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Médecine palliative . vol.16 n°4Mention de date : septembre 2017Paru le : 01/09/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierComment les médecins généralistes perçoivent-ils le nouvel outil proposé par la Haute Autorité de santé sur la rédaction des directives anticipées ? / David Vogeli in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Comment les médecins généralistes perçoivent-ils le nouvel outil proposé par la Haute Autorité de santé sur la rédaction des directives anticipées ? [revue] / David Vogeli, Auteur ; Charlotte Gordiani, Auteur ; Anthony Chapron, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.175-183.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.175-183
Mots-clés : directive anticipée
médecin généraliste
soins palliatifs
soins primairesRésumé :
Introduction : La Haute Autorité de santé (HAS) a créé en 2016 un document d’information et d’aide à la rédaction des directives anticipées. L’objectif était de répondre au manque de rédaction des directives anticipées depuis 2005, en lien avec un défaut d’information sur le dispositif. L’objet de notre étude était d’explorer les opinions et perceptions des médecins généralistes sur ce nouveau document, et comment ils pourraient l’intégrer dans leur pratique en soins primaires.
Méthodes : Il s’agit d’une étude qualitative par entretiens individuels semi-directifs réalisée auprès de neuf médecins généralistes après un échantillonnage raisonné et conduit jusqu’à saturation du recueil de données. L’analyse thématique a été faite manuellement avec double codage croisé, dans une perspective phénoménologique.
Résultats : Les médecins généralistes jugeaient les documents pertinents, complets, mais complexes pour certains patients. Le manque de temps et la difficulté à parler de fin de vie étant perçus comme les freins principaux à l’utilisation de l’outil. Néanmoins les médecins généralistes pensaient qu’il permet d’aborder le sujet des directives anticipées auprès des patients et les amène à une réflexion sur leur fin de vie. Selon les médecins, la mise en place du dispositif nécessiterait d’être accompagné d’une information de la population et une formation des professionnels de santé.
Discussion : Les documents de la HAS sont complets et peuvent faciliter la rédaction des directives anticipées s’il y a une information de la population par les médias. Cela doit s’accompagner de la démocratisation de la discussion sur la fin de vie entre le patient et son médecin. Elle devra être initiée par le médecin.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.175-183
Titre : Comment les médecins généralistes perçoivent-ils le nouvel outil proposé par la Haute Autorité de santé sur la rédaction des directives anticipées ? Type de document : revue Auteurs : David Vogeli, Auteur ; Charlotte Gordiani, Auteur ; Anthony Chapron, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.175-183 Langues : Français Mots-clés : directive anticipée
médecin généraliste
soins palliatifs
soins primairesRésumé :
Introduction : La Haute Autorité de santé (HAS) a créé en 2016 un document d’information et d’aide à la rédaction des directives anticipées. L’objectif était de répondre au manque de rédaction des directives anticipées depuis 2005, en lien avec un défaut d’information sur le dispositif. L’objet de notre étude était d’explorer les opinions et perceptions des médecins généralistes sur ce nouveau document, et comment ils pourraient l’intégrer dans leur pratique en soins primaires.
Méthodes : Il s’agit d’une étude qualitative par entretiens individuels semi-directifs réalisée auprès de neuf médecins généralistes après un échantillonnage raisonné et conduit jusqu’à saturation du recueil de données. L’analyse thématique a été faite manuellement avec double codage croisé, dans une perspective phénoménologique.
Résultats : Les médecins généralistes jugeaient les documents pertinents, complets, mais complexes pour certains patients. Le manque de temps et la difficulté à parler de fin de vie étant perçus comme les freins principaux à l’utilisation de l’outil. Néanmoins les médecins généralistes pensaient qu’il permet d’aborder le sujet des directives anticipées auprès des patients et les amène à une réflexion sur leur fin de vie. Selon les médecins, la mise en place du dispositif nécessiterait d’être accompagné d’une information de la population et une formation des professionnels de santé.
