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Santé publique . vol.29 n°3Mention de date : mai juin 2017Paru le : 01/05/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierRéduire les risques liés à l’injection de drogues au moyen d’un nouvel outil de filtration : le point de vue des usagers de drogues / Maitena Milhet in Santé publique, vol.29 n°3 (mai juin 2017)
[article] Réduire les risques liés à l’injection de drogues au moyen d’un nouvel outil de filtration : le point de vue des usagers de drogues [revue] / Maitena Milhet, Auteur ; Marie Jauffret-Roustide, Auteur . - 2017 . - p.311-320.
Langues : Français
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.311-320
Mots-clés : comportement à risque
consommation
drogue
intra veineuse
prévention des risques
toxicomanieRésumé : Introduction : Réduire les risques liés à l’injection de drogues est au cœur de la politique de santé publique dite de « réduction des risques et des dommages » (RdRD) initiée en France dans le contexte de l’épidémie de sida dans les années 1980. En l’absence de précautions spécifiques au moment de l’injection, l’usager s’expose en effet à des dommages sanitaires majeurs d’origine infectieuse, bactérienne ou fongique. Aussi, les pouvoirs publics soutiennent et assurent la promotion des outils nécessaires à l’injection les plus performants pour limiter les risques encourus. Dans ce contexte, les autorités sanitaires ont souhaité évaluer l’acceptabilité de matériel d’injection plus sûr et plus efficace que celui actuellement diffusé dans les trousses de prévention disponibles.
Méthodes : Deux études qualitatives successives ont été conduites directement auprès d’usagers de drogues injecteurs afin d’apprécier leur perception de nouveaux outils proposés à titre expérimental. Elles ont visé à dégager les critères décisifs à leurs yeux pour adopter ces outils expérimentaux.
Résultats : Le présent article expose les principaux résultats de ces études en se concentrant sur l’accueil réservé par les usagers à un nouvel outil de filtration utilisé au moment de l’injection dit, « filtre toupie ».
Discussion : Il ressort que les usagers disposent de critères d’appréciation des outils à la fois spécifiques et pour partie indépendants des arguments de santé publique. Favoriser l’évolution des comportements individuels vers des pratiques d’injection plus sûres implique une prise en compte de ces critères individuels et un accompagnement personnalisé des usagers qui s’inscrit dans la durée.[article]
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.311-320
Titre : Réduire les risques liés à l’injection de drogues au moyen d’un nouvel outil de filtration : le point de vue des usagers de drogues Type de document : revue Auteurs : Maitena Milhet, Auteur ; Marie Jauffret-Roustide, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.311-320 Langues : Français Mots-clés : comportement à risque
consommation
drogue
intra veineuse
prévention des risques
toxicomanieRésumé : Introduction : Réduire les risques liés à l’injection de drogues est au cœur de la politique de santé publique dite de « réduction des risques et des dommages » (RdRD) initiée en France dans le contexte de l’épidémie de sida dans les années 1980. En l’absence de précautions spécifiques au moment de l’injection, l’usager s’expose en effet à des dommages sanitaires majeurs d’origine infectieuse, bactérienne ou fongique. Aussi, les pouvoirs publics soutiennent et assurent la promotion des outils nécessaires à l’injection les plus performants pour limiter les risques encourus. Dans ce contexte, les autorités sanitaires ont souhaité évaluer l’acceptabilité de matériel d’injection plus sûr et plus efficace que celui actuellement diffusé dans les trousses de prévention disponibles.
Méthodes : Deux études qualitatives successives ont été conduites directement auprès d’usagers de drogues injecteurs afin d’apprécier leur perception de nouveaux outils proposés à titre expérimental. Elles ont visé à dégager les critères décisifs à leurs yeux pour adopter ces outils expérimentaux.
Résultats : Le présent article expose les principaux résultats de ces études en se concentrant sur l’accueil réservé par les usagers à un nouvel outil de filtration utilisé au moment de l’injection dit, « filtre toupie ».
