesse et l’enfant à venir. Ces fausses « idées reçues » que les femmes développent sont en parties liées au manque d’information sur les possibilités d’activité sportive pendant la grossesse.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031398 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Hyperémèse gravidique : vécu de l’hospitalisation / A.S. Charles in Sages-femmes, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Hyperémèse gravidique : vécu de l’hospitalisation [revue] / A.S. Charles, Auteur ; M. Auclair, Auteur ; C. Ceccaldi, Auteur ; G. Ducarme, Auteur . - 2017 . - p.232-237.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.232-237
Mots-clés : angoisse
grossesse
hospitalisation
hyperémèse gravidique
isolementRésumé :
Objectifs : L’objectif de cette étude était de connaître le vécu des femmes en cas d’hospitalisation pour hyperémèse gravidique (HG) au 1er trimestre de grossesse.
Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective incluant les patientes ayant été hospitalisées pour HG entre mars 2015 et octobre 2015. Des entretiens semi-dirigés ont été réalisés par téléphone dans les deux à cinq mois qui suivaient l’hospitalisation.
Résultats : Les dix patientes incluses ont été soulagées par les perfusions de réhydratation, quatre ont constaté un arrêt des vomissements. Huit patientes ont été satisfaites du jeûne et de la reprise alimentaire. La présence des soignants est décrite comme très rassurante. Le repos est considéré comme efficace par huit patientes. L’isolement strict est vécu comme inutile par deux patientes, comme aggravant par trois patientes les conduisant à une sortie prématurée.
Conclusion : Cette étude a montré que les traitements médicamenteux ont été moyennement satisfaisants, que l’isolement, selon sa stricte application, était soit soutenant soit délétère, et que les soignants avaient un rôle clé dans le soutien de ces femmes présentant une angoisse importante.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.232-237
Titre : Hyperémèse gravidique : vécu de l’hospitalisation Type de document : revue Auteurs : A.S. Charles, Auteur ; M. Auclair, Auteur ; C. Ceccaldi, Auteur ; G. Ducarme, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.232-237 Langues : Français Mots-clés : angoisse
grossesse
hospitalisation
hyperémèse gravidique
isolementRésumé :
Objectifs : L’objectif de cette étude était de connaître le vécu des femmes en cas d’hospitalisation pour hyperémèse gravidique (HG) au 1er trimestre de grossesse.
Matériel et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective incluant les patientes ayant été hospitalisées pour HG entre mars 2015 et octobre 2015. Des entretiens semi-dirigés ont été réalisés par téléphone dans les deux à cinq mois qui suivaient l’hospitalisation.
Résultats : Les dix patientes incluses ont été soulagées par les perfusions de réhydratation, quatre ont constaté un arrêt des vomissements. Huit patientes ont été satisfaites du jeûne et de la reprise alimentaire. La présence des soignants est décrite comme très rassurante. Le repos est considéré comme efficace par huit patientes. L’isolement strict est vécu comme inutile par deux patientes, comme aggravant par trois patientes les conduisant à une sortie prématurée.
Conclusion : Cette étude a montré que les traitements médicamenteux ont été moyennement satisfaisants, que l’isolement, selon sa stricte application, était soit soutenant soit délétère, et que les soignants avaient un rôle clé dans le soutien de ces femmes présentant une angoisse importante.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031398 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’impact de l’environnement sur la grossesse et le développement : données de la littérature / R. Béranger in Sages-femmes, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] L’impact de l’environnement sur la grossesse et le développement : données de la littérature [revue] / R. Béranger, Auteur . - 2017 . - p.238-242.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.238-242
Mots-clés : exposition environnementale
grossesse
perturbateur endocrinienRésumé :
Introduction : L’impact de l’environnement sur la grossesse semble maintenant bien établi. Certaines expositions à des agents chimiques, mais aussi biologiques et physiques peuvent impacter le déroulement de la grossesse tout comme le développement du fœtus. Cet article a pour but de synthétiser les connaissances sur le sujet.
Méthode : Une revue de la littérature a été conduite à partir d’une recherche ciblée sur la base de données Medline.
