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Douleurs évaluation diagnostic Traitement . vol.18 n°4Mention de date : septembre 2017Paru le : 01/07/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierMéditation en pleine conscience et lombalgie chronique / Françoise Laroche in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°4 (septembre 2017)
[article] Méditation en pleine conscience et lombalgie chronique [revue] / Françoise Laroche, Auteur . - 2017 . - p.171-173.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.171-173
Mots-clés : lombalgie chronique
méditation
pleine conscience
TCC thérapie cognitive et comportementaleRésumé : Plusieurs études au cours de la douleur chronique (fibromyalgie, arthrose, polyarthrite rhumatoïde) montrent que les thérapies cognitives et comportementales (TCC) incluant la méditation en pleine conscience (MBSR) améliorent les patients. Il s’agit surtout de leur façon de voir les symptômes douloureux, leur bien-être global et leur qualité de vie. Dans cette étude de 2016, les auteurs ont inclus 342 patients souffrant de lombalgie chronique. Les résultats montrent que les 2 types de psychothérapies (MBSR ou TCC) améliorent la gêne due à la douleur (40 %) et la fonction (25 %) à 26 semaines chez les patients lombalgiques chroniques avec un effet durable jusqu’à 52 semaines (probablement en rapport avec des compétences acquises à long terme). Les auteurs n’ont pas observé de différence statistiquement significative entre les 2 techniques. Le catastrophisme a diminué à 26 semaines (p=0,02) et à 52 semaines (p=0,001). [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.171-173
Titre : Méditation en pleine conscience et lombalgie chronique Type de document : revue Auteurs : Françoise Laroche, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.171-173 Langues : Français Mots-clés : lombalgie chronique
méditation
pleine conscience
TCC thérapie cognitive et comportementaleRésumé : Plusieurs études au cours de la douleur chronique (fibromyalgie, arthrose, polyarthrite rhumatoïde) montrent que les thérapies cognitives et comportementales (TCC) incluant la méditation en pleine conscience (MBSR) améliorent les patients. Il s’agit surtout de leur façon de voir les symptômes douloureux, leur bien-être global et leur qualité de vie. Dans cette étude de 2016, les auteurs ont inclus 342 patients souffrant de lombalgie chronique. Les résultats montrent que les 2 types de psychothérapies (MBSR ou TCC) améliorent la gêne due à la douleur (40 %) et la fonction (25 %) à 26 semaines chez les patients lombalgiques chroniques avec un effet durable jusqu’à 52 semaines (probablement en rapport avec des compétences acquises à long terme). Les auteurs n’ont pas observé de différence statistiquement significative entre les 2 techniques. Le catastrophisme a diminué à 26 semaines (p=0,02) et à 52 semaines (p=0,001). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031346 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Stimulation magnétique transcrânienne « à large champ » et fibromyalgie, étude de preuve de concept : essai clinique ouvert réalisé chez 21 patients / Alexandra Menet in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°4 (septembre 2017)
[article] Stimulation magnétique transcrânienne « à large champ » et fibromyalgie, étude de preuve de concept : essai clinique ouvert réalisé chez 21 patients [revue] / Alexandra Menet, Auteur ; Nathalie Chastan, Auteur ; Anne-Priscille Trouvin, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.174-182.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.174-182
Mots-clés : anxiété
douleur
fatigue
fibromyalgie
qualité de vie
stimulation magnétique transcrânienneRésumé : Objectifs : Évaluer l’efficacité de la rTMS « à large champ » dans la fibromyalgie. Une évaluation multidimensionnelle a été réalisée avec pour critère de jugement principal l’échelle numérique de la douleur et critères secondaires les scores FIQ, MFI-20, HAD et WPI - SSS.
Méthodologie : Essai clinique monocentrique ouvert, réalisé en neurophysiologie chez des patients atteints de fibromyalgie consultant au Centre d’évaluation et traitement de la douleur du CHU de Rouen entre novembre 2014 et juin 2016. Les patients étaient inclus sur la base du FIRST, des critères ACR 1990 et ACR 2010. Les données étaient recueillies sur autoquestionnaires à j1, j7, j15 et j30 (EN douleur, scores FIQ, HAD, MFI-20 et WPI–SSS). Un examen clinique avec recherche des points de Yunus était réalisé à j1 et j30. Trois séances de stimulations magnétiques transcrâniennes, espacées sur 5 à 8jours, ont été réalisées pour chaque patient. Les séances comprenaient 30 stimulations, renouvelées 3 fois, soit 90 stimulations par séances.
Résultats : Vingt-et-un patients ont été inclus. L’EN douleur, le FIQ et le HAD anxiété étaient significativement améliorés à j7 (respectivement p=0,004, p=0,007 et p=0,049) et cette efficacité persistait jusqu’à j30. L’amélioration de la douleur portait à la fois sur les caractéristiques affectives et sensorielles au QDSA évalué à j30 (p=0,02). Le WPI était significativement amélioré à j7 (p=0,049) mais cette efficacité disparaissait au cours du suivi. L’amélioration du MFI était retardée par rapport aux stimulations (j30, p=0,04) ainsi que l’amélioration du score HAD dépression (j15, p=0,007 et j30, p=0,049).
Conclusion : La rTMS « à large champ » permet une amélioration des patients fibromyalgiques dans les multiples dimensions étudiées. Un essai clinique randomisé contrôlé devrait être réalisé pour confirmer les résultats préliminaires.[article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.174-182
Titre : Stimulation magnétique transcrânienne « à large champ » et fibromyalgie, étude de preuve de concept : essai clinique ouvert réalisé chez 21 patients Type de document : revue Auteurs : Alexandra Menet, Auteur ; Nathalie Chastan, Auteur ; Anne-Priscille Trouvin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.174-182 Langues : Français Mots-clés : anxiété
douleur
fatigue
fibromyalgie
qualité de vie
stimulation magnétique transcrânienneRésumé : Objectifs : Évaluer l’efficacité de la rTMS « à large champ » dans la fibromyalgie. Une évaluation multidimensionnelle a été réalisée avec pour critère de jugement principal l’échelle numérique de la douleur et critères secondaires les scores FIQ, MFI-20, HAD et WPI - SSS.
Méthodologie : Essai clinique monocentrique ouvert, réalisé en neurophysiologie chez des patients atteints de fibromyalgie consultant au Centre d’évaluation et traitement de la douleur du CHU de Rouen entre novembre 2014 et juin 2016. Les patients étaient inclus sur la base du FIRST, des critères ACR 1990 et ACR 2010. Les données étaient recueillies sur autoquestionnaires à j1, j7, j15 et j30 (EN douleur, scores FIQ, HAD, MFI-20 et WPI–SSS). Un examen clinique avec recherche des points de Yunus était réalisé à j1 et j30. Trois séances de stimulations magnétiques transcrâniennes, espacées sur 5 à 8jours, ont été réalisées pour chaque patient. Les séances comprenaient 30 stimulations, renouvelées 3 fois, soit 90 stimulations par séances.
Résultats : Vingt-et-un patients ont été inclus. L’EN douleur, le FIQ et le HAD anxiété étaient significativement améliorés à j7 (respectivement p=0,004, p=0,007 et p=0,049) et cette efficacité persistait jusqu’à j30. L’amélioration de la douleur portait à la fois sur les caractéristiques affectives et sensorielles au QDSA évalué à j30 (p=0,02). Le WPI était significativement amélioré à j7 (p=0,049) mais cette efficacité disparaissait au cours du suivi. L’amélioration du MFI était retardée par rapport aux stimulations (j30, p=0,04) ainsi que l’amélioration du score HAD dépression (j15, p=0,007 et j30, p=0,049).
Conclusion : La rTMS « à large champ » permet une amélioration des patients fibromyalgiques dans les multiples dimensions étudiées. Un essai clinique randomisé contrôlé devrait être réalisé pour confirmer les résultats préliminaires.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031346 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les neuropathies douloureuses à petites fibres, de découverte en découverte… / Christelle Créac’h in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°4 (septembre 2017)
[article] Les neuropathies douloureuses à petites fibres, de découverte en découverte… [revue] / Christelle Créac’h, Auteur . - 2017 . - p.183-187.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.183-187
Mots-clés : biopsie
douleur
neuropathieRésumé : Les NPF sont liées à des dysfonctions des fibres de petit calibre peu myélinisées Aδ et/ou amyéliniques C. Cliniquement on distingue des NPF longueur-dépendantes et des NPF non longueur-dépendantes. Les NPF sont dites mixtes si elles associent également une atteinte des fibres sensitives de gros calibre se traduisant par une altération des vitesses de conduction en électroneuromyographie. Dans le cas contraire elles sont dites pures. Pour les objectiver, il faut recourir à des tests comme la biopsie cutanée ou les potentiels évoqués laser. La recherche des étiologies est guidée par l’interrogatoire et l’examen clinique et par un bilan biologique de débrouillage. Le traitement sera si possible étiologique. Le traitement des douleurs neuropathiques est impératif, mais il s’avère parfois décevant en particulier dans les formes pharmaco-résistantes. La découverte de chanellopathies associées aux NPF devrait permettre de démembrer un certain nombre de NPF considérées jusqu’à présent comme des NPF idiopathiques, et pourrait peut-être permettre des avancées thérapeutiques significatives. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.183-187
Titre : Les neuropathies douloureuses à petites fibres, de découverte en découverte… Type de document : revue Auteurs : Christelle Créac’h, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.183-187 Langues : Français Mots-clés : biopsie
douleur
neuropathieRésumé : Les NPF sont liées à des dysfonctions des fibres de petit calibre peu myélinisées Aδ et/ou amyéliniques C. Cliniquement on distingue des NPF longueur-dépendantes et des NPF non longueur-dépendantes. Les NPF sont dites mixtes si elles associent également une atteinte des fibres sensitives de gros calibre se traduisant par une altération des vitesses de conduction en électroneuromyographie. Dans le cas contraire elles sont dites pures. Pour les objectiver, il faut recourir à des tests comme la biopsie cutanée ou les potentiels évoqués laser. La recherche des étiologies est guidée par l’interrogatoire et l’examen clinique et par un bilan biologique de débrouillage. Le traitement sera si possible étiologique. Le traitement des douleurs neuropathiques est impératif, mais il s’avère parfois décevant en particulier dans les formes pharmaco-résistantes. La découverte de chanellopathies associées aux NPF devrait permettre de démembrer un certain nombre de NPF considérées jusqu’à présent comme des NPF idiopathiques, et pourrait peut-être permettre des avancées thérapeutiques significatives. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031346 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Dans la douleur rebelle du cancer : la méthadone bien sûre ? Bien sûr ! / Philippe Poulain in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°4 (septembre 2017)
[article] Dans la douleur rebelle du cancer : la méthadone bien sûre ? Bien sûr ! [revue] / Philippe Poulain, Auteur ; Erwan Treillet, Auteur . - 2017 . - p.188-189.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.188-189
Mots-clés : douleur cancéreuse
effet secondaire
méthadone
opioïde
surdosageRésumé : Introduction : L’utilisation de la méthadone à travers le monde ne se limite plus au sevrage des patients héroïnomanes. Elle fait partie de l’arsenal thérapeutique pour les douleurs dues au cancer dans de nombreux pays et y détient une place de choix. L’année dernière, l’étude EQUIMETH2 menée par des investigateurs français s’est attachée à démontrer l’efficacité de ce traitement pour les patients douloureux atteints de cancer et ce quelle que soit la méthode d’instauration du traitement (analgésie contrôlée par le patient ou prises régulières). Parmi les inquiétudes du prescripteur, il y a surtout la sécurité d’emploi et la tolérance des patients (effets secondaires). Nous nous sommes donc efforcés d’explorer ces deux points au travers de l’analyse de cas des patients inclus dans cette étude.
Méthodologie : Description de la population en lien avec l’étude EQUIMETH2. Étude de la survenue des effets indésirables (EI) et des effets indésirables graves (EIG) (avec survenue éventuelle de surdosage) et aussi de l’analyse des décès et des liens éventuels avec la prise de méthadone.
Résultats : Tous les patients (146) sont atteints de cancer et 99,3 % ont une évolution locale et/ou à distance. Ces patients ne répondaient pas à plusieurs changements d’opioïdes consécutifs. Quatre-vingt-quatre pour cent (121) ont eu au moins un EI relié à la prise de méthadone. Les EI les plus fréquents (plus de 5 % des patients) sont neurologiques (59,7 %), gastro-intestinaux (38 %), psychiatriques (29,2 %), cutanés (hypersudation) (15,3 %). Seuls 26 patients (18,8 %) décrivent cet EI comme sévère et moins de 10 % de ces EI (pour 14 patients) conduisent à l’arrêt de la méthadone. Cinquante-six EIG (42 patients) sont en lien avec la prise de méthadone, pour 18 % (15 patients) le lien est « certain », pour 21 % (17 patients) il est « probable », et pour 17 % (12 patients) « possible ». Quatre-vingt-quatre pour cent des EIG (47) sont totalement résolutifs. Dans 51,7 % (29) des cas, le traitement n’a pas été interrompu. Deux décès en lien avec la méthadone sont survenus : une patiente qui, suite à un surdosage reversé par la naloxone, a eu une pneumopathie d’inhalation qui a conduit à la décompensation d’un état respiratoire au préalable fragile ; une autre a fait un arrêt cardiorespiratoire en lien probable avec la méthadone, arrêt survenu brutalement sans alerte préalable clinique ou électrocardiographique. Seize cas de surdosage opioïde ont pu être rattachés à la prise de méthadone (11 %) dont seulement 8 de manière « certaine » (5,5 %). La naloxone a été utilisée 9 fois (56,25 %), et la récupération est totale dans 87,5 % des cas. L’intervalle QT varie de manière infime (+1,8 %).