Discussion : Les documents de la HAS sont complets et peuvent faciliter la rédaction des directives anticipées s’il y a une information de la population par les médias. Cela doit s’accompagner de la démocratisation de la discussion sur la fin de vie entre le patient et son médecin. Elle devra être initiée par le médecin.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Alimentation des patients en soins palliatifs : représentations et pratiques des médecins généralistes / Laure Lecoeur in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Alimentation des patients en soins palliatifs : représentations et pratiques des médecins généralistes [revue] / Laure Lecoeur, Auteur ; Christophe Hébert, Auteur ; Catherine Ciais, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.184-190.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.184-190
Mots-clés : alimentation
dénutrition
nutrition artificielle
soins palliatifsRésumé :
Objectif : La dénutrition est un des symptômes très fréquents en soins palliatifs, et sa prise en charge dans ce contexte dépasse le cadre médical, car l’alimentation sous-tend des valeurs symboliques fondamentales. L’objectif de cette étude était de mettre en évidence les représentations et les pratiques des médecins généralistes concernant l’alimentation des patients en soins palliatifs.
Méthode : Il s’agit d’une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés.
Résultats : Quinze médecins généralistes ont été interrogés. Dans un objectif de confort, ils privilégiaient l’alimentation orale. Ils discutaient l’indication de la nutrition artificielle selon : la demande du patient et de sa famille, l’avis des autres soignants, l’espérance de vie, la balance bénéfice/inconfort, l’état d’esprit du patient et sa qualité de vie estimée. Il y avait une part importante de subjectivité dans la prise de décision et cela soulevait les questions de la souffrance liée à la faim ou la soif et du lien entre arrêt de l’alimentation et mort. L’arrêt d’une nutrition artificielle était délicat et peu proposé. Les difficultés mises en avant étaient : le manque de temps, le manque de communication entre les différents intervenants et le manque de connaissance sur la nutrition artificielle.
Conclusion : Si l’indication de la nutrition artificielle ne concerne pas la phase terminale, elle est à discuter pour des patients en phase palliative initiale. Une amélioration de la prise de décision et des pratiques pour ces patients est indispensable. Les pistes d’amélioration sont : sensibiliser les médecins aux soins palliatifs par la formation, améliorer le dialogue avec les familles en abordant le sujet en amont, améliorer la communication entre soignants, faire connaître les ressources en soins palliatifs.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.184-190
Titre : Alimentation des patients en soins palliatifs : représentations et pratiques des médecins généralistes Type de document : revue Auteurs : Laure Lecoeur, Auteur ; Christophe Hébert, Auteur ; Catherine Ciais, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.184-190 Langues : Français Mots-clés : alimentation
dénutrition
nutrition artificielle
soins palliatifsRésumé :
Objectif : La dénutrition est un des symptômes très fréquents en soins palliatifs, et sa prise en charge dans ce contexte dépasse le cadre médical, car l’alimentation sous-tend des valeurs symboliques fondamentales. L’objectif de cette étude était de mettre en évidence les représentations et les pratiques des médecins généralistes concernant l’alimentation des patients en soins palliatifs.
Méthode : Il s’agit d’une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés.
Résultats : Quinze médecins généralistes ont été interrogés. Dans un objectif de confort, ils privilégiaient l’alimentation orale. Ils discutaient l’indication de la nutrition artificielle selon : la demande du patient et de sa famille, l’avis des autres soignants, l’espérance de vie, la balance bénéfice/inconfort, l’état d’esprit du patient et sa qualité de vie estimée. Il y avait une part importante de subjectivité dans la prise de décision et cela soulevait les questions de la souffrance liée à la faim ou la soif et du lien entre arrêt de l’alimentation et mort. L’arrêt d’une nutrition artificielle était délicat et peu proposé. Les difficultés mises en avant étaient : le manque de temps, le manque de communication entre les différents intervenants et le manque de connaissance sur la nutrition artificielle.