Résultats : Les données de la littérature font état de risques de malformations, de troubles de la croissance ou encore de troubles du développement neurologique. Les répercussions des expositions subies au cours de la grossesse peuvent se ressentir à la naissance, durant l’enfance, mais aussi pendant la vie adulte, voire sur les générations suivantes.
Discussion : Des moyens de préventions peuvent être mis en place pour limiter certaines expositions domestique, professionnelles ou comportementales. Tout en insistant sur ces moyens de prévention, il est nécessaire de bien rappeler que la fréquence d’issues défavorables de la grossesse reste faible, au regard de l’exposition quasi systématique des femmes à un large panel d’agents reprotoxiques.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.238-242
Titre : L’impact de l’environnement sur la grossesse et le développement : données de la littérature Type de document : revue Auteurs : R. Béranger, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.238-242 Langues : Français Mots-clés : exposition environnementale
grossesse
perturbateur endocrinienRésumé :
Introduction : L’impact de l’environnement sur la grossesse semble maintenant bien établi. Certaines expositions à des agents chimiques, mais aussi biologiques et physiques peuvent impacter le déroulement de la grossesse tout comme le développement du fœtus. Cet article a pour but de synthétiser les connaissances sur le sujet.
Méthode : Une revue de la littérature a été conduite à partir d’une recherche ciblée sur la base de données Medline.
Résultats : Les données de la littérature font état de risques de malformations, de troubles de la croissance ou encore de troubles du développement neurologique. Les répercussions des expositions subies au cours de la grossesse peuvent se ressentir à la naissance, durant l’enfance, mais aussi pendant la vie adulte, voire sur les générations suivantes.
Discussion : Des moyens de préventions peuvent être mis en place pour limiter certaines expositions domestique, professionnelles ou comportementales. Tout en insistant sur ces moyens de prévention, il est nécessaire de bien rappeler que la fréquence d’issues défavorables de la grossesse reste faible, au regard de l’exposition quasi systématique des femmes à un large panel d’agents reprotoxiques.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031398 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le dépistage prénatal non invasif de la trisomie 21. Étude rétrospective à propos de 8821 patientes / C. Belloin in Sages-femmes, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Le dépistage prénatal non invasif de la trisomie 21. Étude rétrospective à propos de 8821 patientes [revue] / C. Belloin, Auteur ; F. Jacquemard, Auteur ; C. Bernabé-Dupont, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.243-249.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.243-249
Mots-clés : dépistage néonatal
diagnostic prénatal
DPNI dépistage prénatal non invasif
geste invasif
T21 trisomie 21
technique invasiveRésumé : Objectif : mettre en évidence la baisse du nombre de gestes invasifs intra-utérins grâce à l’analyse de l’ADN fotoplacentaire libre circulant dans le sang maternel : le dépistage prénatal non invasif (DPNI), au centre de diagnostic prénatal de l’hôpital américain de Paris (AHP).
Matériels et méthodes : Étude descriptive rétrospective avant-après de 8821 patientes au centre de diagnostic prénatal (DPN) de l’AHP entre le 01/01/2012 et le 25/09/2014. Le DPNI est proposé aux patientes depuis le 1er janvier 2013.
Résultats : Le nombre de prélèvements invasifs diminue de façon significative (p<0,0001) entre 2012 (n=1177 soit 42 % de l’activité du DPN de l’AHP en 2012) et 2013 (n=987 soit 28,5 %), et entre 2013 et 2014 (n=599 soit 23,4 %). Les performances statistiques calculées du DPNI sont : sensibilité=99,9 % ; spécificité=99,8 % ; valeur prédictive positive=90,4 % ; valeur prédictive négative=99,9 % ; faux positifs=3. Tandis que celles du dépistage combiné du premier trimestre (DCT1) sont : sensibilité=95,4 % ; spécificité=82,5 % ; valeur prédictive positive=6,5 % ; valeur prédictive négative=99,9 % ; faux positifs=1197.
