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Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle . vol.98 n°3Mention de date : juin 2017Paru le : 01/06/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierProductivité universitaire des internes français en radiologie : où en sommes-nous ? / G. Chassagnon in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Productivité universitaire des internes français en radiologie : où en sommes-nous ? [revue] / G. Chassagnon, Auteur ; V. Dangouloff-Ros, Auteur ; V. Vilgrain, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.97-104.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.97-104
Mots-clés : imagerie médicale
publication
recherche
résidentRésumé : Justification et objectifs
Même si la recherche médicale par les internes français en radiologie est encouragée, leur productivité en termes de publication reste inconnue. Nous voulions ainsi évaluer et analyser le taux de publication des thèses de médecine et la productivité universitaire globale des internes en radiologie ayant obtenu leur diplôme en 2009 et 2010.
Matériels et méthodes
La liste des internes en radiologie et celle des thèses en imagerie ont été obtenues auprès de la base de données française sur Internet des thèses universitaires. Les principales caractéristiques des thèses ont été enregistrées et mises en corrélation avec les publications associées identifiées en examinant la base de données PubMed. Tout les autres publications des internes français en radiologie non liées aux thèses ont également été obtenues, décrites et comparées aux thèses publiées.
Résultats
Soixante-dix-neuf thèses de médecine sur 224 (35,3 %) rédigées par les internes français en radiologie en 2009 et 2010 ont été transformées en articles publiés dans les revues indexées dans Medline. Les internes étaient les premiers auteurs dans 69 % (60/87) de ces articles. Les facteurs associés à la publication de la thèse étaient un plan prospectif (p= 0,01) et la publication en tant que premier auteur d’une étude originale non liée à la thèse (p= 0,01). Soixante-et-onze pour cent des internes avaient publié au moins un autre article, dont 36,6 % en tant que premiers auteurs.
Conclusion
La productivité universitaire des internes français en radiologie est élevée grâce aux thèses publiées et autres articles.[article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.97-104
Titre : Productivité universitaire des internes français en radiologie : où en sommes-nous ? Type de document : revue Auteurs : G. Chassagnon, Auteur ; V. Dangouloff-Ros, Auteur ; V. Vilgrain, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.97-104 Langues : Français Mots-clés : imagerie médicale
publication
recherche
résidentRésumé : Justification et objectifs
Même si la recherche médicale par les internes français en radiologie est encouragée, leur productivité en termes de publication reste inconnue. Nous voulions ainsi évaluer et analyser le taux de publication des thèses de médecine et la productivité universitaire globale des internes en radiologie ayant obtenu leur diplôme en 2009 et 2010.
Matériels et méthodes
La liste des internes en radiologie et celle des thèses en imagerie ont été obtenues auprès de la base de données française sur Internet des thèses universitaires. Les principales caractéristiques des thèses ont été enregistrées et mises en corrélation avec les publications associées identifiées en examinant la base de données PubMed. Tout les autres publications des internes français en radiologie non liées aux thèses ont également été obtenues, décrites et comparées aux thèses publiées.
Résultats
Soixante-dix-neuf thèses de médecine sur 224 (35,3 %) rédigées par les internes français en radiologie en 2009 et 2010 ont été transformées en articles publiés dans les revues indexées dans Medline. Les internes étaient les premiers auteurs dans 69 % (60/87) de ces articles. Les facteurs associés à la publication de la thèse étaient un plan prospectif (p= 0,01) et la publication en tant que premier auteur d’une étude originale non liée à la thèse (p= 0,01). Soixante-et-onze pour cent des internes avaient publié au moins un autre article, dont 36,6 % en tant que premiers auteurs.