Conclusion : Si l’indication de la nutrition artificielle ne concerne pas la phase terminale, elle est à discuter pour des patients en phase palliative initiale. Une amélioration de la prise de décision et des pratiques pour ces patients est indispensable. Les pistes d’amélioration sont : sensibiliser les médecins aux soins palliatifs par la formation, améliorer le dialogue avec les familles en abordant le sujet en amont, améliorer la communication entre soignants, faire connaître les ressources en soins palliatifs.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible État des lieux de l’utilisation de l’analgésie intrathécale en situation palliative en France en 2016 / Virginie Guastella in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] État des lieux de l’utilisation de l’analgésie intrathécale en situation palliative en France en 2016 [revue] / Virginie Guastella, Auteur ; Isabelle Genaud, Auteur ; Bruno Pereira, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.191-197.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.191-197
Mots-clés : analgésie
cancer
douleur
soins palliatifsRésumé :
Introduction : L’analgésie intrathécale est une technique analgésique interventionnelle spécifique, indiquée pour les douleurs réfractaires. C’est une autre voie d’administration des antalgiques dans l’espace spinal. Les molécules se fixent directement sur les récepteurs avec une meilleure efficacité et des effets indésirables moindres. Parce qu’une des questions essentielles de la démarche palliative est « avons-nous mis en œuvre tous les moyens pour soulager ? », il est intéressant de voir si ce type d’analgésie est connu des thérapeutes qui prennent en charge des patients en situation palliative, dans quelle proportion cela est réalisé, et quelles sont les limites rencontrées.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude exploratoire transversale. Un questionnaire en six parties a été élaboré avec le biostatisticien de la délégation à la recherche clinique et à l’innovation du centre hospitalier universitaire de Clermont-Ferrand. Cent-trente questionnaires ont été envoyés aux médecins de trois structures : unité de soins palliatifs, équipe mobile de soins palliatifs et service de médecine des centres de lutte contre le cancer. Cinquante-quatre d’entre eux ont été renvoyés.
Résultats : Soixante-trois pour cent ont dit pratiquer l’analgésie intrathécale, mais moins de cinq fois par an. Une étude détaillée des résultats prouve que cette technique n’est pas aisée à mettre en pratique. Il y a de nombreux freins dans la réalisation : lourdeurs organisationnelles, chronologie, le manque de connaissances et les procédures institutionnelles, etc.
Conclusion : L’analgésie intrathécale devrait être plus souvent proposée et plus tôt dans l’histoire de la maladie des patients, face à des douleurs réfractaires, pour améliorer la qualité de vie par une meilleur gestion des symptômes d’inconfort.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.191-197
Titre : État des lieux de l’utilisation de l’analgésie intrathécale en situation palliative en France en 2016 Type de document : revue Auteurs : Virginie Guastella, Auteur ; Isabelle Genaud, Auteur ; Bruno Pereira, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.191-197 Langues : Français Mots-clés : analgésie
cancer
douleur
soins palliatifsRésumé :
Introduction : L’analgésie intrathécale est une technique analgésique interventionnelle spécifique, indiquée pour les douleurs réfractaires. C’est une autre voie d’administration des antalgiques dans l’espace spinal. Les molécules se fixent directement sur les récepteurs avec une meilleure efficacité et des effets indésirables moindres. Parce qu’une des questions essentielles de la démarche palliative est « avons-nous mis en œuvre tous les moyens pour soulager ? », il est intéressant de voir si ce type d’analgésie est connu des thérapeutes qui prennent en charge des patients en situation palliative, dans quelle proportion cela est réalisé, et quelles sont les limites rencontrées.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude exploratoire transversale. Un questionnaire en six parties a été élaboré avec le biostatisticien de la délégation à la recherche clinique et à l’innovation du centre hospitalier universitaire de Clermont-Ferrand. Cent-trente questionnaires ont été envoyés aux médecins de trois structures : unité de soins palliatifs, équipe mobile de soins palliatifs et service de médecine des centres de lutte contre le cancer. Cinquante-quatre d’entre eux ont été renvoyés.