Conclusion : Le DPNI a permis de réduire le nombre de prélèvements invasifs au centre de DPN de l’AHP. Les performances du DPNI sont supérieures à celles du dépistage combiné du premier trimestre.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.243-249
Titre : Le dépistage prénatal non invasif de la trisomie 21. Étude rétrospective à propos de 8821 patientes Type de document : revue Auteurs : C. Belloin, Auteur ; F. Jacquemard, Auteur ; C. Bernabé-Dupont, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.243-249 Langues : Français Mots-clés : dépistage néonatal
diagnostic prénatal
DPNI dépistage prénatal non invasif
geste invasif
T21 trisomie 21
technique invasiveRésumé : Objectif : mettre en évidence la baisse du nombre de gestes invasifs intra-utérins grâce à l’analyse de l’ADN fotoplacentaire libre circulant dans le sang maternel : le dépistage prénatal non invasif (DPNI), au centre de diagnostic prénatal de l’hôpital américain de Paris (AHP).
Matériels et méthodes : Étude descriptive rétrospective avant-après de 8821 patientes au centre de diagnostic prénatal (DPN) de l’AHP entre le 01/01/2012 et le 25/09/2014. Le DPNI est proposé aux patientes depuis le 1er janvier 2013.
Résultats : Le nombre de prélèvements invasifs diminue de façon significative (p<0,0001) entre 2012 (n=1177 soit 42 % de l’activité du DPN de l’AHP en 2012) et 2013 (n=987 soit 28,5 %), et entre 2013 et 2014 (n=599 soit 23,4 %). Les performances statistiques calculées du DPNI sont : sensibilité=99,9 % ; spécificité=99,8 % ; valeur prédictive positive=90,4 % ; valeur prédictive négative=99,9 % ; faux positifs=3. Tandis que celles du dépistage combiné du premier trimestre (DCT1) sont : sensibilité=95,4 % ; spécificité=82,5 % ; valeur prédictive positive=6,5 % ; valeur prédictive négative=99,9 % ; faux positifs=1197.
Conclusion : Le DPNI a permis de réduire le nombre de prélèvements invasifs au centre de DPN de l’AHP. Les performances du DPNI sont supérieures à celles du dépistage combiné du premier trimestre.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031398 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’utilisation des courbes de poids personnalisées en anténatal améliore-t-elle le diagnostic des fœtus petits pour l’âge gestationnel à haut risque de morbidité néonatale ? / A. Lerebours in Sages-femmes, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] L’utilisation des courbes de poids personnalisées en anténatal améliore-t-elle le diagnostic des fœtus petits pour l’âge gestationnel à haut risque de morbidité néonatale ? [revue] / A. Lerebours, Auteur ; R. Callec, Auteur ; E. Lauria, Auteur ; O. Morel, Auteur . - 2017 . - p.250-255.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.250-255
Mots-clés : dépistage
échographie
morbidité
petit poids
RCIU retard de croissance intra utérin
trouble croissanceRésumé :
Objectifs : Évaluer les performances des courbes de poids personnalisées dans le dépistage échographique anténatal des fœtus petits pour l’âge gestationnel dans une population de prématurés à haut risque de morbidité néonatale.
Méthodes : Tous les enfants nés prématurés à la maternité universitaire de type 3 de Nancy pendant un an et classés petits pour l’âge gestationnel à la naissance selon les courbes personnalisées développées par Ego et al. ont été inclus dans cette étude rétrospective. Lors de l’échographie la plus proche du terme, la performance des courbes de croissance personnalisées a été comparée à celle des courbes de croissance en population pour le dépistage anténatal d’un groupe de prématurés classés petits pour l’âge gestationnel (PPAG) en postnatal par une courbe personnalisée (ce reclassement permettant d’identifier une sous-population de PPAG prématurés à haut risque de morbidité néonatale).
Résultats : Au total 67 nouveau-nés ont été inclus. Cinquante et un (76,1 %) avaient été reclassés en postnatal PPAG sur des courbes personnalisées alors qu’ils étaient considérés eutrophes sur une courbe postnatale en population et 16 (23,9 %) étaient PPAG selon les 2 courbes. Le délai moyen entre la dernière échographie et la naissance était de 2,2 semaines (±2,5). Au seuil du dixième percentile, la sensibilité d’une courbe personnalisée pour la détection anténatale des fœtus reclassés en postnatal PPAG à l’aide de courbes personnalisées n’était pas différente de celle d’une courbe en population (29,9 % versus 41,8 % p=0,05).
