vol.13 n°4 décembre 2016 vol.14 n°1 mars 2017 vol.14 n°2 juin 2017 vol.14 n°3 septembre 2017 vol.14 n°4 décembre 2017 vol.15 n°1 mars 2018 vol.15 n°2 juin 2018 Risques et qualité en milieu de soins . vol.14 n°3 Mention de date :  septembre 2017 Paru le :  01/09/2017

Dépouillements

Participation des familles aux soins en réanimation : un besoin de reconnaissance ? / Didier Fourel in Risques et qualité en milieu de soins, vol.14 n°3 (septembre 2017)

ISBD Public [article] Participation des familles aux soins en réanimation : un besoin de reconnaissance ? [revue] / Didier Fourel, Auteur ; Diane Commandeur, Auteur ; Christophe Giacardi, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.137-143. Langues : Français in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.137-143 Mots-clés : aidant familial famille participation réanimation reconnaissance Résumé : L’accueil des proches en réanimation pose des difficultés pratiques et justifie un projet de soins centré sur les familles, pour lequel il existe des recommandations récentes. Nous rapportons les résultats d’une étude d’évaluation de la qualité de la relation soignants-familles dans un service de réanimation. L’objectif est de décrire le processus de soin centré sur les proches et d’analyser les risques qui lui sont associés. Pour cela, la participation de l’entourage aux soins est mesurée d’un point de vue soignant. En parallèle, les difficultés réelles et potentielles qu’éprouvent les acteurs à se reconnaître sont évaluées du point de vue des familles. Les résultats montrent qu’il n’est pas dans la culture du soignant d’autoriser l’entourage à participer aux soins car il n’en a pas la compétence. Cela pose la question de la formation et de l’accompagnement des familles. La participation de l’entourage aux soins profite d’abord aux patients et proches et moins aux conditions d’exercice des soignants. Quand la communication est bonne, l’accueil des familles s’en trouve amélioré. Cependant, on observe un risque d’épuisement des mécanismes de reconnaissance mutuelle des acteurs, au cours du séjour. Incarner le rôle d’aidant exige pour la famille une double reconnaissance par le patient et par l’équipe soignante, qui va apprécier sa capacité à développer une relation de confiance. Il en découle que l’accompagnement doit viser un partenariat qui rendra possible la personnalisation du soin. [article]  in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.137-143 Titre : Participation des familles aux soins en réanimation : un besoin de reconnaissance ? Type de document : revue Auteurs : Didier Fourel, Auteur ; Diane Commandeur, Auteur ; Christophe Giacardi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.137-143 Langues : Français Mots-clés : aidant familial famille participation réanimation reconnaissance Résumé : L’accueil des proches en réanimation pose des difficultés pratiques et justifie un projet de soins centré sur les familles, pour lequel il existe des recommandations récentes. Nous rapportons les résultats d’une étude d’évaluation de la qualité de la relation soignants-familles dans un service de réanimation. L’objectif est de décrire le processus de soin centré sur les proches et d’analyser les risques qui lui sont associés. Pour cela, la participation de l’entourage aux soins est mesurée d’un point de vue soignant. En parallèle, les difficultés réelles et potentielles qu’éprouvent les acteurs à se reconnaître sont évaluées du point de vue des familles. Les résultats montrent qu’il n’est pas dans la culture du soignant d’autoriser l’entourage à participer aux soins car il n’en a pas la compétence. Cela pose la question de la formation et de l’accompagnement des familles. La participation de l’entourage aux soins profite d’abord aux patients et proches et moins aux conditions d’exercice des soignants. Quand la communication est bonne, l’accueil des familles s’en trouve amélioré. Cependant, on observe un risque d’épuisement des mécanismes de reconnaissance mutuelle des acteurs, au cours du séjour. Incarner le rôle d’aidant exige pour la famille une double reconnaissance par le patient et par l’équipe soignante, qui va apprécier sa capacité à développer une relation de confiance. Il en découle que l’accompagnement doit viser un partenariat qui rendra possible la personnalisation du soin.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00031364	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Chambre des erreurs en jeu vidéo 2D : un serious game innovant en santé / Anne-Sophie Plichet in Risques et qualité en milieu de soins, vol.14 n°3 (septembre 2017)