Résultats : Soixante-trois pour cent ont dit pratiquer l’analgésie intrathécale, mais moins de cinq fois par an. Une étude détaillée des résultats prouve que cette technique n’est pas aisée à mettre en pratique. Il y a de nombreux freins dans la réalisation : lourdeurs organisationnelles, chronologie, le manque de connaissances et les procédures institutionnelles, etc.
Conclusion : L’analgésie intrathécale devrait être plus souvent proposée et plus tôt dans l’histoire de la maladie des patients, face à des douleurs réfractaires, pour améliorer la qualité de vie par une meilleur gestion des symptômes d’inconfort.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Accueil familial : quelle place pour les patients relevant de soins palliatifs ? / Raphaël Benoist in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Accueil familial : quelle place pour les patients relevant de soins palliatifs ? [revue] / Raphaël Benoist, Auteur ; Camille Desforges, Auteur ; Laurent Montaz, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.198-207.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.198-207
Mots-clés : accueil
alternative
hospitalisation
isolement
précarité
soins palliatifsRésumé :
Objectif de l’étude : Vérifier l’hypothèse selon laquelle un dispositif d’accueil familial peut constituer une alternative à l’hospitalisation des personnes jeunes, relevant de soins palliatifs, en situation d’impasse sociale.
Méthode : Étude qualitative, transversale, bicentrique (Poitiers et Angers). Une consultation auprès des assistants de service social hospitalier, selon la méthode des focus group, avait pour but de vérifier la pertinence du projet. Une seconde enquête auprès des accueillants familiaux, par des entretiens individuels, devait vérifier la faisabilité du projet. L’analyse croisée des données utilisait le logiciel Nvivo10.
Résultats : Deux focus groups ont été réalisés auprès de six assistantes sociales. La réalité des situations d’impasse sociale était confirmée, et l’isolement reconnu comme la difficulté majeure. Les alternatives disponibles étaient jugées soit inadaptées (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, unité de soins de longue durée), soit inaccessibles faute de places (lit halte soins santé, service intégré d’accueil et d’orientation, foyer d’accueil médicalisé). L’accueil familial était perçu comme un modèle apte à répondre aux problématiques de l’isolement en offrant un domicile adapté, un entourage aidant et disponible et une sécurité. Cinq entretiens ont été menés auprès de six accueillants familiaux. Bien soutenus par les soignants libéraux, leur vécu était positif. Ni la charge en soins, ni la réalité potentiellement difficile des soins palliatifs, ne constituaient d’obstacles. Les accueillants regrettaient la précarité de leur statut et signalaient un risque majeur d’épuisement en l’état actuel du dispositif.
Conclusion : L’accueil familial est un projet utile et réaliste en soins palliatifs, sous réserve d’aménagements, parmi lesquels un contrat salarié de l’hôpital, un soutien par l’équipe mobile de soins palliatifs, des hospitalisations de répits, et une formation spécifique. Une expérimentation serait nécessaire pour généraliser un tel dispositif.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.198-207
Titre : Accueil familial : quelle place pour les patients relevant de soins palliatifs ? Type de document : revue Auteurs : Raphaël Benoist, Auteur ; Camille Desforges, Auteur ; Laurent Montaz, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.198-207 Langues : Français Mots-clés : accueil
alternative
hospitalisation
isolement
précarité
soins palliatifsRésumé :
Objectif de l’étude : Vérifier l’hypothèse selon laquelle un dispositif d’accueil familial peut constituer une alternative à l’hospitalisation des personnes jeunes, relevant de soins palliatifs, en situation d’impasse sociale.
Méthode : Étude qualitative, transversale, bicentrique (Poitiers et Angers). Une consultation auprès des assistants de service social hospitalier, selon la méthode des focus group, avait pour but de vérifier la pertinence du projet. Une seconde enquête auprès des accueillants familiaux, par des entretiens individuels, devait vérifier la faisabilité du projet. L’analyse croisée des données utilisait le logiciel Nvivo10.