Conclusions : Dans notre étude la performance des courbes personnalisées de poids n’était pas différente de celle des courbes en population pour le dépistage anténatal des nouveau-nés prématurés reclassés petits pour l’âge gestationnel en postnatal à l’aide de courbes personnalisées.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.250-255
Titre : L’utilisation des courbes de poids personnalisées en anténatal améliore-t-elle le diagnostic des fœtus petits pour l’âge gestationnel à haut risque de morbidité néonatale ? Type de document : revue Auteurs : A. Lerebours, Auteur ; R. Callec, Auteur ; E. Lauria, Auteur ; O. Morel, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.250-255 Langues : Français Mots-clés : dépistage
échographie
morbidité
petit poids
RCIU retard de croissance intra utérin
trouble croissanceRésumé :
Objectifs : Évaluer les performances des courbes de poids personnalisées dans le dépistage échographique anténatal des fœtus petits pour l’âge gestationnel dans une population de prématurés à haut risque de morbidité néonatale.
Méthodes : Tous les enfants nés prématurés à la maternité universitaire de type 3 de Nancy pendant un an et classés petits pour l’âge gestationnel à la naissance selon les courbes personnalisées développées par Ego et al. ont été inclus dans cette étude rétrospective. Lors de l’échographie la plus proche du terme, la performance des courbes de croissance personnalisées a été comparée à celle des courbes de croissance en population pour le dépistage anténatal d’un groupe de prématurés classés petits pour l’âge gestationnel (PPAG) en postnatal par une courbe personnalisée (ce reclassement permettant d’identifier une sous-population de PPAG prématurés à haut risque de morbidité néonatale).
Résultats : Au total 67 nouveau-nés ont été inclus. Cinquante et un (76,1 %) avaient été reclassés en postnatal PPAG sur des courbes personnalisées alors qu’ils étaient considérés eutrophes sur une courbe postnatale en population et 16 (23,9 %) étaient PPAG selon les 2 courbes. Le délai moyen entre la dernière échographie et la naissance était de 2,2 semaines (±2,5). Au seuil du dixième percentile, la sensibilité d’une courbe personnalisée pour la détection anténatale des fœtus reclassés en postnatal PPAG à l’aide de courbes personnalisées n’était pas différente de celle d’une courbe en population (29,9 % versus 41,8 % p=0,05).
Conclusions : Dans notre étude la performance des courbes personnalisées de poids n’était pas différente de celle des courbes en population pour le dépistage anténatal des nouveau-nés prématurés reclassés petits pour l’âge gestationnel en postnatal à l’aide de courbes personnalisées.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031398 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Protection cérébrale de l’enfant né prématuré par le sulfate de magnésium / S. Marret in Sages-femmes, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Protection cérébrale de l’enfant né prématuré par le sulfate de magnésium [revue] / S. Marret, Auteur ; P.-Y. Ancel, Auteur . - 2017 . - p.262-278.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.262-278
Mots-clés : hémorragie cérébrale
magnésium
paralysie cérébrale
prématuritéRésumé :
Objectif : Évaluer chez l’enfant né prématuré les bénéfices neuroprotecteurs et les risques de l’administration anténatale de sulfate de magnésium (MgSO4) aux femmes à risque imminent d’accouchement prématuré.
Matériel et méthodes : Bases de données informatiques MedLine, de la Cochrane Library et recommandations des sociétés savantes internationales.
Résultats : Compte tenu du bénéfice démontré de l’administration anténatale de MgSO4 intraveineux sur la réduction des taux de paralysie cérébrale et de troubles du développement moteur de l’enfant né prématuré, elle est recommandée à toutes les patientes dont l’accouchement imminent est attendu ou programmé avant 32 SA (grade A). L’analyse de la littérature constate un effet protecteur indépendant de l’âge gestationnel chez le grand prématuré, du type de grossesse (monofœtale ou multiple) ou des causes de prématurité (NP2). Son administration est donc recommandée en cas de grossesse monofœtale ou multiple et quelle que soit la cause de la prématurité (grade B). Il est recommandé une dose de charge de 4g et proposé d’utiliser une dose d’entretien de 1g/h jusqu’à l’accouchement avec une durée maximale de 12h sans dépasser une dose cumulée de 50g (accord professionnel). Ces doses sont dénuées d’effets secondaires maternels délétères sévères ou d’effets indésirables chez le nouveau-né (NP1).