Discussion : Il ressort que les usagers disposent de critères d’appréciation des outils à la fois spécifiques et pour partie indépendants des arguments de santé publique. Favoriser l’évolution des comportements individuels vers des pratiques d’injection plus sûres implique une prise en compte de ces critères individuels et un accompagnement personnalisé des usagers qui s’inscrit dans la durée.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031078 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les néonaticides en France : analyse de 357 cas identifiés dans la presse (1993-2012) / Laurence Simmat-Durand in Santé publique, vol.29 n°3 (mai juin 2017)
[article] Les néonaticides en France : analyse de 357 cas identifiés dans la presse (1993-2012) [revue] / Laurence Simmat-Durand (1960-....), Auteur . - 2017 . - p.321-331.
Langues : Français
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.321-331
Mots-clés : étude
France
néonaticideRésumé :
Contexte et objectif : Malgré un large accès à la contraception et à l’abandon à la naissance en France, les néonaticides persistent ; bien que peu nombreux, ils défrayent régulièrement la chronique. L’objectif de cette étude était de caractériser les néonaticides et leurs auteurs sur une période de vingt ans sur tout le territoire national français à partir des cas publiés dans la presse.
Méthodes : 2 319 articles de presse obtenus à partir de bases électroniques ou autre support numérique dans la presse nationale et régionale décrivant la découverte d’un cadavre de nouveau-né ont été collectés. Au total, 357 néonaticides sont décrits, soit un taux moyen annuel de 2,34 pour 100 000 naissances.
Résultats : La mère a été identifiée dans 74 % des cas. Le cadavre de l’enfant est le plus souvent découvert dans la maison ou à proximité (35 %, dont la majorité à la poubelle et 6 % dans le congélateur) mais également dans la nature (31 %). Dans près d’un quart des cas, la mère a fait une hémorragie. La plupart des enfants ont été activement tués par asphyxie (35 %), coups ou défenestration (11 %), ou noyade (11 %). Seuls 22 % des enfants sont décédés sans intervention de la mère, par défaut de soins ou délaissement. De fortes disparités régionales sont mises en évidence, même après calcul d’un taux régional. Les mères mises en cause (230 femmes du fait de 19 néonaticides multiples) ont en moyenne 27,8 ans et la moitié ont au moins un enfant précédent vivant.
Conclusions : La médiatisation des affaires de néonaticides et l’accès aux archives électroniques rendaient intéressante la perspective d’utiliser la presse pour décrire un phénomène devenu rare, pour lequel il est difficile de collecter des effectifs suffisants pour une analyse des auteurs et des décisions.[article]
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.321-331
Titre : Les néonaticides en France : analyse de 357 cas identifiés dans la presse (1993-2012) Type de document : revue Auteurs : Laurence Simmat-Durand (1960-....), Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.321-331 Langues : Français Mots-clés : étude
France
néonaticideRésumé :
Contexte et objectif : Malgré un large accès à la contraception et à l’abandon à la naissance en France, les néonaticides persistent ; bien que peu nombreux, ils défrayent régulièrement la chronique. L’objectif de cette étude était de caractériser les néonaticides et leurs auteurs sur une période de vingt ans sur tout le territoire national français à partir des cas publiés dans la presse.
Méthodes : 2 319 articles de presse obtenus à partir de bases électroniques ou autre support numérique dans la presse nationale et régionale décrivant la découverte d’un cadavre de nouveau-né ont été collectés. Au total, 357 néonaticides sont décrits, soit un taux moyen annuel de 2,34 pour 100 000 naissances.
Résultats : La mère a été identifiée dans 74 % des cas. Le cadavre de l’enfant est le plus souvent découvert dans la maison ou à proximité (35 %, dont la majorité à la poubelle et 6 % dans le congélateur) mais également dans la nature (31 %). Dans près d’un quart des cas, la mère a fait une hémorragie. La plupart des enfants ont été activement tués par asphyxie (35 %), coups ou défenestration (11 %), ou noyade (11 %). Seuls 22 % des enfants sont décédés sans intervention de la mère, par défaut de soins ou délaissement. De fortes disparités régionales sont mises en évidence, même après calcul d’un taux régional. Les mères mises en cause (230 femmes du fait de 19 néonaticides multiples) ont en moyenne 27,8 ans et la moitié ont au moins un enfant précédent vivant.