Conclusion
La productivité universitaire des internes français en radiologie est élevée grâce aux thèses publiées et autres articles.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Analyse de la publication ultérieure des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès de la Société française de radiologie. Partie I : caractéristiques générales / V. Dangouloff-Ros in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Analyse de la publication ultérieure des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès de la Société française de radiologie. Partie I : caractéristiques générales [revue] / V. Dangouloff-Ros, Auteur ; M. Ronot, Auteur ; M. Lagadec, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.105-110.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.105-110
Mots-clés : congrès
publication
radiologie
rechercheRésumé : Objectif : Évaluer le taux de publication des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès annuel de la Société française de radiologie (SFR) et identifier les facteurs associés à la publication.
Matériels et méthodes : Les résumés ont été sélectionnés dans les recueils des résumés des congrès annuels 2008–2010 de la SFR. Pour chaque résumé, le pays d’origine, les techniques de radiologie et d’imagerie diagnostique/interventionnelle (radiographie simple, angiographie, échographie [US], tomodensitométrie [TDM], imagerie par résonance magnétique [IRM]), l’étude humaine/expérimentale, le plan rétrospectif/prospectif, le nombre de sujets, l’étude oncologique ou pas ont été notés. Les publications ont été recherchées dans les revues indexées dans Medline et les facteurs associés analysés au moyen d’une analyse multivariée.
Résultats : Sept cent quarante-quatre résumés ont donné lieu à 298 publications (taux de publication 40 %). La plupart des résumés portaient sur des études rétrospectives (61 %), chez l’homme (94 %), d’imagerie diagnostique (85 %), par des auteurs européens (90 %) et en oncologie (27 %). Le nombre médian de sujets était de 39 (19–87). Les principales techniques d’imagerie étaient l’IRM, la TDM, l’US (46 %, 29 %, 21 %). Les publications étaient principalement en anglais (89 %), dans des revues radiologiques (72 %), avec un facteur d’impact moyen de 3,5±3,7. La publication était associée à un plan prospectif (OR=1,80), une soumission en Europe (OR=1,71), l’angiographie (OR=2,44) et l’oncologie (OR=1,81).
Conclusion : Le congrès annuel de la SFR se déroule en français, mais le taux de publication des résumés présentés est élevé, principalement en anglais dans des revues renommées.[article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.105-110
Titre : Analyse de la publication ultérieure des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès de la Société française de radiologie. Partie I : caractéristiques générales Type de document : revue Auteurs : V. Dangouloff-Ros, Auteur ; M. Ronot, Auteur ; M. Lagadec, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.105-110 Langues : Français Mots-clés : congrès
publication
radiologie
rechercheRésumé : Objectif : Évaluer le taux de publication des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès annuel de la Société française de radiologie (SFR) et identifier les facteurs associés à la publication.
Matériels et méthodes : Les résumés ont été sélectionnés dans les recueils des résumés des congrès annuels 2008–2010 de la SFR. Pour chaque résumé, le pays d’origine, les techniques de radiologie et d’imagerie diagnostique/interventionnelle (radiographie simple, angiographie, échographie [US], tomodensitométrie [TDM], imagerie par résonance magnétique [IRM]), l’étude humaine/expérimentale, le plan rétrospectif/prospectif, le nombre de sujets, l’étude oncologique ou pas ont été notés. Les publications ont été recherchées dans les revues indexées dans Medline et les facteurs associés analysés au moyen d’une analyse multivariée.
Résultats : Sept cent quarante-quatre résumés ont donné lieu à 298 publications (taux de publication 40 %). La plupart des résumés portaient sur des études rétrospectives (61 %), chez l’homme (94 %), d’imagerie diagnostique (85 %), par des auteurs européens (90 %) et en oncologie (27 %). Le nombre médian de sujets était de 39 (19–87). Les principales techniques d’imagerie étaient l’IRM, la TDM, l’US (46 %, 29 %, 21 %). Les publications étaient principalement en anglais (89 %), dans des revues radiologiques (72 %), avec un facteur d’impact moyen de 3,5±3,7. La publication était associée à un plan prospectif (OR=1,80), une soumission en Europe (OR=1,71), l’angiographie (OR=2,44) et l’oncologie (OR=1,81).
Conclusion : Le congrès annuel de la SFR se déroule en français, mais le taux de publication des résumés présentés est élevé, principalement en anglais dans des revues renommées.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Analyse de la publication ultérieure des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès national de la Société française de radiologie. Partie II : focus sur les résumés français / V. Dangouloff-Ros in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Analyse de la publication ultérieure des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès national de la Société française de radiologie. Partie II : focus sur les résumés français [revue] / V. Dangouloff-Ros, Auteur ; M. Ronot, Auteur ; M. Lagadec, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.111-120.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.111-120
Mots-clés : congrès
géographie
publication
radiologie
rechercheRésumé : Objectif : Évaluer le taux de publication des résumés scientifiques qui ont été présentés oralement lors des congrès annuels 2008, 2009 et 2010 de la Société française de radiologie par des radiologues français et réaliser une analyse régionale française.
Matériels et méthodes : Les résumés présentés oralement ont été identifiés par l’examen des recueils de résumés en ligne des congrès annuels 2008, 2009 et 2010 de la Société française de radiologie et soumis à une vérification croisée par l’examen de la version papier des résumés pour la même période. Seuls les résumés provenant d’équipes françaises ont été sélectionnées. La région administrative de soumission a été notée pour chaque résumé et, pour chaque région : (1) la population totale, (2) le nombre de radiologues en activité, (3) le nombre de membres actifs de la Société française de radiologie et (4) le nombre de radiologues universitaires ont été notés. Les sous-spécialités d’imagerie ont également été notées.
Résultats : Au total, 625 résumés au total ont été identifiés, donnant lieu à 268 publications (taux de publication 43 %). Le nombre médian de présentations et de publications par région a été respectivement de 18 (intervalle 1–255) et 7 (intervalle 0–101). Le ratio par million d’habitants a été respectivement de 7,5 et 3. Le nombre médian de présentations et de publications pour 100 radiologues en activité (membres de la SFR) a été respectivement de 7 et 3 (respectivement 10 et 4). Le nombre médian de présentations et de publications par radiologue universitaire a été respectivement de 2,6 et 1,2. Les variations régionales pour chaque indicateur ont été élevées (40–180 %). Trois sous-spécialités ont eu un taux de publication de plus de 50 % : l’imagerie thoracique (58 %), l’imagerie abdominale (52 %) et l’imagerie génito-urinaire (51 %).
Conclusion : Le taux de publication des résumés scientifiques français présentés oralement a été élevé, avec des variations importantes selon la région d’origine et la sous-spécialité d’imagerie.[article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.111-120
Titre : Analyse de la publication ultérieure des résumés scientifiques présentés oralement lors du congrès national de la Société française de radiologie. Partie II : focus sur les résumés français Type de document : revue Auteurs : V. Dangouloff-Ros, Auteur ; M. Ronot, Auteur ; M. Lagadec, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.111-120 Langues : Français Mots-clés : congrès
géographie
publication
radiologie
rechercheRésumé : Objectif : Évaluer le taux de publication des résumés scientifiques qui ont été présentés oralement lors des congrès annuels 2008, 2009 et 2010 de la Société française de radiologie par des radiologues français et réaliser une analyse régionale française.
Matériels et méthodes : Les résumés présentés oralement ont été identifiés par l’examen des recueils de résumés en ligne des congrès annuels 2008, 2009 et 2010 de la Société française de radiologie et soumis à une vérification croisée par l’examen de la version papier des résumés pour la même période. Seuls les résumés provenant d’équipes françaises ont été sélectionnées. La région administrative de soumission a été notée pour chaque résumé et, pour chaque région : (1) la population totale, (2) le nombre de radiologues en activité, (3) le nombre de membres actifs de la Société française de radiologie et (4) le nombre de radiologues universitaires ont été notés. Les sous-spécialités d’imagerie ont également été notées.
Résultats : Au total, 625 résumés au total ont été identifiés, donnant lieu à 268 publications (taux de publication 43 %). Le nombre médian de présentations et de publications par région a été respectivement de 18 (intervalle 1–255) et 7 (intervalle 0–101). Le ratio par million d’habitants a été respectivement de 7,5 et 3. Le nombre médian de présentations et de publications pour 100 radiologues en activité (membres de la SFR) a été respectivement de 7 et 3 (respectivement 10 et 4). Le nombre médian de présentations et de publications par radiologue universitaire a été respectivement de 2,6 et 1,2. Les variations régionales pour chaque indicateur ont été élevées (40–180 %). Trois sous-spécialités ont eu un taux de publication de plus de 50 % : l’imagerie thoracique (58 %), l’imagerie abdominale (52 %) et l’imagerie génito-urinaire (51 %).
Conclusion : Le taux de publication des résumés scientifiques français présentés oralement a été élevé, avec des variations importantes selon la région d’origine et la sous-spécialité d’imagerie.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Pathologie mammaire : Importance des corrélations radio-histologiques / A. Jalaguier-Coudray in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Pathologie mammaire : Importance des corrélations radio-histologiques [revue] / A. Jalaguier-Coudray, Auteur ; M. Barthellemy-Muis, Auteur ; B. Delarbre, Auteur . - 2017 . - p.121-130.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.121-130
Mots-clés : biopsie
concordance
histologie
seinRésumé : En pathologie mammaire, le binôme radiologue–anatomopathologiste a un rôle essentiel. À la réception des résultats histologiques, le radiologue doit se prononcer sur la concordance entre les anomalies prélevées et les résultats anatomopathologiques. Le rôle essentiel des corrélations est de rechercher des discordances. En présence d’un résultat histologique bénin, le rôle majeur du radiologue est de statuer : si le résultat histologique semble concordant, aucune chirurgie ou biopsie complémentaire n’est nécessaire ; en revanche, si le résultat histologique semble discordant, il est impératif de réaliser de nouveaux prélèvements ou une exérèse chirurgicale complémentaire. Le radiologue doit connaître les lésions dites « à risque » qui nécessitent une exérèse chirurgicale complémentaire. L’objectif de ce travail est de donner des outils au radiologue pour qu’il réalise systématiquement ces corrélations lors de la réception des résultats histologiques. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.121-130
Titre : Pathologie mammaire : Importance des corrélations radio-histologiques Type de document : revue Auteurs : A. Jalaguier-Coudray, Auteur ; M. Barthellemy-Muis, Auteur ; B. Delarbre, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.121-130 Langues : Français Mots-clés : biopsie
concordance
histologie
seinRésumé : En pathologie mammaire, le binôme radiologue–anatomopathologiste a un rôle essentiel. À la réception des résultats histologiques, le radiologue doit se prononcer sur la concordance entre les anomalies prélevées et les résultats anatomopathologiques. Le rôle essentiel des corrélations est de rechercher des discordances. En présence d’un résultat histologique bénin, le rôle majeur du radiologue est de statuer : si le résultat histologique semble concordant, aucune chirurgie ou biopsie complémentaire n’est nécessaire ; en revanche, si le résultat histologique semble discordant, il est impératif de réaliser de nouveaux prélèvements ou une exérèse chirurgicale complémentaire. Le radiologue doit connaître les lésions dites « à risque » qui nécessitent une exérèse chirurgicale complémentaire. L’objectif de ce travail est de donner des outils au radiologue pour qu’il réalise systématiquement ces corrélations lors de la réception des résultats histologiques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Mieux connaître les manifestations radiologiques des atteintes ostéoarticulaires et musculaires de la sarcoïdose / S. Aptel in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Mieux connaître les manifestations radiologiques des atteintes ostéoarticulaires et musculaires de la sarcoïdose [revue] / S. Aptel, Auteur ; S. Lecocq-Teixeira, Auteur ; P. Olivier, Auteur . - 2017 . - p.131-145.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.131-145
Mots-clés : appareil locomoteur
diagnostic
imagerie médicale
sarcoïdose
TEP tomographie par émission de positonsRésumé : Si la sémiologie radiologique fine des atteintes sarcoïdosiques thoraciques est maintenant parfaitement définie et connue de la majorité des radiologues, il n’en va pas de même pour les atteintes ostéoarticulaires et musculaires de cette affection qui peuvent pourtant poser de gros problèmes de diagnostic, soit lorsqu’elles sont les manifestations inaugurales de la maladie (7 % des cas) soit lorsqu’elles en émaillent le cours évolutif. Les lésions osseuses de la dactylite sarcoïdosique (classique maladie de Perthes-Jüngling) sont très caractéristiques et bien connues. De nombreuses autres présentations des atteintes sarcoïdosiques ostéomédullaires peuvent par contre poser de gros problèmes diagnostiques, en particulier les formes ostéolytiques uni ou multifocales et les formes ostéocondensantes. Les atteintes articulaires de la sarcoïdose sont difficiles à distinguer de celles des autres arthropathies, inflammatoires et dégénératives. Les lésions musculaires de la sarcoïdose sont généralement cliniquement silencieuses et donc souvent méconnues. C’est l’IRM qui a montré leur présence très fréquente en cas de sarcoïdose évolutive. Les formes aiguës sont de bon pronostic tandis que les lésions chroniques sont l’apanage de sarcoïdoses multiviscérales. Enfin, il faudra toujours penser à la possibilité d’une origine iatrogène des anomalies musculo-squelettiques observées au cours d’une sarcoïdose, en particulier liées à la corticothérapie. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.131-145
Titre : Mieux connaître les manifestations radiologiques des atteintes ostéoarticulaires et musculaires de la sarcoïdose Type de document : revue Auteurs : S. Aptel, Auteur ; S. Lecocq-Teixeira, Auteur ; P. Olivier, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.131-145 Langues : Français Mots-clés : appareil locomoteur
diagnostic
imagerie médicale
sarcoïdose
TEP tomographie par émission de positonsRésumé : Si la sémiologie radiologique fine des atteintes sarcoïdosiques thoraciques est maintenant parfaitement définie et connue de la majorité des radiologues, il n’en va pas de même pour les atteintes ostéoarticulaires et musculaires de cette affection qui peuvent pourtant poser de gros problèmes de diagnostic, soit lorsqu’elles sont les manifestations inaugurales de la maladie (7 % des cas) soit lorsqu’elles en émaillent le cours évolutif. Les lésions osseuses de la dactylite sarcoïdosique (classique maladie de Perthes-Jüngling) sont très caractéristiques et bien connues. De nombreuses autres présentations des atteintes sarcoïdosiques ostéomédullaires peuvent par contre poser de gros problèmes diagnostiques, en particulier les formes ostéolytiques uni ou multifocales et les formes ostéocondensantes. Les atteintes articulaires de la sarcoïdose sont difficiles à distinguer de celles des autres arthropathies, inflammatoires et dégénératives. Les lésions musculaires de la sarcoïdose sont généralement cliniquement silencieuses et donc souvent méconnues. C’est l’IRM qui a montré leur présence très fréquente en cas de sarcoïdose évolutive. Les formes aiguës sont de bon pronostic tandis que les lésions chroniques sont l’apanage de sarcoïdoses multiviscérales. Enfin, il faudra toujours penser à la possibilité d’une origine iatrogène des anomalies musculo-squelettiques observées au cours d’une sarcoïdose, en particulier liées à la corticothérapie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Chimiothérapies personnalisées du cancer bronchique : ce que le radiologue doit connaître a, ⁎, b, c , a, b, c, / G.R. Ferretti in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Chimiothérapies personnalisées du cancer bronchique : ce que le radiologue doit connaître a, ⁎, b, c , a, b, c, [revue] / G.R. Ferretti, Auteur ; E. Reymond, Auteur ; A. Delouche, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.146-156.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.146-156
Mots-clés : angiogénèse
cancer broncho-pulmonaire
immunothérapie
inhibiteur
protein-tyrosine kinasesRésumé : Le cancer du poumon est la première cause de décès par cancer en France. Plus de la moitié des cas se présentent à un stade évolué. De nouvelles thérapeutiques du cancer bronchique non à petites cellules, en complément ou association avec la chimiothérapie classique, ont été validées ces dernières années et sont appelés traitements « personnalisés ». Ils se répartissent dans trois classes thérapeutiques : les inhibiteurs de tyrosine kinase, les antiangiogéniques et l’immunothérapie. Ces nouveaux traitements sont parfois à l’origine d’effets indésirables thoraciques originaux et de réponses radiologiques très différentes de celles observées avec des chimiothérapies cytotoxiques classiques, conduisant à proposer des adaptations de l’évaluation thérapeutique RECIST 1.1. Le but de cette mise au point est de présenter les nouvelles thérapeutiques personnalisées du cancer bronchique, puis de montrer les réponses radiologiques qu’elles induisent, en y incluant les effets indésirables thoraciques, que le radiologue, en charge de l’évaluation post-thérapeutique, doit connaître, afin d’interpréter plus précisément les scanners. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.146-156
Titre : Chimiothérapies personnalisées du cancer bronchique : ce que le radiologue doit connaître a, ⁎, b, c , a, b, c, Type de document : revue Auteurs : G.R. Ferretti, Auteur ; E. Reymond, Auteur ; A. Delouche, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.146-156 Langues : Français Mots-clés : angiogénèse
cancer broncho-pulmonaire
immunothérapie
inhibiteur
protein-tyrosine kinasesRésumé : Le cancer du poumon est la première cause de décès par cancer en France. Plus de la moitié des cas se présentent à un stade évolué. De nouvelles thérapeutiques du cancer bronchique non à petites cellules, en complément ou association avec la chimiothérapie classique, ont été validées ces dernières années et sont appelés traitements « personnalisés ». Ils se répartissent dans trois classes thérapeutiques : les inhibiteurs de tyrosine kinase, les antiangiogéniques et l’immunothérapie. Ces nouveaux traitements sont parfois à l’origine d’effets indésirables thoraciques originaux et de réponses radiologiques très différentes de celles observées avec des chimiothérapies cytotoxiques classiques, conduisant à proposer des adaptations de l’évaluation thérapeutique RECIST 1.1. Le but de cette mise au point est de présenter les nouvelles thérapeutiques personnalisées du cancer bronchique, puis de montrer les réponses radiologiques qu’elles induisent, en y incluant les effets indésirables thoraciques, que le radiologue, en charge de l’évaluation post-thérapeutique, doit connaître, afin d’interpréter plus précisément les scanners. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Mise au point sur l’utilisation du copolymère d’éthylène vinyle alcool (onyx) en radiologie interventionnelle périphérique : indications, avantages et inconvénients / M. Saeed Kilani in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Mise au point sur l’utilisation du copolymère d’éthylène vinyle alcool (onyx) en radiologie interventionnelle périphérique : indications, avantages et inconvénients [revue] / M. Saeed Kilani, Auteur ; J. Izaaryene, Auteur ; F. Cohen, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.157-165.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.157-165
Mots-clés : anévrisme
embolisation
malformation artérioveineuseRésumé : L’onyx est un agent d’embolisation liquide permettant de réaliser des embolisations complexes. Dans de nombreuses indications radiologiques interventionnelles, l’onyx permet de sécuriser les procédures et de potentialiser certaines embolisations grâce à ses propriétés physico-chimiques. Le but de cet article est d’effectuer une mise au point sur les avantages et inconvénients de l’onyx ainsi que d’identifier ses principales indications. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.157-165
Titre : Mise au point sur l’utilisation du copolymère d’éthylène vinyle alcool (onyx) en radiologie interventionnelle périphérique : indications, avantages et inconvénients Type de document : revue Auteurs : M. Saeed Kilani, Auteur ; J. Izaaryene, Auteur ; F. Cohen, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.157-165 Langues : Français Mots-clés : anévrisme
embolisation
malformation artérioveineuseRésumé : L’onyx est un agent d’embolisation liquide permettant de réaliser des embolisations complexes. Dans de nombreuses indications radiologiques interventionnelles, l’onyx permet de sécuriser les procédures et de potentialiser certaines embolisations grâce à ses propriétés physico-chimiques. Le but de cet article est d’effectuer une mise au point sur les avantages et inconvénients de l’onyx ainsi que d’identifier ses principales indications. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Mise au point sur la tomosynthèse mammaire : cas cliniques, avantages et inconvénients / T. Nguyen in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle, vol.98 n°3 (juin 2017)
[article] Mise au point sur la tomosynthèse mammaire : cas cliniques, avantages et inconvénients [revue] / T. Nguyen, Auteur ; G. Levy, Auteur ; E. Poncelet, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.166-180.
Langues : Français
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.166-180
Mots-clés : cancer du sein
mammographie
sénologie
tomosynthèseRésumé : Le dépistage national du cancer du sein en France repose sur la mammographie associée à l’examen clinique, avec une éventuelle échographie mammaire en cas de densité mammaire élevée. La tomosynthèse est une technique d’imagerie numérique 3D en cours d’évaluation permettant d’acquérir des images par balayage automatique angulaire du sein sous une même compression. Combinée à la mammographie, elle apporte des informations à la fois conventionnelles (2D) mais aussi tridimensionnelles (3D). L’objectif de cette mise au point est de présenter cette nouvelle technique d’imagerie mammaire à travers des données bibliographiques récentes, illustrée de cas cliniques issus de notre pratique quotidienne. Ses principaux avantages sont une aide à la détection et à la caractérisation lésionnelles, ou au diagnostic de lésions occultes en cas de seins denses, mais au prix d’une irradiation supérieure à la mammographie 2D. En France, ses indications et sa place restent à valider dans la stratégie de dépistage (individuel et organisé) mais aussi pour le diagnostic et le bilan d’extension d’un cancer du sein (lésions multiples). De nouvelles études sont attendues, notamment concernant l’évaluation d’une technique de reconstruction combinée de la vue 2D à partir des données de la tomosynthèse lors d’une même compression mammaire, diminuant ainsi l’irradiation. [article]
in Journal de radiologie Diagnostique et interventionnelle > vol.98 n°3 (juin 2017) . - p.166-180
Titre : Mise au point sur la tomosynthèse mammaire : cas cliniques, avantages et inconvénients Type de document : revue Auteurs : T. Nguyen, Auteur ; G. Levy, Auteur ; E. Poncelet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.166-180 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein
mammographie
sénologie
tomosynthèseRésumé : Le dépistage national du cancer du sein en France repose sur la mammographie associée à l’examen clinique, avec une éventuelle échographie mammaire en cas de densité mammaire élevée. La tomosynthèse est une technique d’imagerie numérique 3D en cours d’évaluation permettant d’acquérir des images par balayage automatique angulaire du sein sous une même compression. Combinée à la mammographie, elle apporte des informations à la fois conventionnelles (2D) mais aussi tridimensionnelles (3D). L’objectif de cette mise au point est de présenter cette nouvelle technique d’imagerie mammaire à travers des données bibliographiques récentes, illustrée de cas cliniques issus de notre pratique quotidienne. Ses principaux avantages sont une aide à la détection et à la caractérisation lésionnelles, ou au diagnostic de lésions occultes en cas de seins denses, mais au prix d’une irradiation supérieure à la mammographie 2D. En France, ses indications et sa place restent à valider dans la stratégie de dépistage (individuel et organisé) mais aussi pour le diagnostic et le bilan d’extension d’un cancer du sein (lésions multiples). De nouvelles études sont attendues, notamment concernant l’évaluation d’une technique de reconstruction combinée de la vue 2D à partir des données de la tomosynthèse lors d’une même compression mammaire, diminuant ainsi l’irradiation. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031067 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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