Conclusion : Il est recommandé d’administrer du MgSO4 à la femme dont l’accouchement avant 32 SA est imminent, qu’il soit attendu ou programmé (grade A), avec une dose de charge de 4g IV suivie d’une dose d’entretien de 1g/h pendant 12h, que la grossesse soit unique ou multiple et quelle que soit la cause de la prématurité (accord professionnel).[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.262-278
Titre : Protection cérébrale de l’enfant né prématuré par le sulfate de magnésium Type de document : revue Auteurs : S. Marret, Auteur ; P.-Y. Ancel, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.262-278 Langues : Français Mots-clés : hémorragie cérébrale
magnésium
paralysie cérébrale
prématuritéRésumé :
Objectif : Évaluer chez l’enfant né prématuré les bénéfices neuroprotecteurs et les risques de l’administration anténatale de sulfate de magnésium (MgSO4) aux femmes à risque imminent d’accouchement prématuré.
Matériel et méthodes : Bases de données informatiques MedLine, de la Cochrane Library et recommandations des sociétés savantes internationales.
Résultats : Compte tenu du bénéfice démontré de l’administration anténatale de MgSO4 intraveineux sur la réduction des taux de paralysie cérébrale et de troubles du développement moteur de l’enfant né prématuré, elle est recommandée à toutes les patientes dont l’accouchement imminent est attendu ou programmé avant 32 SA (grade A). L’analyse de la littérature constate un effet protecteur indépendant de l’âge gestationnel chez le grand prématuré, du type de grossesse (monofœtale ou multiple) ou des causes de prématurité (NP2). Son administration est donc recommandée en cas de grossesse monofœtale ou multiple et quelle que soit la cause de la prématurité (grade B). Il est recommandé une dose de charge de 4g et proposé d’utiliser une dose d’entretien de 1g/h jusqu’à l’accouchement avec une durée maximale de 12h sans dépasser une dose cumulée de 50g (accord professionnel). Ces doses sont dénuées d’effets secondaires maternels délétères sévères ou d’effets indésirables chez le nouveau-né (NP1).
Conclusion : Il est recommandé d’administrer du MgSO4 à la femme dont l’accouchement avant 32 SA est imminent, qu’il soit attendu ou programmé (grade A), avec une dose de charge de 4g IV suivie d’une dose d’entretien de 1g/h pendant 12h, que la grossesse soit unique ou multiple et quelle que soit la cause de la prématurité (accord professionnel).Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031398 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Recommandations pour la pratique clinique : prévention de la prématurité spontanée et de ses conséquences (hors rupture des membranes) — Texte des recommandations (texte court) / Loïc Sentilhes in Sages-femmes, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Recommandations pour la pratique clinique : prévention de la prématurité spontanée et de ses conséquences (hors rupture des membranes) — Texte des recommandations (texte court) [revue] / Loïc Sentilhes, Auteur ; M.-V. Sénat, Auteur ; P.-Y. Ancel, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.279-289.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.279-289
Mots-clés : cerclage
col de l'utérus
corticoïde
fibronectine
magnésium
pessaire
prématurité
progestérone
RPC recommandation pour la pratique clinique
tocolyseRésumé :
Objectif : Déterminer les mesures permettant de prévenir la prématurité spontanée et ses conséquences (hors rupture des membranes).
Matériel et méthodes : Consultation de la base de données MedLine, de la Cochrane Library et des recommandations des sociétés savantes françaises et étrangères.