Conclusions : La médiatisation des affaires de néonaticides et l’accès aux archives électroniques rendaient intéressante la perspective d’utiliser la presse pour décrire un phénomène devenu rare, pour lequel il est difficile de collecter des effectifs suffisants pour une analyse des auteurs et des décisions.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031078 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Vapoter favorise-t-il le tabagisme chez les adolescents et les jeunes adultes ? Revue de la littérature / Sylvain Gautier in Santé publique, vol.29 n°3 (mai juin 2017)
[article] Vapoter favorise-t-il le tabagisme chez les adolescents et les jeunes adultes ? Revue de la littérature [revue] / Sylvain Gautier, Auteur ; Shérazade Kinouani, Auteur ; Chantal Raherison, Auteur . - 2017 . - p.333-340.
Langues : Français
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.333-340
Mots-clés : adolescent
cigarette électronique
tabagismeRésumé :
Objectif : L’expérimentation de la cigarette électronique est significativement plus fréquente chez les 15-24 ans que dans les autres classes d’âge. Parce qu’elle peut contenir de la nicotine, la cigarette électronique pourrait constituer un mode d’entrée dans le tabagisme. Dans cet article, nous proposons un état des connaissances scientifiques concernant l’initiation ou le renforcement du tabagisme par le vapotage chez les jeunes.
Méthodes : Analyse qualitative menée en janvier 2016. Les articles rapportant des études longitudinales réalisées chez des adolescents et des jeunes adultes exposés à la cigarette électronique ont été sélectionnés.
Résultats : Cinq articles ont été retenus parmi les 544 documents identifiés. Sur les cinq études observationnelles prospectives analysées, quatre concluaient à un sur-risque d’initier une consommation de tabac lors de l’exposition à l’e-cigarette chez des jeunes non-fumeurs. La probabilité à un an pour de jeunes adultes vapoteurs d’initier une consommation de tabac était 8,3 (IC 95 % = 1,2-58,6) à 12,7 (IC 95 % = 4,0-40,3) fois supérieure à celle des non-vapoteurs. Avoir déjà vapoté augmentait de 75 % le risque à un an de fumer une cigarette traditionnelle chez des adolescents de 14 ans.
Conclusion : L’initiation au tabagisme et son maintien sont significativement associés à l’usage de cigarette électronique chez les adolescents et jeunes adultes. En raison de faiblesses méthodologiques, ces résultats sont à interpréter avec prudence.[article]
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.333-340
Titre : Vapoter favorise-t-il le tabagisme chez les adolescents et les jeunes adultes ? Revue de la littérature Type de document : revue Auteurs : Sylvain Gautier, Auteur ; Shérazade Kinouani, Auteur ; Chantal Raherison, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.333-340 Langues : Français Mots-clés : adolescent
cigarette électronique
tabagismeRésumé :
Objectif : L’expérimentation de la cigarette électronique est significativement plus fréquente chez les 15-24 ans que dans les autres classes d’âge. Parce qu’elle peut contenir de la nicotine, la cigarette électronique pourrait constituer un mode d’entrée dans le tabagisme. Dans cet article, nous proposons un état des connaissances scientifiques concernant l’initiation ou le renforcement du tabagisme par le vapotage chez les jeunes.
Méthodes : Analyse qualitative menée en janvier 2016. Les articles rapportant des études longitudinales réalisées chez des adolescents et des jeunes adultes exposés à la cigarette électronique ont été sélectionnés.
Résultats : Cinq articles ont été retenus parmi les 544 documents identifiés. Sur les cinq études observationnelles prospectives analysées, quatre concluaient à un sur-risque d’initier une consommation de tabac lors de l’exposition à l’e-cigarette chez des jeunes non-fumeurs. La probabilité à un an pour de jeunes adultes vapoteurs d’initier une consommation de tabac était 8,3 (IC 95 % = 1,2-58,6) à 12,7 (IC 95 % = 4,0-40,3) fois supérieure à celle des non-vapoteurs. Avoir déjà vapoté augmentait de 75 % le risque à un an de fumer une cigarette traditionnelle chez des adolescents de 14 ans.
Conclusion : L’initiation au tabagisme et son maintien sont significativement associés à l’usage de cigarette électronique chez les adolescents et jeunes adultes. En raison de faiblesses méthodologiques, ces résultats sont à interpréter avec prudence.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031078 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible La disparition silencieuse des médecins PADHUE : fin d’une injustice d’État ou nouvelle exclusion ? / Alice Desclaux in Santé publique, vol.29 n°3 (mai juin 2017)
[article] La disparition silencieuse des médecins PADHUE : fin d’une injustice d’État ou nouvelle exclusion ? [revue] / Alice Desclaux, Auteur . - 2017 . - p.341-344.
Langues : Français
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.341-344
Mots-clés : Afrique
France
médecin
migration
système de santéRésumé : Les médecins ayant acquis leur diplôme hors de l’Union Européenne (PADHUE) avaient en France un statut spécifique défavorable, appelé à disparaître fin 2016. Jusqu’à cette date, un processus sélectif de validation leur permettait d’obtenir une habilitation au « plein exercice » de la médecine. La date limite vient d’être repoussée d’un an pour résoudre les situations de médecins « dans l’impasse » et éviter les tensions dans les services hospitaliers. Ceci conduit à s’interroger sur les conditions d’exercice et les motivations de médecins étrangers, en particulier africains, qui contribuent au fonctionnement du système de soins français, ainsi que sur les contraintes pesant sur leur intégration. Faut-il saluer la disparition de conditions d’exercice inégalitaires, ou déplorer la fermeture de l’accès des PADHUE au plein exercice en France à partir de 2018 ? Des travaux récents en sciences sociales, notamment sur les motivations à migrer de médecins issus de pays africains, montrent la complexité des enjeux. Dans un système de santé français protectionniste et soucieux de maintenir la couverture sanitaire, en décalage par rapport à la globalisation favorable aux mobilités transnationales, la fermeture des frontières aux médecins diplômés hors d’Europe, équivalant à remplacer l’inégalité par l’exclusion, pose question. [article]
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.341-344
Titre : La disparition silencieuse des médecins PADHUE : fin d’une injustice d’État ou nouvelle exclusion ? Type de document : revue Auteurs : Alice Desclaux, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.341-344 Langues : Français Mots-clés : Afrique
France
médecin
migration
système de santéRésumé : Les médecins ayant acquis leur diplôme hors de l’Union Européenne (PADHUE) avaient en France un statut spécifique défavorable, appelé à disparaître fin 2016. Jusqu’à cette date, un processus sélectif de validation leur permettait d’obtenir une habilitation au « plein exercice » de la médecine. La date limite vient d’être repoussée d’un an pour résoudre les situations de médecins « dans l’impasse » et éviter les tensions dans les services hospitaliers. Ceci conduit à s’interroger sur les conditions d’exercice et les motivations de médecins étrangers, en particulier africains, qui contribuent au fonctionnement du système de soins français, ainsi que sur les contraintes pesant sur leur intégration. Faut-il saluer la disparition de conditions d’exercice inégalitaires, ou déplorer la fermeture de l’accès des PADHUE au plein exercice en France à partir de 2018 ? Des travaux récents en sciences sociales, notamment sur les motivations à migrer de médecins issus de pays africains, montrent la complexité des enjeux. Dans un système de santé français protectionniste et soucieux de maintenir la couverture sanitaire, en décalage par rapport à la globalisation favorable aux mobilités transnationales, la fermeture des frontières aux médecins diplômés hors d’Europe, équivalant à remplacer l’inégalité par l’exclusion, pose question. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031078 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Les acteurs de la loi HPST confrontés à la recentralisation du secteur médicosocial / Alain Jourdain in Santé publique, vol.29 n°3 (mai juin 2017)
[article] Les acteurs de la loi HPST confrontés à la recentralisation du secteur médicosocial [revue] / Alain Jourdain, Auteur ; Jorge Munoz, Auteur ; Hervé Hudebine, Auteur . - 2017 . - p.345-360.
Langues : Français
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.345-360
Mots-clés : ARS agence régionale de santé
décentralisation
EMS établissement médico-social
HPST hôpital, patients, santé et territoiresRésumé :
Hypothèse : Par la loi HPST du 21 juillet 2009, l’État semble vouloir reprendre en mains le contrôle du secteur médicosocial en utilisant les instruments élaborés pour le secteur hospitalier, budgets contraints, contrats d’objectifs et de moyens, mise en concurrence des établissements et services, etc. Aussi, l’hypothèse d’une recentralisation des politiques médicosociales par les Agences Régionales de Santé en France (ARS) a été posée dans cet article.
Méthode et données : L’analyse sémantique de 27 entretiens avec les acteurs internes et externes des ARS a été réalisée à l’aide du logiciel Alceste afin de décrire et analyser le positionnement de l’ARS avec les acteurs-clés du secteur médicosocial dans deux régions en 2011.
Résultats : Le style de planification et la forme du transfert des savoir-faire du sanitaire ont mobilisé les institutions, alors que l’intensité du virage ambulatoire et les modalités d’analyse des besoins mobilisaient les professionnels. Les compromis ont été dépendants de la forme de légitimité démocratique, élective ou participative.
Conclusion : L’hypothèse de la recentralisation de la politique de santé par les ARS lors de la période 2009-2013 peut être rejetée au profit d’une reconfiguration des activités et des ressources des acteurs régionaux au centre (ARS et Conseils Départementaux) mais aussi à la périphérie (Délégations territoriales, Fédérations d’associations).[article]
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.345-360
Titre : Les acteurs de la loi HPST confrontés à la recentralisation du secteur médicosocial Type de document : revue Auteurs : Alain Jourdain, Auteur ; Jorge Munoz, Auteur ; Hervé Hudebine, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.345-360 Langues : Français Mots-clés : ARS agence régionale de santé
décentralisation
EMS établissement médico-social
HPST hôpital, patients, santé et territoiresRésumé :
Hypothèse : Par la loi HPST du 21 juillet 2009, l’État semble vouloir reprendre en mains le contrôle du secteur médicosocial en utilisant les instruments élaborés pour le secteur hospitalier, budgets contraints, contrats d’objectifs et de moyens, mise en concurrence des établissements et services, etc. Aussi, l’hypothèse d’une recentralisation des politiques médicosociales par les Agences Régionales de Santé en France (ARS) a été posée dans cet article.
Méthode et données : L’analyse sémantique de 27 entretiens avec les acteurs internes et externes des ARS a été réalisée à l’aide du logiciel Alceste afin de décrire et analyser le positionnement de l’ARS avec les acteurs-clés du secteur médicosocial dans deux régions en 2011.
Résultats : Le style de planification et la forme du transfert des savoir-faire du sanitaire ont mobilisé les institutions, alors que l’intensité du virage ambulatoire et les modalités d’analyse des besoins mobilisaient les professionnels. Les compromis ont été dépendants de la forme de légitimité démocratique, élective ou participative.
Conclusion : L’hypothèse de la recentralisation de la politique de santé par les ARS lors de la période 2009-2013 peut être rejetée au profit d’une reconfiguration des activités et des ressources des acteurs régionaux au centre (ARS et Conseils Départementaux) mais aussi à la périphérie (Délégations territoriales, Fédérations d’associations).Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031078 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Accès aux soins des personnes originaires d’Afrique subsaharienne vivant avec une hépatite B chronique / Nicolas Vignier in Santé publique, vol.29 n°3 (mai juin 2017)
[article] Accès aux soins des personnes originaires d’Afrique subsaharienne vivant avec une hépatite B chronique [revue] / Nicolas Vignier, Auteur ; Rosemary Dray Spira, Auteur ; France Lert, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.361-370.
Langues : Français
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.361-370
Mots-clés : accès aux soins
Afrique
CMU couverture maladie universelle
France
hépatite B
immigrantRésumé :
Objectif : L’objectif de cette étude est d’analyser l’accès aux soins des personnes originaires d’Afrique subsaharienne (ASS) vivant avec une hépatite B chronique (HBC) en France.
Méthodes : L’enquête ANRS-Parcours est une étude biographique réalisée en 2012-2013 auprès de personnes originaires d’ASS recrutées dans des services de prise en charge de l’HBC en Ile-de-France. Les données ont été recueillies en face-à-face à l’aide d’une grille biographique et d’un questionnaire standardisé.
Résultats : Parmi les 619 participants, 96,4 % ont une couverture maladie de base dont 18,6 % la Couverture maladie universelle (CMU) et 23,4 % l’Aide médicale d’état (AME). Un tiers des bénéficiaires de l’Assurance maladie n’ont pas de complémentaire santé et 75,7 % sont couverts au titre d’une Affection longue durée. L’obtention d’une couverture maladie après l’arrivée en France a lieu en médiane la première année. Parmi les participants, 22,0 % rapportent avoir renoncé aux soins pour raisons financières depuis l’arrivée en France et 9,7 % avoir vécu un refus de soins le plus souvent par refus de la CMU ou l’AME. Une fois diagnostiqué, l’entrée en soins a lieu en médiane l’année-même du diagnostic. Le retard à l’entrée en soins est plus fréquent chez les personnes sans couverture maladie l’année du diagnostic. Les ruptures de suivi de plus de 12 mois sont rares.
Conclusion : Les personnes originaires d’ASS vivant avec une HBC accèdent rapidement à une couverture maladie et aux soins. Cependant, des obstacles à l’accès aux soins persistent pour certaines du fait notamment de l’absence ou de l’incomplétude d’une couverture maladie et des refus de soins aux bénéficiaires de l’AME ou de la CMU.[article]
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.361-370
Titre : Accès aux soins des personnes originaires d’Afrique subsaharienne vivant avec une hépatite B chronique Type de document : revue Auteurs : Nicolas Vignier, Auteur ; Rosemary Dray Spira, Auteur ; France Lert, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.361-370 Langues : Français Mots-clés : accès aux soins
Afrique
CMU couverture maladie universelle
France
hépatite B
immigrantRésumé :
Objectif : L’objectif de cette étude est d’analyser l’accès aux soins des personnes originaires d’Afrique subsaharienne (ASS) vivant avec une hépatite B chronique (HBC) en France.
Méthodes : L’enquête ANRS-Parcours est une étude biographique réalisée en 2012-2013 auprès de personnes originaires d’ASS recrutées dans des services de prise en charge de l’HBC en Ile-de-France. Les données ont été recueillies en face-à-face à l’aide d’une grille biographique et d’un questionnaire standardisé.
Résultats : Parmi les 619 participants, 96,4 % ont une couverture maladie de base dont 18,6 % la Couverture maladie universelle (CMU) et 23,4 % l’Aide médicale d’état (AME). Un tiers des bénéficiaires de l’Assurance maladie n’ont pas de complémentaire santé et 75,7 % sont couverts au titre d’une Affection longue durée. L’obtention d’une couverture maladie après l’arrivée en France a lieu en médiane la première année. Parmi les participants, 22,0 % rapportent avoir renoncé aux soins pour raisons financières depuis l’arrivée en France et 9,7 % avoir vécu un refus de soins le plus souvent par refus de la CMU ou l’AME. Une fois diagnostiqué, l’entrée en soins a lieu en médiane l’année-même du diagnostic. Le retard à l’entrée en soins est plus fréquent chez les personnes sans couverture maladie l’année du diagnostic. Les ruptures de suivi de plus de 12 mois sont rares.
Conclusion : Les personnes originaires d’ASS vivant avec une HBC accèdent rapidement à une couverture maladie et aux soins. Cependant, des obstacles à l’accès aux soins persistent pour certaines du fait notamment de l’absence ou de l’incomplétude d’une couverture maladie et des refus de soins aux bénéficiaires de l’AME ou de la CMU.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031078 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Optimisation de la cartographie des processus du système d’information de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V / Sanae Jabbar in Santé publique, vol.29 n°3 (mai juin 2017)
[article] Optimisation de la cartographie des processus du système d’information de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V [revue] / Sanae Jabbar, Auteur ; Farid Lahboube, Auteur ; Nissrine Souissi, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.371-381.
Langues : Français
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.371-381
Résumé : Introduction : L’élaboration d’une cartographie des processus n’est pas une chose aisée, car au-delà de la détermination des processus-clés de l’organisme, elle peut difficilement décrire toutes les interactions, sous peine de devenir incompréhensible. C’est dans ce contexte que l’Hôpital militaire de Rabat souhaite revoir sa cartographie des processus pour qu’elle converge vers la cartographie de référence proposée par l’Agence nationale d’appui à la performance. Celle-ci a pour objectif la standardisation et l’amélioration des cartographies fonctionnelles des systèmes de production de soins.
Méthodes : Afin d’assister les agents de l’Hôpital militaire de Rabat (directeur, médecins, infirmiers, etc.) dans leur démarche de convergence vers la cartographie de référence, nous proposons dans cet article l’application d’une méthode de convergence sur la cartographie actuelle de l’Hôpital afin de guider ses agents dans leur démarche d’élaboration d’une cartographie des processus optimale respectant les recommandations en matière d’urbanisation des systèmes d’informations tout en restant conforme aux orientations stratégiques.
Résultats et discussion : Les résultats obtenus à l’issue de l’application de cette méthode à la cartographie initiale de l’hôpital dénotent un impact fonctionnel et organisationnel positif notamment en matière d’optimisation des flux entre processus.[article]
in Santé publique > vol.29 n°3 (mai juin 2017) . - p.371-381
Titre : Optimisation de la cartographie des processus du système d’information de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V Type de document : revue Auteurs : Sanae Jabbar, Auteur ; Farid Lahboube, Auteur ; Nissrine Souissi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.371-381 Langues : Français Résumé : Introduction : L’élaboration d’une cartographie des processus n’est pas une chose aisée, car au-delà de la détermination des processus-clés de l’organisme, elle peut difficilement décrire toutes les interactions, sous peine de devenir incompréhensible. C’est dans ce contexte que l’Hôpital militaire de Rabat souhaite revoir sa cartographie des processus pour qu’elle converge vers la cartographie de référence proposée par l’Agence nationale d’appui à la performance. Celle-ci a pour objectif la standardisation et l’amélioration des cartographies fonctionnelles des systèmes de production de soins.
Méthodes : Afin d’assister les agents de l’Hôpital militaire de Rabat (directeur, médecins, infirmiers, etc.) dans leur démarche de convergence vers la cartographie de référence, nous proposons dans cet article l’application d’une méthode de convergence sur la cartographie actuelle de l’Hôpital afin de guider ses agents dans leur démarche d’élaboration d’une cartographie des processus optimale respectant les recommandations en matière d’urbanisation des systèmes d’informations tout en restant conforme aux orientations stratégiques.
Résultats et discussion : Les résultats obtenus à l’issue de l’application de cette méthode à la cartographie initiale de l’hôpital dénotent un impact fonctionnel et organisationnel positif notamment en matière d’optimisation des flux entre processus.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031078 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00031078 | rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
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