Conclusion : La méthadone s’est révélée sûre d’utilisation sur une population pourtant fragile. Comme tous les opioïdes, elle présente un risque de surdosage, facilement réversible par la naloxone. Aucun problème d’élargissement de l’espace QT n’a été mis en évidence. Ceci corrobore les nombreuses données internationales faisant état de la sûreté de ce traitement si un ensemble de règles sont respectées pour toute utilisation.[article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.188-189
Titre : Dans la douleur rebelle du cancer : la méthadone bien sûre ? Bien sûr ! Type de document : revue Auteurs : Philippe Poulain, Auteur ; Erwan Treillet, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.188-189 Langues : Français Mots-clés : douleur cancéreuse
effet secondaire
méthadone
opioïde
surdosageRésumé : Introduction : L’utilisation de la méthadone à travers le monde ne se limite plus au sevrage des patients héroïnomanes. Elle fait partie de l’arsenal thérapeutique pour les douleurs dues au cancer dans de nombreux pays et y détient une place de choix. L’année dernière, l’étude EQUIMETH2 menée par des investigateurs français s’est attachée à démontrer l’efficacité de ce traitement pour les patients douloureux atteints de cancer et ce quelle que soit la méthode d’instauration du traitement (analgésie contrôlée par le patient ou prises régulières). Parmi les inquiétudes du prescripteur, il y a surtout la sécurité d’emploi et la tolérance des patients (effets secondaires). Nous nous sommes donc efforcés d’explorer ces deux points au travers de l’analyse de cas des patients inclus dans cette étude.
Méthodologie : Description de la population en lien avec l’étude EQUIMETH2. Étude de la survenue des effets indésirables (EI) et des effets indésirables graves (EIG) (avec survenue éventuelle de surdosage) et aussi de l’analyse des décès et des liens éventuels avec la prise de méthadone.
Résultats : Tous les patients (146) sont atteints de cancer et 99,3 % ont une évolution locale et/ou à distance. Ces patients ne répondaient pas à plusieurs changements d’opioïdes consécutifs. Quatre-vingt-quatre pour cent (121) ont eu au moins un EI relié à la prise de méthadone. Les EI les plus fréquents (plus de 5 % des patients) sont neurologiques (59,7 %), gastro-intestinaux (38 %), psychiatriques (29,2 %), cutanés (hypersudation) (15,3 %). Seuls 26 patients (18,8 %) décrivent cet EI comme sévère et moins de 10 % de ces EI (pour 14 patients) conduisent à l’arrêt de la méthadone. Cinquante-six EIG (42 patients) sont en lien avec la prise de méthadone, pour 18 % (15 patients) le lien est « certain », pour 21 % (17 patients) il est « probable », et pour 17 % (12 patients) « possible ». Quatre-vingt-quatre pour cent des EIG (47) sont totalement résolutifs. Dans 51,7 % (29) des cas, le traitement n’a pas été interrompu. Deux décès en lien avec la méthadone sont survenus : une patiente qui, suite à un surdosage reversé par la naloxone, a eu une pneumopathie d’inhalation qui a conduit à la décompensation d’un état respiratoire au préalable fragile ; une autre a fait un arrêt cardiorespiratoire en lien probable avec la méthadone, arrêt survenu brutalement sans alerte préalable clinique ou électrocardiographique. Seize cas de surdosage opioïde ont pu être rattachés à la prise de méthadone (11 %) dont seulement 8 de manière « certaine » (5,5 %). La naloxone a été utilisée 9 fois (56,25 %), et la récupération est totale dans 87,5 % des cas. L’intervalle QT varie de manière infime (+1,8 %).
Conclusion : La méthadone s’est révélée sûre d’utilisation sur une population pourtant fragile. Comme tous les opioïdes, elle présente un risque de surdosage, facilement réversible par la naloxone. Aucun problème d’élargissement de l’espace QT n’a été mis en évidence. Ceci corrobore les nombreuses données internationales faisant état de la sûreté de ce traitement si un ensemble de règles sont respectées pour toute utilisation.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031346 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Questions posées au Docteur Esther Decazes à propos de psychodynamique du travail et douleur chronique / Patrick Sichère in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°4 (septembre 2017)
[article] Questions posées au Docteur Esther Decazes à propos de psychodynamique du travail et douleur chronique [revue] / Patrick Sichère, Auteur . - 2017 . - p.200-203.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.200-203
Mots-clés : douleur chronique
psychodynamique[article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°4 (septembre 2017) . - p.200-203
Titre : Questions posées au Docteur Esther Decazes à propos de psychodynamique du travail et douleur chronique Type de document : revue Auteurs : Patrick Sichère, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.200-203 Langues : Français Mots-clés : douleur chronique
psychodynamiqueExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031346 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
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