Résultats : En France, 60 000 enfants (7,4 %) par an naissent avant 37 SA, dont la moitié survient après un travail spontané. Parmi les facteurs de risque modifiables de prématurité spontanée, seul le sevrage tabagique est associé à une diminution de la prématurité (NP1). Ce sevrage est recommandé (grade A). Le dépistage systématique et le traitement de la vaginose bactérienne en population générale n’est pas recommandé (grade A). Le traitement par progestatif est recommandé uniquement pour les grossesses monofœtales asymptomatiques et sans antécédent d’accouchement prématuré présentant un col mesuré à moins de 20mm entre 16 et 24 SA (grade B). Un cerclage sur antécédent n’est pas recommandé du fait du seul antécédent de conisation (grade C), de malformation utérine (accord professionnel), d’antécédent isolé d’accouchement prématuré (grade B). Le cerclage n’est pas non plus recommandé pour les grossesses gémellaires, en prévention primaire (grade B) ou secondaire (grade C). Il est recommandé pour les femmes présentant une grossesse unique avec un antécédent d’au moins 3 FCT ou d’accouchement prématuré (grade A). En cas d’antécédent de FCT ou d’accouchement prématuré spontané avant 34 SA d’une grossesse monofœtale, il est recommandé de réaliser une surveillance échographique de la longueur cervicale entre 16 et 22 SA afin de proposer un cerclage en cas de col inférieur à 25mm avant 24 SA (grade C). Il n’est pas recommandé d’utiliser un pessaire pour la prévention de l’accouchement prématuré dans une population générale asymptomatique de grossesse gémellaire (grade A) et dans les populations asymptomatiques à col court (accord professionnel). Bien que la mise en œuvre d’un dépistage échographique universel de la longueur du col parmi les grossesses monofœtales sans antécédent d’accouchement prématuré entre 18 et 24 SA puisse être considérée par les praticiens individuellement, ce dépistage ne peut pas être recommandé universellement (accord professionnel). En cas de menace d’accouchement prématuré, (i) il n’est pas recommandé d’utiliser un outil plus qu’un autre (échographie du col, toucher vaginal ou fibronectine fœtale) pour prédire l’accouchement prématuré (grade B) ; (ii) il est recommandé de ne pas administrer systématiquement d’antibiotiques (grade A) ; (iii) l’hospitalisation prolongée (grade B) et le repos au lit strict (grade C) ne sont pas recommandés. Aucun tocolytique n’est associé à une diminution de la mortalité et de la morbidité néonatale par rapport au placebo (NP2) et tous les tocolytiques peuvent engendrer des effets indésirables graves (NP4). L’atosiban et la nifédipine (grade B) peuvent être utilisés à visée tocolytique mais plus les bêtamimétiques (grade C). Il est recommandé de ne pas prescrire un traitement d’entretien à l’issue des 48heures de la tocolyse initiale (grade A). L’administration anténatale d’une cure de corticoïdes est recommandée à toutes les patientes à risque d’accouchement prématuré avant 34 SA (grade A). Après 34 SA, il n’existe pas d’arguments suffisants pour recommander l’administration systématique de corticoïdes anténatals (grade B), mais une cure pourra toutefois être discutée dans les situations à haut risque de détresse respiratoire sévère, en particulier en cas de césarienne programmée (grade C). La stratégie de répétition des cures de corticoïdes n’est pas recommandée (grade A). La cure de sauvetage ne peut pas être recommandée (accord professionnel). L’administration anténatale de sulfate de magnésium intraveineux est recommandée en cas d’accouchement imminent avant 32 SA (grade A). La césarienne systématique n’est pas recommandée en cas de présentation céphalique (accord professionnel). Il n’est pas recommandé une voie d’accouchement plutôt qu’une autre en cas de présentation du siège (accord professionnel). Si l’état néonatal ou maternel le permet, un clampage du cordon retardé peut être envisagé (accord professionnel).
Conclusion : En dehors de l’administration anténatale des corticoïdes et du sulfate de magnésium, les outils diagnostiques ou traitements prénatals mis en œuvre depuis 30 ans afin de prévenir la prématurité et ses conséquences n’ont pas été à la hauteur des attentes des professionnels et des familles.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.279-289
Titre : Recommandations pour la pratique clinique : prévention de la prématurité spontanée et de ses conséquences (hors rupture des membranes) — Texte des recommandations (texte court) Type de document : revue Auteurs : Loïc Sentilhes, Auteur ; M.-V. Sénat, Auteur ; P.-Y. Ancel, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.279-289 Langues : Français Mots-clés : cerclage
col de l'utérus
corticoïde
fibronectine
magnésium
pessaire
prématurité
progestérone
RPC recommandation pour la pratique clinique
tocolyseRésumé :
Objectif : Déterminer les mesures permettant de prévenir la prématurité spontanée et ses conséquences (hors rupture des membranes).
Matériel et méthodes : Consultation de la base de données MedLine, de la Cochrane Library et des recommandations des sociétés savantes françaises et étrangères.