ISBD Public [article] Chambre des erreurs en jeu vidéo 2D : un serious game innovant en santé [revue] / Anne-Sophie Plichet, Auteur ; Doreya Monzat, Auteur ; Marion Lottin, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.145-150. Langues : Français in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.145-150 Mots-clés : chambre des erreurs gestion des risques sécurité patient serious game Résumé : La chambre des erreurs est un outil de simulation en santé s’inscrivant dans une démarche globale de gestion des risques associés aux soins. L’article fait le point sur cet outil et relate la mise en œuvre d’un serious game de ce type, déployé dans des établissements de santé lors de la semaine de la sécurité des patients (SSP). L’Observatoire des médicaments, des dispositifs médicaux et des innovations thérapeutiques (Omédit) de Normandie a développé ce serious game baptisé Simerror, en partenariat avec le CHU, le centre de lutte contre le cancer Henri Becquerel (CLCC) et l’université de Rouen. Objectifs : Il s’agissait de concevoir un outil numérique, ludique et facilement accessible, afin d’acquérir ou de réactualiser des connaissances sur les bonnes pratiques en sécurité des soins pour les professionnels de santé, et de rendre les usagers acteurs dans la sécurisation de leur prise en charge médicale. Méthode : Le groupe projet a travaillé en collaboration avec une équipe technique et pédagogique spécialisée dans la création de serious games. La première version a été testée en novembre 2016 par 3 établissements pilotes, lors de la SSP. Résultats : En fin de jeu, un questionnaire de satisfaction remis aux participants a montré une très grande satisfaction de leur part. Conclusion : Il est maintenant prévu d’introduire des erreurs supplémentaires, de créer différents niveaux de difficulté, des scènes supplémentaires et de proposer ce serious game en formation initiale ou continue. [article]  in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.145-150 Titre : Chambre des erreurs en jeu vidéo 2D : un serious game innovant en santé Type de document : revue Auteurs : Anne-Sophie Plichet, Auteur ; Doreya Monzat, Auteur ; Marion Lottin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.145-150 Langues : Français Mots-clés : chambre des erreurs gestion des risques sécurité patient serious game Résumé : La chambre des erreurs est un outil de simulation en santé s’inscrivant dans une démarche globale de gestion des risques associés aux soins. L’article fait le point sur cet outil et relate la mise en œuvre d’un serious game de ce type, déployé dans des établissements de santé lors de la semaine de la sécurité des patients (SSP). L’Observatoire des médicaments, des dispositifs médicaux et des innovations thérapeutiques (Omédit) de Normandie a développé ce serious game baptisé Simerror, en partenariat avec le CHU, le centre de lutte contre le cancer Henri Becquerel (CLCC) et l’université de Rouen. Objectifs : Il s’agissait de concevoir un outil numérique, ludique et facilement accessible, afin d’acquérir ou de réactualiser des connaissances sur les bonnes pratiques en sécurité des soins pour les professionnels de santé, et de rendre les usagers acteurs dans la sécurisation de leur prise en charge médicale. Méthode : Le groupe projet a travaillé en collaboration avec une équipe technique et pédagogique spécialisée dans la création de serious games. La première version a été testée en novembre 2016 par 3 établissements pilotes, lors de la SSP. Résultats : En fin de jeu, un questionnaire de satisfaction remis aux participants a montré une très grande satisfaction de leur part. Conclusion : Il est maintenant prévu d’introduire des erreurs supplémentaires, de créer différents niveaux de difficulté, des scènes supplémentaires et de proposer ce serious game en formation initiale ou continue.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00031364	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Accompagner « debout » les patients au bloc opératoire pour opérer une personne et pas un organe / Catherine Gay in Risques et qualité en milieu de soins, vol.14 n°3 (septembre 2017)

ISBD Public [article] Accompagner « debout » les patients au bloc opératoire pour opérer une personne et pas un organe [revue] / Catherine Gay (1958-....), Auteur ; Thomas De Lapparent, Auteur ; Evelyne Petit, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.151-154. Langues : Français in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.151-154 Mots-clés : accueil bientraitance bloc opératoire dignité posture debout relation soignant soigné Résumé : L’Hôpital Nord Franche-Comté (Belfort) a souhaité améliorer la relation soignant-soigné en portant les valeurs de bientraitance et de dignité. L’accueil du patient et son accompagnement debout au bloc opératoire nous sont apparus comme l’un des moyens : (1) de respecter la dignité du patient, en favorisant sa mobilité avec une tenue correcte ; (2) de lui donner les moyens de comprendre et de communiquer avec les soignants jusqu’avant l’induction ; (3) de l’intégrer à la démarche de sécurité du parcours chirurgical (identitovigilance, participation à la check-list) ; (4) d’améliorer les conditions de travail des brancardiers, qui deviennent des « équipiers–accompagnateurs » ; et (5) de renforcer le respect de l’hygiène, par une nouvelle organisation qui limite les risques de transmission croisée. La méthode utilisée est la conduite d’une initiative, pilotée par l’équipe projet « patient debout ». L’article présente cette expérience originale, qui repose sur l’adhésion de la communauté hospitalière, obtenue en multipliant les rencontres individuelles ou plus formelles, pour lever les freins et gérer les risques encourus. Une enquête auprès des patients et une évaluation auprès des soignants ont permis de mesurer la satisfaction, mais aussi les attentes pour un fonctionnement plus optimum. Suite aux résultats de l’évaluation, l’équipe a revu les modalités pratiques et la direction a intégré cet accompagnement debout dans le projet de fonctionnement du nouveau bloc opératoire en construction. [article]  in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.151-154 Titre : Accompagner « debout » les patients au bloc opératoire pour opérer une personne et pas un organe Type de document : revue Auteurs : Catherine Gay (1958-....), Auteur ; Thomas De Lapparent, Auteur ; Evelyne Petit, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.151-154 Langues : Français Mots-clés : accueil bientraitance bloc opératoire dignité posture debout relation soignant soigné Résumé : L’Hôpital Nord Franche-Comté (Belfort) a souhaité améliorer la relation soignant-soigné en portant les valeurs de bientraitance et de dignité. L’accueil du patient et son accompagnement debout au bloc opératoire nous sont apparus comme l’un des moyens : (1) de respecter la dignité du patient, en favorisant sa mobilité avec une tenue correcte ; (2) de lui donner les moyens de comprendre et de communiquer avec les soignants jusqu’avant l’induction ; (3) de l’intégrer à la démarche de sécurité du parcours chirurgical (identitovigilance, participation à la check-list) ; (4) d’améliorer les conditions de travail des brancardiers, qui deviennent des « équipiers–accompagnateurs » ; et (5) de renforcer le respect de l’hygiène, par une nouvelle organisation qui limite les risques de transmission croisée. La méthode utilisée est la conduite d’une initiative, pilotée par l’équipe projet « patient debout ». L’article présente cette expérience originale, qui repose sur l’adhésion de la communauté hospitalière, obtenue en multipliant les rencontres individuelles ou plus formelles, pour lever les freins et gérer les risques encourus. Une enquête auprès des patients et une évaluation auprès des soignants ont permis de mesurer la satisfaction, mais aussi les attentes pour un fonctionnement plus optimum. Suite aux résultats de l’évaluation, l’équipe a revu les modalités pratiques et la direction a intégré cet accompagnement debout dans le projet de fonctionnement du nouveau bloc opératoire en construction.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00031364	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

La détente et le bien-être au travail au service des patients / Laetitia Fallot in Risques et qualité en milieu de soins, vol.14 n°3 (septembre 2017)

ISBD Public [article] La détente et le bien-être au travail au service des patients [revue] / Laetitia Fallot, Auteur ; Fabienne Nageotte, Auteur ; Isabelle Francisco, Auteur . - 2017 . - p.155-161. Langues : Français in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.155-161 Mots-clés : certification code du travail qualité des soins QVT qualité de vie au travail relaxation risque professionnel Résumé : L’espace bien-être « salon de détente et de soins minute » en service de soins a été créé par le centre hospitalier (CH) de Bourbonne-les-Bains. Il s’adresse à tout le personnel de l’établissement. Deux journées d’ouverture mensuelles sont proposées. Le personnel peut bénéficier de soins de bien-être sur son temps de pause, sur des horaires spécifiques, prodigués par deux aides-soignantes formées aux soins de détente minute. Les soins proposés n’excèdent pas dix minutes. Ils sont réalisés dans un espace dédié et aménagé au cœur d’un service, mêlant senteur et lumière propice à un moment de relaxation. Il s’agit de proposer au personnel une action permettant de contribuer à l’amélioration de sa qualité de vie au travail, et d’améliorer ainsi la qualité des soins ; l’objectif étant : des soignants mieux dans leur travail prodiguent des soins d’une meilleure qualité. Cette action initiée en 2016 par des journées découvertes et poursuivie de manière pérenne en 2017, rencontre un grand succès auprès des professionnels, pour la qualité des soins proposés, leur apport bénéfique relaxant et le lâcher-prise que ce moment représente, par rapport à la pression liée à la charge et à l’environnement professionnel. Nous présentons l’organisation de cet espace bien-être, son développement, les objectifs, ainsi que les résultats recueillis à la suite d’un questionnaire de satisfaction distribué au personnel ayant découvert cet espace. [article]  in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.155-161 Titre : La détente et le bien-être au travail au service des patients Type de document : revue Auteurs : Laetitia Fallot, Auteur ; Fabienne Nageotte, Auteur ; Isabelle Francisco, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.155-161 Langues : Français Mots-clés : certification code du travail qualité des soins QVT qualité de vie au travail relaxation risque professionnel Résumé : L’espace bien-être « salon de détente et de soins minute » en service de soins a été créé par le centre hospitalier (CH) de Bourbonne-les-Bains. Il s’adresse à tout le personnel de l’établissement. Deux journées d’ouverture mensuelles sont proposées. Le personnel peut bénéficier de soins de bien-être sur son temps de pause, sur des horaires spécifiques, prodigués par deux aides-soignantes formées aux soins de détente minute. Les soins proposés n’excèdent pas dix minutes. Ils sont réalisés dans un espace dédié et aménagé au cœur d’un service, mêlant senteur et lumière propice à un moment de relaxation. Il s’agit de proposer au personnel une action permettant de contribuer à l’amélioration de sa qualité de vie au travail, et d’améliorer ainsi la qualité des soins ; l’objectif étant : des soignants mieux dans leur travail prodiguent des soins d’une meilleure qualité. Cette action initiée en 2016 par des journées découvertes et poursuivie de manière pérenne en 2017, rencontre un grand succès auprès des professionnels, pour la qualité des soins proposés, leur apport bénéfique relaxant et le lâcher-prise que ce moment représente, par rapport à la pression liée à la charge et à l’environnement professionnel. Nous présentons l’organisation de cet espace bien-être, son développement, les objectifs, ainsi que les résultats recueillis à la suite d’un questionnaire de satisfaction distribué au personnel ayant découvert cet espace.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00031364	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Analyse des situations à risque d’une étape du processus de stérilisation (recomposition-conditionnement) / Sophie Guirao in Risques et qualité en milieu de soins, vol.14 n°3 (septembre 2017)

ISBD Public [article] Analyse des situations à risque d’une étape du processus de stérilisation (recomposition-conditionnement) [revue] / Sophie Guirao, Auteur ; Marion Grouvel, Auteur ; Agnès Petit, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.163-174. Langues : Français in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.163-174 Mots-clés : AMDEC analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité conditionnement prévention des risques recomposition stérilisation Résumé : L’objectif de ce travail est de réaliser une analyse des risques a priori, portant sur le sous-processus « recomposition-conditionnement » en stérilisation avec la méthode d’analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité (AMDEC). Dans un premier temps, les risques ont été détaillés, identifiés et analysés par tâches. Dans un second temps, le calcul de l’indice de criticité a permis de cibler des actions prioritaires, en vue de réduire ou d’éliminer le risque, ou de prévoir des actions pour réagir face au risque non éliminable. Le sous-processus étudié présente une criticité moyenne de 15. Aucun mode de défaillance ne correspondait à la criticité la plus élevée (C3). 23 % (11 sur 48) et 76 % (38 sur 49) des modes de défaillance ont respectivement une criticité classée C1 et C2. Seuls ont été étudiés les modes de défaillance dont le niveau de criticité est le plus élevé C2. Ceux-ci ont été ciblés par un groupe de travail afin de proposer des actions d’amélioration. Cette réflexion et cette recherche collectives, par les personnes impliquées dans les tâches au quotidien, ont permis d’obtenir une meilleure réceptivité et une meilleure adhésion au projet de leur part. [article]  in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.163-174 Titre : Analyse des situations à risque d’une étape du processus de stérilisation (recomposition-conditionnement) Type de document : revue Auteurs : Sophie Guirao, Auteur ; Marion Grouvel, Auteur ; Agnès Petit, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.163-174 Langues : Français Mots-clés : AMDEC analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité conditionnement prévention des risques recomposition stérilisation Résumé : L’objectif de ce travail est de réaliser une analyse des risques a priori, portant sur le sous-processus « recomposition-conditionnement » en stérilisation avec la méthode d’analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur criticité (AMDEC). Dans un premier temps, les risques ont été détaillés, identifiés et analysés par tâches. Dans un second temps, le calcul de l’indice de criticité a permis de cibler des actions prioritaires, en vue de réduire ou d’éliminer le risque, ou de prévoir des actions pour réagir face au risque non éliminable. Le sous-processus étudié présente une criticité moyenne de 15. Aucun mode de défaillance ne correspondait à la criticité la plus élevée (C3). 23 % (11 sur 48) et 76 % (38 sur 49) des modes de défaillance ont respectivement une criticité classée C1 et C2. Seuls ont été étudiés les modes de défaillance dont le niveau de criticité est le plus élevé C2. Ceux-ci ont été ciblés par un groupe de travail afin de proposer des actions d’amélioration. Cette réflexion et cette recherche collectives, par les personnes impliquées dans les tâches au quotidien, ont permis d’obtenir une meilleure réceptivité et une meilleure adhésion au projet de leur part.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00031364	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

En direct… du CHU de Caen – Comment mobiliser les professionnels du bloc opératoire autour des thématiques de la qualité et de la gestion des risques ? / Brunehilde Hue in Risques et qualité en milieu de soins, vol.14 n°3 (septembre 2017)

ISBD Public [article] En direct… du CHU de Caen – Comment mobiliser les professionnels du bloc opératoire autour des thématiques de la qualité et de la gestion des risques ? [revue] / Brunehilde Hue, Auteur ; Brigitte Courtois, Auteur ; Aurore Bouquerel, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.177-181. Langues : Français in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.177-181 Mots-clés : bloc opératoire gestion des risques qualité des soins Résumé : La qualité et la sécurité des soins sont l’affaire de tous les professionnels. Les exigences de la Haute Autorité de santé (HAS) se sont renforcées dans les secteurs à risques, et plus particulièrement au bloc opératoire. En 2013, le secteur des blocs opératoires du CHU de Caen a ainsi été visé par une décision de sursis à certification prise par la HAS. Le travail collectif suscité par cette décision a finalement permis de lever la réserve majeure portant sur cette thématique. Lors de leur visite, les experts visiteurs ont en effet parfaitement pris la mesure des progrès considérables accomplis en si peu de temps mais ont légitimement soulevé la question de la pérennisation de ceux-ci. [article]  in Risques et qualité en milieu de soins > vol.14 n°3 (septembre 2017) . - p.177-181 Titre : En direct… du CHU de Caen – Comment mobiliser les professionnels du bloc opératoire autour des thématiques de la qualité et de la gestion des risques ? Type de document : revue Auteurs : Brunehilde Hue, Auteur ; Brigitte Courtois, Auteur ; Aurore Bouquerel, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.177-181 Langues : Français Mots-clés : bloc opératoire gestion des risques qualité des soins Résumé : La qualité et la sécurité des soins sont l’affaire de tous les professionnels. Les exigences de la Haute Autorité de santé (HAS) se sont renforcées dans les secteurs à risques, et plus particulièrement au bloc opératoire. En 2013, le secteur des blocs opératoires du CHU de Caen a ainsi été visé par une décision de sursis à certification prise par la HAS. Le travail collectif suscité par cette décision a finalement permis de lever la réserve majeure portant sur cette thématique. Lors de leur visite, les experts visiteurs ont en effet parfaitement pris la mesure des progrès considérables accomplis en si peu de temps mais ont légitimement soulevé la question de la pérennisation de ceux-ci.

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
00031364	Rev	Revue	Centre de documentation	Archive	Disponible

Exemplaires