Résultats : Deux focus groups ont été réalisés auprès de six assistantes sociales. La réalité des situations d’impasse sociale était confirmée, et l’isolement reconnu comme la difficulté majeure. Les alternatives disponibles étaient jugées soit inadaptées (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, unité de soins de longue durée), soit inaccessibles faute de places (lit halte soins santé, service intégré d’accueil et d’orientation, foyer d’accueil médicalisé). L’accueil familial était perçu comme un modèle apte à répondre aux problématiques de l’isolement en offrant un domicile adapté, un entourage aidant et disponible et une sécurité. Cinq entretiens ont été menés auprès de six accueillants familiaux. Bien soutenus par les soignants libéraux, leur vécu était positif. Ni la charge en soins, ni la réalité potentiellement difficile des soins palliatifs, ne constituaient d’obstacles. Les accueillants regrettaient la précarité de leur statut et signalaient un risque majeur d’épuisement en l’état actuel du dispositif.
Conclusion : L’accueil familial est un projet utile et réaliste en soins palliatifs, sous réserve d’aménagements, parmi lesquels un contrat salarié de l’hôpital, un soutien par l’équipe mobile de soins palliatifs, des hospitalisations de répits, et une formation spécifique. Une expérimentation serait nécessaire pour généraliser un tel dispositif.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Fin de vie et obstination déraisonnable du législateur / Virginie Pérotin in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Fin de vie et obstination déraisonnable du législateur [revue] / Virginie Pérotin, Auteur . - 2017 . - p.208-219.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.208-219
Mots-clés : concertation
directive anticipée
euthanasie
sédation
suicide assistéRésumé : La loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie a imposé une réflexion exigeante à la mesure de la complexité des situations médicales actuelles. Des modifications de ce cadre légal ont été proposées de façon de plus en plus insistante, notamment dans des rapports et propositions de loi qui se sont succédés au cours des trois dernières années et ont conduit au vote d’une nouvelle loi le 2 février 2016. Cet article met en lumière les principes fondateurs de la loi dite « Leonetti », puis après un bref regard sur le positionnement des médias et des sondages, aborde l’historique récent de cette question de changement de cadre juridique. L’auteur commente le rapport de la commission de réflexion sur la fin de vie, l’avis 121 du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) et celui d’une conférence de citoyens, ainsi qu’une récente proposition de loi (« Petite loi »), puis la loi du 2 février 2016 qui en émane. La réflexion porte plus précisément sur les thèmes controversés des directives anticipées, de la sédation, l’assistance au suicide, le suicide assisté et l’euthanasie. Ces textes reflètent l’attitude de notre époque qui met en avant l’individualisme au mépris des considérations d’universalité et simplifie les questions complexes, voire prétend apporter une réponse à toute problématique. Des modifications de la loi Leonetti demeurent cependant souhaitables et l’auteur envisage une autre évolution qui renforce la qualité de la réponse proposée à travers une concertation collégiale élargie quant à ses indications et soucieuse des exigences de l’éthique. [article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.208-219
Titre : Fin de vie et obstination déraisonnable du législateur Type de document : revue Auteurs : Virginie Pérotin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.208-219 Langues : Français Mots-clés : concertation
directive anticipée
euthanasie
sédation
suicide assistéRésumé : La loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie a imposé une réflexion exigeante à la mesure de la complexité des situations médicales actuelles. Des modifications de ce cadre légal ont été proposées de façon de plus en plus insistante, notamment dans des rapports et propositions de loi qui se sont succédés au cours des trois dernières années et ont conduit au vote d’une nouvelle loi le 2 février 2016. Cet article met en lumière les principes fondateurs de la loi dite « Leonetti », puis après un bref regard sur le positionnement des médias et des sondages, aborde l’historique récent de cette question de changement de cadre juridique. L’auteur commente le rapport de la commission de réflexion sur la fin de vie, l’avis 121 du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) et celui d’une conférence de citoyens, ainsi qu’une récente proposition de loi (« Petite loi »), puis la loi du 2 février 2016 qui en émane. La réflexion porte plus précisément sur les thèmes controversés des directives anticipées, de la sédation, l’assistance au suicide, le suicide assisté et l’euthanasie. Ces textes reflètent l’attitude de notre époque qui met en avant l’individualisme au mépris des considérations d’universalité et simplifie les questions complexes, voire prétend apporter une réponse à toute problématique. Des modifications de la loi Leonetti demeurent cependant souhaitables et l’auteur envisage une autre évolution qui renforce la qualité de la réponse proposée à travers une concertation collégiale élargie quant à ses indications et soucieuse des exigences de l’éthique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Hypnose et soins palliatifs… ou comment redonner la main aux patients / Laurence Larigauderie in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Hypnose et soins palliatifs… ou comment redonner la main aux patients [revue] / Laurence Larigauderie, Auteur . - 2017 . - p.220-223.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.220-223
Mots-clés : accompagnement
hypnose
soins palliatifsRésumé : À travers deux cas cliniques, nous illustrons de quelle manière l’hypnose peut être un outil efficace dans le soulagement des symptômes gênants, tout en permettant un accompagnement en soins palliatifs singulier et très respectueux. L’hypnose clinique permettra alors de redonner la main au patient pour le rendre actif dans sa prise en charge, vers un objectif qu’il aura lui-même déterminé. [article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.220-223
Titre : Hypnose et soins palliatifs… ou comment redonner la main aux patients Type de document : revue Auteurs : Laurence Larigauderie, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.220-223 Langues : Français Mots-clés : accompagnement
hypnose
soins palliatifsRésumé : À travers deux cas cliniques, nous illustrons de quelle manière l’hypnose peut être un outil efficace dans le soulagement des symptômes gênants, tout en permettant un accompagnement en soins palliatifs singulier et très respectueux. L’hypnose clinique permettra alors de redonner la main au patient pour le rendre actif dans sa prise en charge, vers un objectif qu’il aura lui-même déterminé. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Attentes et besoins en soins palliatifs : enquête auprès des soignants d’un hôpital gériatrique / Bertrand Sardin in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] Attentes et besoins en soins palliatifs : enquête auprès des soignants d’un hôpital gériatrique [revue] / Bertrand Sardin, Auteur ; Marie-Françoise Bailly, Auteur ; Tiffany Dabras, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.224-233.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.224-233
Mots-clés : attente
besoin
EHPAD établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes
soignant
soins palliatifs
USLD unité de soins de longue duréeRésumé :
Introduction : Au cours de différentes interventions en milieu gériatrique, l’équipe mobile de soins palliatifs du centre hospitalier universitaire de Limoges a pu recueillir l’expression d’un sentiment d’incompréhension, d’isolement, voire dans de rares cas d’abandon, de certaines équipes soignantes. Dans ce cadre une enquête a été menée pour évaluer l’existant, les attentes et les besoins des équipes soignantes d’un hôpital gériatrique en matière de soins palliatifs.
Méthodologie : L’enquête a été menée à l’hôpital Dr-Chastaingt du CHU de Limoges représentant 241 lits d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (dont 32 pour les patients atteints de maladie d’Alzheimer) et 138 de soins de longue durée. Elle reposait sur un questionnaire anonyme essentiellement destiné aux soignants, mais pouvant être rempli par tous les agents. Les questions concernaient la fréquence et la prise en charge palliative en fin de vie, les attentes concernant les soins palliatifs, le type de collaboration souhaitée et la connaissance de différents outils pouvant être utilisés en soins palliatifs.
Résultats et discussion : Il y a eu 94 réponses dont 90 évaluables. Les principaux motifs d’appel de l’équipe mobile de soins palliatifs étaient le patient, surtout s’il était douloureux et la souffrance des soignants. La famille était le troisième motif d’appel. La prise en charge de la douleur de la fin de vie restait la principale attente des soignants sous forme à la fois d’une d’aide technique, d’une formation et d’un appui. Il ressort de ces motifs de recours et des attentes un questionnement sur la fin de vie, un besoin de modélisation afin de prédire une bascule du curatif vers le palliatif. Il faut s’efforcer de construire un espace de dialogue entre médecins, soignants, patients et famille pour permettre d’agir ensemble plutôt qu’interagir sur un mode parfois conflictuel ou suspicieux. La collaboration souhaitée avec les équipes mobiles de soins palliatifs repose sur la rencontre (réunions, échanges) et une coopération pratique (prise en charge, prescriptions, visites). L’évaluation de la douleur et de l’autonomie étaient de pratique régulière mais non systématique en gériatrie et les outils palliatifs pouvant déclencher l’appel des équipes mobiles n’étaient pas connus (Pallia-10, Palliative Performans Scale)
Conclusions : Malgré les efforts entrepris, il reste à bâtir des collaborations basées sur une culture palliative commune. À long terme, l’objectif est de promouvoir l’intégration d’une vision palliative dans le cadre du parcours de soin et du projet de vie des personnes âgées.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.224-233
Titre : Attentes et besoins en soins palliatifs : enquête auprès des soignants d’un hôpital gériatrique Type de document : revue Auteurs : Bertrand Sardin, Auteur ; Marie-Françoise Bailly, Auteur ; Tiffany Dabras, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.224-233 Langues : Français Mots-clés : attente
besoin
EHPAD établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes
soignant
soins palliatifs
USLD unité de soins de longue duréeRésumé :
Introduction : Au cours de différentes interventions en milieu gériatrique, l’équipe mobile de soins palliatifs du centre hospitalier universitaire de Limoges a pu recueillir l’expression d’un sentiment d’incompréhension, d’isolement, voire dans de rares cas d’abandon, de certaines équipes soignantes. Dans ce cadre une enquête a été menée pour évaluer l’existant, les attentes et les besoins des équipes soignantes d’un hôpital gériatrique en matière de soins palliatifs.
Méthodologie : L’enquête a été menée à l’hôpital Dr-Chastaingt du CHU de Limoges représentant 241 lits d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (dont 32 pour les patients atteints de maladie d’Alzheimer) et 138 de soins de longue durée. Elle reposait sur un questionnaire anonyme essentiellement destiné aux soignants, mais pouvant être rempli par tous les agents. Les questions concernaient la fréquence et la prise en charge palliative en fin de vie, les attentes concernant les soins palliatifs, le type de collaboration souhaitée et la connaissance de différents outils pouvant être utilisés en soins palliatifs.
Résultats et discussion : Il y a eu 94 réponses dont 90 évaluables. Les principaux motifs d’appel de l’équipe mobile de soins palliatifs étaient le patient, surtout s’il était douloureux et la souffrance des soignants. La famille était le troisième motif d’appel. La prise en charge de la douleur de la fin de vie restait la principale attente des soignants sous forme à la fois d’une d’aide technique, d’une formation et d’un appui. Il ressort de ces motifs de recours et des attentes un questionnement sur la fin de vie, un besoin de modélisation afin de prédire une bascule du curatif vers le palliatif. Il faut s’efforcer de construire un espace de dialogue entre médecins, soignants, patients et famille pour permettre d’agir ensemble plutôt qu’interagir sur un mode parfois conflictuel ou suspicieux. La collaboration souhaitée avec les équipes mobiles de soins palliatifs repose sur la rencontre (réunions, échanges) et une coopération pratique (prise en charge, prescriptions, visites). L’évaluation de la douleur et de l’autonomie étaient de pratique régulière mais non systématique en gériatrie et les outils palliatifs pouvant déclencher l’appel des équipes mobiles n’étaient pas connus (Pallia-10, Palliative Performans Scale)