Résultats : En France, 60 000 enfants (7,4 %) par an naissent avant 37 SA, dont la moitié survient après un travail spontané. Parmi les facteurs de risque modifiables de prématurité spontanée, seul le sevrage tabagique est associé à une diminution de la prématurité (NP1). Ce sevrage est recommandé (grade A). Le dépistage systématique et le traitement de la vaginose bactérienne en population générale n’est pas recommandé (grade A). Le traitement par progestatif est recommandé uniquement pour les grossesses monofœtales asymptomatiques et sans antécédent d’accouchement prématuré présentant un col mesuré à moins de 20mm entre 16 et 24 SA (grade B). Un cerclage sur antécédent n’est pas recommandé du fait du seul antécédent de conisation (grade C), de malformation utérine (accord professionnel), d’antécédent isolé d’accouchement prématuré (grade B). Le cerclage n’est pas non plus recommandé pour les grossesses gémellaires, en prévention primaire (grade B) ou secondaire (grade C). Il est recommandé pour les femmes présentant une grossesse unique avec un antécédent d’au moins 3 FCT ou d’accouchement prématuré (grade A). En cas d’antécédent de FCT ou d’accouchement prématuré spontané avant 34 SA d’une grossesse monofœtale, il est recommandé de réaliser une surveillance échographique de la longueur cervicale entre 16 et 22 SA afin de proposer un cerclage en cas de col inférieur à 25mm avant 24 SA (grade C). Il n’est pas recommandé d’utiliser un pessaire pour la prévention de l’accouchement prématuré dans une population générale asymptomatique de grossesse gémellaire (grade A) et dans les populations asymptomatiques à col court (accord professionnel). Bien que la mise en œuvre d’un dépistage échographique universel de la longueur du col parmi les grossesses monofœtales sans antécédent d’accouchement prématuré entre 18 et 24 SA puisse être considérée par les praticiens individuellement, ce dépistage ne peut pas être recommandé universellement (accord professionnel). En cas de menace d’accouchement prématuré, (i) il n’est pas recommandé d’utiliser un outil plus qu’un autre (échographie du col, toucher vaginal ou fibronectine fœtale) pour prédire l’accouchement prématuré (grade B) ; (ii) il est recommandé de ne pas administrer systématiquement d’antibiotiques (grade A) ; (iii) l’hospitalisation prolongée (grade B) et le repos au lit strict (grade C) ne sont pas recommandés. Aucun tocolytique n’est associé à une diminution de la mortalité et de la morbidité néonatale par rapport au placebo (NP2) et tous les tocolytiques peuvent engendrer des effets indésirables graves (NP4). L’atosiban et la nifédipine (grade B) peuvent être utilisés à visée tocolytique mais plus les bêtamimétiques (grade C). Il est recommandé de ne pas prescrire un traitement d’entretien à l’issue des 48heures de la tocolyse initiale (grade A). L’administration anténatale d’une cure de corticoïdes est recommandée à toutes les patientes à risque d’accouchement prématuré avant 34 SA (grade A). Après 34 SA, il n’existe pas d’arguments suffisants pour recommander l’administration systématique de corticoïdes anténatals (grade B), mais une cure pourra toutefois être discutée dans les situations à haut risque de détresse respiratoire sévère, en particulier en cas de césarienne programmée (grade C). La stratégie de répétition des cures de corticoïdes n’est pas recommandée (grade A). La cure de sauvetage ne peut pas être recommandée (accord professionnel). L’administration anténatale de sulfate de magnésium intraveineux est recommandée en cas d’accouchement imminent avant 32 SA (grade A). La césarienne systématique n’est pas recommandée en cas de présentation céphalique (accord professionnel). Il n’est pas recommandé une voie d’accouchement plutôt qu’une autre en cas de présentation du siège (accord professionnel). Si l’état néonatal ou maternel le permet, un clampage du cordon retardé peut être envisagé (accord professionnel).
Conclusion : En dehors de l’administration anténatale des corticoïdes et du sulfate de magnésium, les outils diagnostiques ou traitements prénatals mis en œuvre depuis 30 ans afin de prévenir la prématurité et ses conséquences n’ont pas été à la hauteur des attentes des professionnels et des familles.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031398 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00031398 | Rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact