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Anesthésie & réanimation / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation . vol.3 n°5Mention de date : septembre 2017Paru le : 02/09/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierProfil des blessés de guerre Français en Afghanistan : expérience du service de santé des armées sur la période 2001–2010 / Chrystelle Poyat in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Profil des blessés de guerre Français en Afghanistan : expérience du service de santé des armées sur la période 2001–2010 [revue] / Chrystelle Poyat, Auteur ; Mathieu Boutonnet, Auteur ; Guillaume Pelée de Saint Maurice, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.403-412.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.403-412
Mots-clés : Afghanistan
blessé
guerre
militaireRésumé :
Introduction : Les données disponibles sur les blessés d’Afghanistan sont quasi exclusivement issues des équipes américaines. L’objectif de notre étude a été d’analyser l’activité liée à la prise en charge des militaires français blessés sur le théâtre afghan.
Matériel et méthode : Nous avons effectué une étude multicentrique rétrospective de décembre 2001 à janvier 2011. Les critères d’inclusion étaient les militaires français blessés en Afghanistan dont l’état de santé nécessitait une évacuation aérienne (MEDEVAC) sur la métropole. Nous avons collecté l’ensemble des données concernant le profil lésionnel des patients traumatisés (mécanisme, localisation des lésions), la prise en charge en Afghanistan, la MEDEVAC, et les soins prodigués en métropole.
Résultats : Cent seize patients ont été inclus, dont 76 patients traumatisés (69 %) et 34 patients évacués pour pathologie médicale (31 %). Parmi les blessés, 72 % ont présenté un traumatisme ouvert. Les deux principales causes de blessures étaient l’explosion d’Improvised Explosive Devices (IED) (26 %) et les traumatismes balistiques (33 %). Chez les patients traumatisés, les sites lésionnels prédominants étaient les membres (85 %) et la face (34 %).
Conclusion : Dans notre étude, nous rapportons chez les blessés militaires français en Afghanistan 72 % de traumatismes ouverts. La poursuite et l’amélioration des soins passent par le suivi épidémiologique de cette activité à l’instar des forces militaires américaines ainsi que par la formation.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.403-412
Titre : Profil des blessés de guerre Français en Afghanistan : expérience du service de santé des armées sur la période 2001–2010 Type de document : revue Auteurs : Chrystelle Poyat, Auteur ; Mathieu Boutonnet, Auteur ; Guillaume Pelée de Saint Maurice, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.403-412 Langues : Français Mots-clés : Afghanistan
blessé
guerre
militaireRésumé :
Introduction : Les données disponibles sur les blessés d’Afghanistan sont quasi exclusivement issues des équipes américaines. L’objectif de notre étude a été d’analyser l’activité liée à la prise en charge des militaires français blessés sur le théâtre afghan.
Matériel et méthode : Nous avons effectué une étude multicentrique rétrospective de décembre 2001 à janvier 2011. Les critères d’inclusion étaient les militaires français blessés en Afghanistan dont l’état de santé nécessitait une évacuation aérienne (MEDEVAC) sur la métropole. Nous avons collecté l’ensemble des données concernant le profil lésionnel des patients traumatisés (mécanisme, localisation des lésions), la prise en charge en Afghanistan, la MEDEVAC, et les soins prodigués en métropole.
Résultats : Cent seize patients ont été inclus, dont 76 patients traumatisés (69 %) et 34 patients évacués pour pathologie médicale (31 %). Parmi les blessés, 72 % ont présenté un traumatisme ouvert. Les deux principales causes de blessures étaient l’explosion d’Improvised Explosive Devices (IED) (26 %) et les traumatismes balistiques (33 %). Chez les patients traumatisés, les sites lésionnels prédominants étaient les membres (85 %) et la face (34 %).
Conclusion : Dans notre étude, nous rapportons chez les blessés militaires français en Afghanistan 72 % de traumatismes ouverts. La poursuite et l’amélioration des soins passent par le suivi épidémiologique de cette activité à l’instar des forces militaires américaines ainsi que par la formation.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 / Justine Simonet in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 [revue] / Justine Simonet, Auteur ; Frédérik Belot, Auteur ; Jean-Paul Freiermuth, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.413-418.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.413-418
Mots-clés : Afghanistan
blessé
combat
évacuation
guerre
service santé des arméesRésumé : L’Afghanistan a été un théâtre d’opération extérieure majeur pour les armées françaises. Le but de cette étude est d’évaluer la prévalence et les caractéristiques des blessures de guerre des combattants français lors de ce conflit. Il s’agit d’une analyse rétrospective des blessés au combat français évacués par hélicoptère et prise en charge aux urgences de l’hôpital médicochirurgical KaIA (Kabul International Airport, Afghanistan) du 01/10/2010 au 17/08/2012. Pendant la période étudiée, 93 évacuations médicales héliportées ont été réalisées pour 190 combattants français blessés au combat. Les mécanismes lésionnels étaient majoritairement des explosions (67 %). Les régions anatomiques concernées par les blessures étaient principalement les membres (67,9 %) et la région craniofaciale (37,4 %). Vingt-trois pour cent des blessés ont été catégorisés « urgence absolue » et la durée médiane d’évacuation a été de 60minutes [50 ; 79]. Quatre-vingt-huit patients (46,3 %) ont nécessité une chirurgie immédiate après passage aux urgences. La durée médiane de séjour à KaIA a été de 3jours [2 ; 6], avant un rapatriement en France (60 %) ou un retour au poste opérationnel (36 %). Neuf blessés (4,7 %) sont décédés après le début prise en charge médicale. Dans cette étude, les mécanismes lésionnels et la répartition anatomique des blessures diffèrent par rapport aux précédents conflits. L’amélioration du taux de survie des blessés au combat a été expliquée par l’amélioration des équipements de protection et la généralisation des principes fondamentaux de médecine opérationnelle moderne. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.413-418
Titre : Épidémiologie des évacuations sanitaires héliportées des blessés français au combat en Afghanistan de 2010 à 2012 Type de document : revue Auteurs : Justine Simonet, Auteur ; Frédérik Belot, Auteur ; Jean-Paul Freiermuth, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.413-418 Langues : Français Mots-clés : Afghanistan
blessé
combat
évacuation
guerre
service santé des arméesRésumé : L’Afghanistan a été un théâtre d’opération extérieure majeur pour les armées françaises. Le but de cette étude est d’évaluer la prévalence et les caractéristiques des blessures de guerre des combattants français lors de ce conflit. Il s’agit d’une analyse rétrospective des blessés au combat français évacués par hélicoptère et prise en charge aux urgences de l’hôpital médicochirurgical KaIA (Kabul International Airport, Afghanistan) du 01/10/2010 au 17/08/2012. Pendant la période étudiée, 93 évacuations médicales héliportées ont été réalisées pour 190 combattants français blessés au combat. Les mécanismes lésionnels étaient majoritairement des explosions (67 %). Les régions anatomiques concernées par les blessures étaient principalement les membres (67,9 %) et la région craniofaciale (37,4 %). Vingt-trois pour cent des blessés ont été catégorisés « urgence absolue » et la durée médiane d’évacuation a été de 60minutes [50 ; 79]. Quatre-vingt-huit patients (46,3 %) ont nécessité une chirurgie immédiate après passage aux urgences. La durée médiane de séjour à KaIA a été de 3jours [2 ; 6], avant un rapatriement en France (60 %) ou un retour au poste opérationnel (36 %). Neuf blessés (4,7 %) sont décédés après le début prise en charge médicale. Dans cette étude, les mécanismes lésionnels et la répartition anatomique des blessures diffèrent par rapport aux précédents conflits. L’amélioration du taux de survie des blessés au combat a été expliquée par l’amélioration des équipements de protection et la généralisation des principes fondamentaux de médecine opérationnelle moderne. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Intubation orotrachéale : à partir de deux théâtres d’opérations extérieures, épidémiologie des intubations difficiles prévues et imprévues / Audrey Jarrassier in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Intubation orotrachéale : à partir de deux théâtres d’opérations extérieures, épidémiologie des intubations difficiles prévues et imprévues [revue] / Audrey Jarrassier, Auteur ; Pierre Pasquier, Auteur ; Anne Chrisment, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.419-425.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.419-425
Mots-clés : intubation
laryngoscopie
médecine militaireRésumé : La survenue d’une intubation orotrachéale (IOT) difficile (ID) voire impossible, prévue ou imprévue, en anesthésie pour chirurgie réglée ou urgente ou en réanimation, est un véritable problème dont l’épidémiologie en milieu militaire sur les théâtres d’opérations extérieures (OPEX) est mal connue. Décrire les pratiques de l’IOT à l’hôpital médicochirurgical de KaIa (Kaboul International Airport, Afghanistan) et au Groupement médicochirurgical de N’Djamena (Tchad) et déterminer les moyens disponibles pour remédier aux situations d’ID. Étude descriptive prospective à partir de questionnaires complétés lors de toute IOT chez tous les patients civils et militaires, adultes et enfants, en anesthésie ou réanimation. Quatre cent quarante-quatre IOT ont été analysées. Les indications d’IOT étaient de 79,1 % pour chirurgie réglée, 17,3 % pour chirurgie urgente et 3,6 % en réanimation. Les critères prédictifs d’ID étaient recherchés dans 70,94 % des IOT, avec au moins un critère retrouvé chez 18,41 %. Trente cas d’ID étaient relevés, soit 6,8 % des IOT dont 22 cas (73,3 % des ID) en chirurgie réglée adulte. Le mandrin semi-rigide était utilisé 14 fois (46,7 % des cas d’ID), celui d’Eschmann 9 fois (30 %), et l’Airtraq 2 fois (7 %). Les facteurs de risques associés à l’ID en analyse multivariée étaient le lieu d’OPEX (Tchad) (OR 3,2) et la présence d’au moins un critère d’ID (OR 5,09). Notre étude met en évidence un faible taux d’ID <7 % en raison des caractéristiques démographiques (population jeune en OPEX) et des indications (chirurgie réglée principalement). Les mandrins semi-rigide, d’Eschmann et l’Airtraq constituent les techniques alternatives idéales en OPEX.
Mots clés : Intubation difficile, Milieu militaire, Opérations extérieures, Videolaryngoscopie[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.419-425
Titre : Intubation orotrachéale : à partir de deux théâtres d’opérations extérieures, épidémiologie des intubations difficiles prévues et imprévues Type de document : revue Auteurs : Audrey Jarrassier, Auteur ; Pierre Pasquier, Auteur ; Anne Chrisment, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.419-425 Langues : Français Mots-clés : intubation
laryngoscopie
médecine militaireRésumé : La survenue d’une intubation orotrachéale (IOT) difficile (ID) voire impossible, prévue ou imprévue, en anesthésie pour chirurgie réglée ou urgente ou en réanimation, est un véritable problème dont l’épidémiologie en milieu militaire sur les théâtres d’opérations extérieures (OPEX) est mal connue. Décrire les pratiques de l’IOT à l’hôpital médicochirurgical de KaIa (Kaboul International Airport, Afghanistan) et au Groupement médicochirurgical de N’Djamena (Tchad) et déterminer les moyens disponibles pour remédier aux situations d’ID. Étude descriptive prospective à partir de questionnaires complétés lors de toute IOT chez tous les patients civils et militaires, adultes et enfants, en anesthésie ou réanimation. Quatre cent quarante-quatre IOT ont été analysées. Les indications d’IOT étaient de 79,1 % pour chirurgie réglée, 17,3 % pour chirurgie urgente et 3,6 % en réanimation. Les critères prédictifs d’ID étaient recherchés dans 70,94 % des IOT, avec au moins un critère retrouvé chez 18,41 %. Trente cas d’ID étaient relevés, soit 6,8 % des IOT dont 22 cas (73,3 % des ID) en chirurgie réglée adulte. Le mandrin semi-rigide était utilisé 14 fois (46,7 % des cas d’ID), celui d’Eschmann 9 fois (30 %), et l’Airtraq 2 fois (7 %). Les facteurs de risques associés à l’ID en analyse multivariée étaient le lieu d’OPEX (Tchad) (OR 3,2) et la présence d’au moins un critère d’ID (OR 5,09). Notre étude met en évidence un faible taux d’ID <7 % en raison des caractéristiques démographiques (population jeune en OPEX) et des indications (chirurgie réglée principalement). Les mandrins semi-rigide, d’Eschmann et l’Airtraq constituent les techniques alternatives idéales en OPEX.
Mots clés : Intubation difficile, Milieu militaire, Opérations extérieures, VideolaryngoscopieExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Pédiatrie de guerre : caractéristiques épidémiologiques des admissions en réanimation à l’hôpital médicochirurgical de Kaboul / Alexandre Salvadori in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Pédiatrie de guerre : caractéristiques épidémiologiques des admissions en réanimation à l’hôpital médicochirurgical de Kaboul [revue] / Alexandre Salvadori, Auteur ; Elsa Pittaras, Auteur ; Pierre Pasquier, Auteur ; Stéphane Mérat, Auteur . - 2017 . - p.426-432.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.426-432
Mots-clés : guerre
Kaboul
pédiatrie
traumatismeRésumé : Décrire les caractéristiques épidémiologiques des admissions pédiatriques en réanimation à l’hôpital médicochirurgical de Kaboul. Une étude épidémiologique rétrospective a été conduite. Les dossiers de tous les enfants âgés de moins de 18 ans, hospitalisés en réanimation de mai 2010 à août 2012, ont été analysés. Les trois groupes d’âge 0–8 ans, 9–14 ans et 15–17 ans ainsi que les traumatismes en lien ou non avec les combats ont été comparés. Cent onze enfants ont été admis en réanimation représentant 21 % des admissions. La traumatologie représentait 92 % des motifs d’admission. L’âge moyen était de 9,4±4 ans, la durée moyenne de séjour en réanimation était 5,3±5jours. Neuf sur 111 enfants sont décédés en réanimation (8,1 %). Les causes traumatiques étaient un blast dans 36,5 % des cas, un traumatisme fermé dans 31,7 % et un traumatisme pénétrant dans 22,1 %. Les principaux mécanismes lésionnels étaient les explosions (37,5 %) et les plaies par arme à feu (22 %). L’ISS moyen était à 15±10. Les traumatismes liés aux combats représentaient 66 % des admissions. Comparé aux traumatismes non liés aux combats, ils étaient significativement plus sévères (ISS 17 vs 11 p=0,007, nombre de régions anatomiques traumatisées 2,3 vs 1,7 p=0,007). Les résultats montrent une activité pédiatrique importante durant le conflit afghan. Les enfants pris en charge présentaient un traumatise sévère dans la majorité des cas. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.426-432
Titre : Pédiatrie de guerre : caractéristiques épidémiologiques des admissions en réanimation à l’hôpital médicochirurgical de Kaboul Type de document : revue Auteurs : Alexandre Salvadori, Auteur ; Elsa Pittaras, Auteur ; Pierre Pasquier, Auteur ; Stéphane Mérat, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.426-432 Langues : Français Mots-clés : guerre
Kaboul
pédiatrie
traumatismeRésumé : Décrire les caractéristiques épidémiologiques des admissions pédiatriques en réanimation à l’hôpital médicochirurgical de Kaboul. Une étude épidémiologique rétrospective a été conduite. Les dossiers de tous les enfants âgés de moins de 18 ans, hospitalisés en réanimation de mai 2010 à août 2012, ont été analysés. Les trois groupes d’âge 0–8 ans, 9–14 ans et 15–17 ans ainsi que les traumatismes en lien ou non avec les combats ont été comparés. Cent onze enfants ont été admis en réanimation représentant 21 % des admissions. La traumatologie représentait 92 % des motifs d’admission. L’âge moyen était de 9,4±4 ans, la durée moyenne de séjour en réanimation était 5,3±5jours. Neuf sur 111 enfants sont décédés en réanimation (8,1 %). Les causes traumatiques étaient un blast dans 36,5 % des cas, un traumatisme fermé dans 31,7 % et un traumatisme pénétrant dans 22,1 %. Les principaux mécanismes lésionnels étaient les explosions (37,5 %) et les plaies par arme à feu (22 %). L’ISS moyen était à 15±10. Les traumatismes liés aux combats représentaient 66 % des admissions. Comparé aux traumatismes non liés aux combats, ils étaient significativement plus sévères (ISS 17 vs 11 p=0,007, nombre de régions anatomiques traumatisées 2,3 vs 1,7 p=0,007). Les résultats montrent une activité pédiatrique importante durant le conflit afghan. Les enfants pris en charge présentaient un traumatise sévère dans la majorité des cas. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Évaluation des connaissances et des formations à la « Transfusion sanguine en situation d’exception » des médecins anesthésistes-réanimateurs et infirmiers anesthésistes diplômés d’État du service de santé des armées / Diane Commandeur in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Évaluation des connaissances et des formations à la « Transfusion sanguine en situation d’exception » des médecins anesthésistes-réanimateurs et infirmiers anesthésistes diplômés d’État du service de santé des armées [revue] / Diane Commandeur, Auteur ; Mehdi Ould Ahmed, Auteur ; Benoit Clavier, Auteur . - 2017 . - p.433-439.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.433-439
Mots-clés : blessé
guerre
IADE infirmier anesthésiste diplômé d'état
service santé des armées
transfusion sanguineRésumé : La transfusion sanguine en situation d’exception est un défi, tant au plan des contraintes logistiques que thérapeutiques. La prise en charge des blessés de guerre, avec un risque d’afflux massif, ne souffre aucune improvisation et impose aux médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR) et aux infirmiers anesthésistes diplômés d’état (IADE) du service de santé des armées (SSA) une formation spécifique. Nous rapportons les résultats d’une étude conduite en 2011 évaluant l’état des connaissances des MAR et IADE en transfusion sanguine avant et après une formation spécifique sur la transfusion sanguine en situation d’exception délivrée par le Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA). Près de 120 MAR ou IADE ont été évalués, ce qui a permis de mettre en évidence des lacunes quant aux connaissances sur les spécificités de la transfusion en métropole comme en opérations extérieures (OPEX). La formation à la transfusion sanguine en OPEX a été considérée comme nécessaire par l’ensemble des stagiaires et a remporté un très haut taux de satisfaction avec des propositions d’amélioration qui ont toutes été prises en compte. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.433-439
Titre : Évaluation des connaissances et des formations à la « Transfusion sanguine en situation d’exception » des médecins anesthésistes-réanimateurs et infirmiers anesthésistes diplômés d’État du service de santé des armées Type de document : revue Auteurs : Diane Commandeur, Auteur ; Mehdi Ould Ahmed, Auteur ; Benoit Clavier, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.433-439 Langues : Français Mots-clés : blessé
guerre
IADE infirmier anesthésiste diplômé d'état
service santé des armées
transfusion sanguineRésumé : La transfusion sanguine en situation d’exception est un défi, tant au plan des contraintes logistiques que thérapeutiques. La prise en charge des blessés de guerre, avec un risque d’afflux massif, ne souffre aucune improvisation et impose aux médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR) et aux infirmiers anesthésistes diplômés d’état (IADE) du service de santé des armées (SSA) une formation spécifique. Nous rapportons les résultats d’une étude conduite en 2011 évaluant l’état des connaissances des MAR et IADE en transfusion sanguine avant et après une formation spécifique sur la transfusion sanguine en situation d’exception délivrée par le Centre de transfusion sanguine des armées (CTSA). Près de 120 MAR ou IADE ont été évalués, ce qui a permis de mettre en évidence des lacunes quant aux connaissances sur les spécificités de la transfusion en métropole comme en opérations extérieures (OPEX). La formation à la transfusion sanguine en OPEX a été considérée comme nécessaire par l’ensemble des stagiaires et a remporté un très haut taux de satisfaction avec des propositions d’amélioration qui ont toutes été prises en compte. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Anesthésie en opérations extérieures / Nicolas Donat in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Anesthésie en opérations extérieures [revue] / Nicolas Donat, Auteur ; Jean-Vivien Schaal, Auteur ; Yannick Masson, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.440-449.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.440-449
Mots-clés : anesthésie
médecine militaireRésumé : La pratique de l’anesthésie en opérations extérieures a pour objectif de se conformer au plus près de la pratique civile en particulier dans le niveau d’exigence de qualité et de sécurité des soins dispensés. Cependant, elle répond également à des impératifs matériels, humains, logistiques et tactiques singuliers qui vont imposer une adaptation aux médecins anesthésistes-réanimateurs projetés. Ses principes et ses contraintes sont exposés, les principales situations rencontrées et leurs solutions techniques et procédurales sont présentées. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.440-449
Titre : Anesthésie en opérations extérieures Type de document : revue Auteurs : Nicolas Donat, Auteur ; Jean-Vivien Schaal, Auteur ; Yannick Masson, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.440-449 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
médecine militaireRésumé : La pratique de l’anesthésie en opérations extérieures a pour objectif de se conformer au plus près de la pratique civile en particulier dans le niveau d’exigence de qualité et de sécurité des soins dispensés. Cependant, elle répond également à des impératifs matériels, humains, logistiques et tactiques singuliers qui vont imposer une adaptation aux médecins anesthésistes-réanimateurs projetés. Ses principes et ses contraintes sont exposés, les principales situations rencontrées et leurs solutions techniques et procédurales sont présentées. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Évolution de la stratégie transfusionnelle en temps de guerre / Bertrand Prunet in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Évolution de la stratégie transfusionnelle en temps de guerre [revue] / Bertrand Prunet, Auteur ; Pierre Esnault, Auteur ; Cédric Nguyen, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.450-457.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.450-457
Mots-clés : blessé
combat
damage control
guerre
médecine militaire
plasma
transfusion sanguineRésumé : L’hémorragie demeure la principale cause de « décès évitables » au cours des conflits armés. La réanimation transfusionnelle (RT) constitue un des aspects du « damage control ressuscitation » qui vise à arrêter l’hémorragie et préserver la coagulation. En effet les moyens logistiques sont limités et les besoins transfusionnels supérieurs à ceux de la traumatologie civile qui est majoritairement fermée. L’acide tranexamique doit être utilisé dès la zone des combats car son bénéfice est d’autant plus important que son injection est précoce. La transfusion « préhospitalière » au cours de l’évacuation vers la structure chirurgicale de l’avant est réalisée pour les patients les plus graves. À cet effet, le plasma lyophilisé, préparé par le Centre de Transfusion Sanguine des Armées, universel pour le groupage sanguin et sécurisé, est particulièrement intéressant. La majorité des armées achemine des concentrés de globules rouges (CGR) et du plasma mais disposent très rarement de plaquettes sur les théâtres d’opération. Le choix du ratio de transfusion de plasma/CGR se situe entre 1/2 et 1/1 mais dans un souci d’efficacité la règle du 1/1 est plus simple à appliquer pour les blessés les plus graves. Le recours exceptionnel à la transfusion de sang total, prélevé et qualifié sur place, est justifié par le besoin en plaquettes. Le risque résiduel infectieux estimé est très inférieur au risque de décès par choc hémorragique traumatique. La biologie délocalisée est utilisée pour ajuster la RT mais les données cliniques priment tant que l’hémostase chirurgicale n’a pas été réalisée. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.450-457
Titre : Évolution de la stratégie transfusionnelle en temps de guerre Type de document : revue Auteurs : Bertrand Prunet, Auteur ; Pierre Esnault, Auteur ; Cédric Nguyen, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.450-457 Langues : Français Mots-clés : blessé
combat
damage control
guerre
médecine militaire
plasma
transfusion sanguineRésumé : L’hémorragie demeure la principale cause de « décès évitables » au cours des conflits armés. La réanimation transfusionnelle (RT) constitue un des aspects du « damage control ressuscitation » qui vise à arrêter l’hémorragie et préserver la coagulation. En effet les moyens logistiques sont limités et les besoins transfusionnels supérieurs à ceux de la traumatologie civile qui est majoritairement fermée. L’acide tranexamique doit être utilisé dès la zone des combats car son bénéfice est d’autant plus important que son injection est précoce. La transfusion « préhospitalière » au cours de l’évacuation vers la structure chirurgicale de l’avant est réalisée pour les patients les plus graves. À cet effet, le plasma lyophilisé, préparé par le Centre de Transfusion Sanguine des Armées, universel pour le groupage sanguin et sécurisé, est particulièrement intéressant. La majorité des armées achemine des concentrés de globules rouges (CGR) et du plasma mais disposent très rarement de plaquettes sur les théâtres d’opération. Le choix du ratio de transfusion de plasma/CGR se situe entre 1/2 et 1/1 mais dans un souci d’efficacité la règle du 1/1 est plus simple à appliquer pour les blessés les plus graves. Le recours exceptionnel à la transfusion de sang total, prélevé et qualifié sur place, est justifié par le besoin en plaquettes. Le risque résiduel infectieux estimé est très inférieur au risque de décès par choc hémorragique traumatique. La biologie délocalisée est utilisée pour ajuster la RT mais les données cliniques priment tant que l’hémostase chirurgicale n’a pas été réalisée. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Damage control, réanimation / Sylvain Vico in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Damage control, réanimation [revue] / Sylvain Vico, Auteur ; Mathieu Boutonnet, Auteur ; Thibault Martinez, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.458-466.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.458-466
Mots-clés : damage control
transfusion sanguine
traumatismeRésumé : Le damage control n’est pas une technique chirurgicale ou une solution dégradée mais un concept global de prise en charge du traumatisé sévère du lieu de l’accident à son traitement définitif. Le DC repose sur une chaine de survie visant à placer le bon geste au bon moment permettant au patient d’arriver vivant à l’échelon suivant sans perte de chance. Le temps est un facteur majeur de réussite du DC. Les indications de DC sont individuelles précoces (traumatisé sévère), individuelles tardives (traumatise sévère ne pouvant supporter un premier temps chirurgical trop long) et collectives (contexte d’afflux). Le DC resuscitation (DCR) doit nécessairement s’articuler avec le DC chirurgical. Ce dernier repose sur des gestes volontairement simples et partiels pour permettre un second temps sur un patient stabilisé. Le DCR repose sur l’hémostase précoce, la correction de la triade létale et l’hypotension permissive. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.458-466
Titre : Damage control, réanimation Type de document : revue Auteurs : Sylvain Vico, Auteur ; Mathieu Boutonnet, Auteur ; Thibault Martinez, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.458-466 Langues : Français Mots-clés : damage control
transfusion sanguine
traumatismeRésumé : Le damage control n’est pas une technique chirurgicale ou une solution dégradée mais un concept global de prise en charge du traumatisé sévère du lieu de l’accident à son traitement définitif. Le DC repose sur une chaine de survie visant à placer le bon geste au bon moment permettant au patient d’arriver vivant à l’échelon suivant sans perte de chance. Le temps est un facteur majeur de réussite du DC. Les indications de DC sont individuelles précoces (traumatisé sévère), individuelles tardives (traumatise sévère ne pouvant supporter un premier temps chirurgical trop long) et collectives (contexte d’afflux). Le DC resuscitation (DCR) doit nécessairement s’articuler avec le DC chirurgical. Ce dernier repose sur des gestes volontairement simples et partiels pour permettre un second temps sur un patient stabilisé. Le DCR repose sur l’hémostase précoce, la correction de la triade létale et l’hypotension permissive. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le damage control chirurgical : principes, indications et déclinaisons / Emmanuel Hornez in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Le damage control chirurgical : principes, indications et déclinaisons [revue] / Emmanuel Hornez, Auteur ; Guillaume Boddaert, Auteur ; Tristan Monchal, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.467-475.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.467-475
Mots-clés : chirurgie
coagulopathie
damage control
hémorragie
polytraumatismeRésumé : Le damage control chirurgical (DCS) repose sur une stratégie en 3 temps : une chirurgie initiale écourtée centrée sur le contrôle de l’hémorragie, une hospitalisation en réanimation pour correction des troubles physiologiques (acidose, coagulopathie, hypothermie) et une chirurgie secondaire pour le traitement définitif des lésions. Les indications majeures de DCS sont, en préopératoire, un pH<7,2, une température corporelle inférieure à 34°C et une pression artérielle systolique inférieure à 90mmHg malgré une réanimation bien conduite. Les indications peropératoire dépendent des mêmes paramètres physiologiques, mais aussi des constatations chirurgicales. Les objectifs de la DCS sont le contrôle rapide des hémorragies, la revascularisation des axes vasculaires, la restauration d’une hématose efficace (aérostase), le contrôle du sepsis (coprostase, urostase, parage), l’immobilisation des segments de membres et la prévention de l’engagement cérébral pour les traumatisés crâniens. La chirurgie secondaire n’est pas spécifique, est adaptée aux lésions et suit les recommandations internationales en traumatologie. Elle est réalisée le plus tôt possible, dès que l’état général du patient le permet. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.467-475
Titre : Le damage control chirurgical : principes, indications et déclinaisons Type de document : revue Auteurs : Emmanuel Hornez, Auteur ; Guillaume Boddaert, Auteur ; Tristan Monchal, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.467-475 Langues : Français Mots-clés : chirurgie
coagulopathie
damage control
hémorragie
polytraumatismeRésumé : Le damage control chirurgical (DCS) repose sur une stratégie en 3 temps : une chirurgie initiale écourtée centrée sur le contrôle de l’hémorragie, une hospitalisation en réanimation pour correction des troubles physiologiques (acidose, coagulopathie, hypothermie) et une chirurgie secondaire pour le traitement définitif des lésions. Les indications majeures de DCS sont, en préopératoire, un pH<7,2, une température corporelle inférieure à 34°C et une pression artérielle systolique inférieure à 90mmHg malgré une réanimation bien conduite. Les indications peropératoire dépendent des mêmes paramètres physiologiques, mais aussi des constatations chirurgicales. Les objectifs de la DCS sont le contrôle rapide des hémorragies, la revascularisation des axes vasculaires, la restauration d’une hématose efficace (aérostase), le contrôle du sepsis (coprostase, urostase, parage), l’immobilisation des segments de membres et la prévention de l’engagement cérébral pour les traumatisés crâniens. La chirurgie secondaire n’est pas spécifique, est adaptée aux lésions et suit les recommandations internationales en traumatologie. Elle est réalisée le plus tôt possible, dès que l’état général du patient le permet. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Quelles sont les leçons récentes et quel est l’avenir de la médecine opérationnelle ? / Sylvain Ausset in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°5 (septembre 2017)
[article] Quelles sont les leçons récentes et quel est l’avenir de la médecine opérationnelle ? [revue] / Sylvain Ausset, Auteur . - 2017 . - p.476-484.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.476-484
Mots-clés : attentat
médecine militaire
traumatologieRésumé : Les dernières décennies ont été marquées pour la médecine militaire par des progrès majeurs et pour les sociétés occidentales par l’irruption de la violence armée de masse. La coïncidence de ces deux faits plaide pour un transfert de savoir-faire du monde militaire vers le monde civil. Il importe pour cela de faire une revue des acquis militaires récents en traumatologie, de recenser ceux qui sont exportables à une pratique civile, de se pencher sur les mécanismes d’amélioration des pratiques médicales dans un contexte évolutif et de toute façon difficile à appréhender et enfin d’envisager les défis à venir dans le domaine de la réponse médicale à la violence. De fructueuses collaborations ont déjà été initiées au lendemain des attentats de 2015 et les systèmes de soins civils et militaires ont tout à gagner à poursuivre dans cette voie, non seulement dans la planification des soins en cas d’attaque terroriste sur le territoire national, mais aussi la réduction de la mortalité due à la traumatologie de temps de paix. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°5 (septembre 2017) . - p.476-484
Titre : Quelles sont les leçons récentes et quel est l’avenir de la médecine opérationnelle ? Type de document : revue Auteurs : Sylvain Ausset, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.476-484 Langues : Français Mots-clés : attentat
médecine militaire
traumatologieRésumé : Les dernières décennies ont été marquées pour la médecine militaire par des progrès majeurs et pour les sociétés occidentales par l’irruption de la violence armée de masse. La coïncidence de ces deux faits plaide pour un transfert de savoir-faire du monde militaire vers le monde civil. Il importe pour cela de faire une revue des acquis militaires récents en traumatologie, de recenser ceux qui sont exportables à une pratique civile, de se pencher sur les mécanismes d’amélioration des pratiques médicales dans un contexte évolutif et de toute façon difficile à appréhender et enfin d’envisager les défis à venir dans le domaine de la réponse médicale à la violence. De fructueuses collaborations ont déjà été initiées au lendemain des attentats de 2015 et les systèmes de soins civils et militaires ont tout à gagner à poursuivre dans cette voie, non seulement dans la planification des soins en cas d’attaque terroriste sur le territoire national, mais aussi la réduction de la mortalité due à la traumatologie de temps de paix. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031383 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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00031383 | rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
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