Conclusions : Malgré les efforts entrepris, il reste à bâtir des collaborations basées sur une culture palliative commune. À long terme, l’objectif est de promouvoir l’intégration d’une vision palliative dans le cadre du parcours de soin et du projet de vie des personnes âgées.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible La supervision d’une équipe de soins palliatifs pédiatriques peut-elle permettre de penser la vie ? / Agnès Suc in Médecine palliative, vol.16 n°4 (septembre 2017)
[article] La supervision d’une équipe de soins palliatifs pédiatriques peut-elle permettre de penser la vie ? [revue] / Agnès Suc, Auteur ; Maryline Mariotti, Auteur ; Patrick Serrano, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.234-239.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.234-239
Mots-clés : ESPP équipe ressource des soins palliatifs pédiatriques
pédiatrie
soins palliatifs
supervisionRésumé : Comment assurer le soutien des équipes ressource de soins palliatifs pédiatriques ? Alors que beaucoup d’équipes de soins palliatifs témoignent de la difficulté à pérenniser des dispositifs de soutien, il est apparu intéressant de réfléchir au fonctionnement de la supervision de l’équipe ressource soins palliatifs pédiatriques de Midi-Pyrénées en place depuis 2013 et qui continue de remporter l’assentiment de tous. Animée par un pédopsychiatre extérieur à l’équipe, cette supervision a lieu dans les locaux et sur les horaires de travail de tous. Les modalités pratiques et organisationnelles sont analysées, ainsi que les mouvements de colère, de dépression et d’agressivité qui peuvent s’y déployer. La fonction contenante du cadre ainsi que celle du superviseur, rompu à l’animation de groupe seront décrites. La tentative de penser l’impensable, de ne pas se laisser sidérer par le caractère violent des situations rencontrées ainsi que la recherche de sens seront analysées. La parole sera ensuite donnée aux soignants et à l’animateur du groupe qui témoignent de leur vécu actuel de ce dispositif et de son évolution dans le temps. Enfin, une analyse des effets de cette supervision sur l’équipe (mouvements d’ouverture de l’équipe vers l’extérieur, libération du poids et des contraintes institutionnelles, etc.) seront élaborés, tandis que les outils mis en œuvre et les limites de ce dispositif seront décrits. L’importance de cet espace de pensée, possible élément de cohésion de l’équipe depuis plus de 15ans et ce qu’il témoigne du niveau de maturité de l’équipe sont soulignés. [article]
in Médecine palliative > vol.16 n°4 (septembre 2017) . - p.234-239
Titre : La supervision d’une équipe de soins palliatifs pédiatriques peut-elle permettre de penser la vie ? Type de document : revue Auteurs : Agnès Suc, Auteur ; Maryline Mariotti, Auteur ; Patrick Serrano, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.234-239 Langues : Français Mots-clés : ESPP équipe ressource des soins palliatifs pédiatriques
pédiatrie
soins palliatifs
supervisionRésumé : Comment assurer le soutien des équipes ressource de soins palliatifs pédiatriques ? Alors que beaucoup d’équipes de soins palliatifs témoignent de la difficulté à pérenniser des dispositifs de soutien, il est apparu intéressant de réfléchir au fonctionnement de la supervision de l’équipe ressource soins palliatifs pédiatriques de Midi-Pyrénées en place depuis 2013 et qui continue de remporter l’assentiment de tous. Animée par un pédopsychiatre extérieur à l’équipe, cette supervision a lieu dans les locaux et sur les horaires de travail de tous. Les modalités pratiques et organisationnelles sont analysées, ainsi que les mouvements de colère, de dépression et d’agressivité qui peuvent s’y déployer. La fonction contenante du cadre ainsi que celle du superviseur, rompu à l’animation de groupe seront décrites. La tentative de penser l’impensable, de ne pas se laisser sidérer par le caractère violent des situations rencontrées ainsi que la recherche de sens seront analysées. La parole sera ensuite donnée aux soignants et à l’animateur du groupe qui témoignent de leur vécu actuel de ce dispositif et de son évolution dans le temps. Enfin, une analyse des effets de cette supervision sur l’équipe (mouvements d’ouverture de l’équipe vers l’extérieur, libération du poids et des contraintes institutionnelles, etc.) seront élaborés, tandis que les outils mis en œuvre et les limites de ce dispositif seront décrits. L’importance de cet espace de pensée, possible élément de cohésion de l’équipe depuis plus de 15ans et ce qu’il témoigne du niveau de maturité de l’équipe sont soulignés. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031190 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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