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Ajouter le résultat dans votre panierDouleurs musculo-squelettiques de la face, migraine et céphalée de tension : un problème multidisciplinaire / Xavier Moisset in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°3 (juin 2017)
[article] Douleurs musculo-squelettiques de la face, migraine et céphalée de tension : un problème multidisciplinaire [revue] / Xavier Moisset, Auteur ; Céline Melin, Auteur . - 2017 . - p.122-126.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.122-126
Mots-clés : ATM articulation temporo-mandibulaire
céphalée
DAM dysfonction de l'appareil manducateur
migraineRésumé : Les douleurs musculo-squelettiques de la face sont un sous-groupe des algies et dysfonctions de l’appareil manducateur (ADAM). Tous ces troubles intéressants l’ATM sont regroupés en anglais sous le terme générique de temporomandibular disorders (TMD). D’après les données de la littérature, les TMDs sont associés à des céphalées primaires (migraine et céphalées de tension) de manière significative avec une association bidirectionnelle. L’objectif de ce bref article est de donner à tous les professionnels de santé recevant des patients souffrant de douleurs céphaliques les définitions de ces différentes douleurs et les bases de leur prise en charge thérapeutique. La dysfonction de l’ATM pouvant aggraver la céphalée primaire, et inversement la céphalée primaire favorisant la dysfonction de l’ATM, une prise en charge coordonnée du problème odontologique et de la céphalée primaire semble nécessaire. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.122-126
Titre : Douleurs musculo-squelettiques de la face, migraine et céphalée de tension : un problème multidisciplinaire Type de document : revue Auteurs : Xavier Moisset, Auteur ; Céline Melin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.122-126 Langues : Français Mots-clés : ATM articulation temporo-mandibulaire
céphalée
DAM dysfonction de l'appareil manducateur
migraineRésumé : Les douleurs musculo-squelettiques de la face sont un sous-groupe des algies et dysfonctions de l’appareil manducateur (ADAM). Tous ces troubles intéressants l’ATM sont regroupés en anglais sous le terme générique de temporomandibular disorders (TMD). D’après les données de la littérature, les TMDs sont associés à des céphalées primaires (migraine et céphalées de tension) de manière significative avec une association bidirectionnelle. L’objectif de ce bref article est de donner à tous les professionnels de santé recevant des patients souffrant de douleurs céphaliques les définitions de ces différentes douleurs et les bases de leur prise en charge thérapeutique. La dysfonction de l’ATM pouvant aggraver la céphalée primaire, et inversement la céphalée primaire favorisant la dysfonction de l’ATM, une prise en charge coordonnée du problème odontologique et de la céphalée primaire semble nécessaire. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031052 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Accès aux analgésiques opioïdes pour les douleurs cancéreuses : des inégalités majeures – la situation en Afrique / Nadia Fellaha in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°3 (juin 2017)
[article] Accès aux analgésiques opioïdes pour les douleurs cancéreuses : des inégalités majeures – la situation en Afrique [revue] / Nadia Fellaha, Auteur ; Mati Nejmib, Auteur ; Henda Rais, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.127-139.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.127-139
Mots-clés : Afrique
analgésique
opioïde
recommandation
soins palliatifsRésumé : En dépit de la Convention sur les stupéfiants de 1961 prévoyant des dispositions spécifiques pour assurer et ne pas réduire la disponibilité de médicaments considérés comme indispensables à des fins médicales et scientifiques, l’utilisation d’analgésiques opioïdes a été inadéquate dans de nombreux pays. Pourtant, plus de 5 milliards de personnes dans le monde ont peu ou pas accès aux analgésiques essentiels, comme la codéine ou la morphine. Une étude publiée en 2016 et réalisée dans 214 pays a montré une augmentation de la consommation mondiale de médicaments analgésiques opioïdes entre 2001/2003 et 2011/2013. Cependant, cette consommation est très inégalement répartie entre les différentes régions du monde. L’Amérique du Nord, l’Océanie et l’Europe occidentale et centrale totalisent 95,7 % de la consommation, alors qu’elles représentent 15 % de la population mondiale. Dans le même temps, 75 % de la population mondiale, principalement dans les pays à faible revenu (Afrique, Asie, Amérique centrale, Caraïbes, Amérique du Sud) a un accès limité ou nul au soulagement de la douleur. Les faibles niveaux de consommation d’analgésiques opioïdes dans ces pays et régions ne semblent pas être le résultat d’un manque d’approvisionnement en matières premières opiacées et en opioïdes. Les données disponibles pour l’Organe international du contrôle des stupéfiants (OICS) indiquent que la demande mondiale est pleinement satisfaite. Les obstacles à la disponibilité qui ont été les plus fréquemment identifiés comprennent l’absence de formation et de sensibilisation des professionnels de la santé, la peur de la dépendance, les ressources financières restreintes, les problèmes d’approvisionnement, les attitudes culturelles, la peur du détournement, les contrôles du commerce international et la réglementation onéreuse. L’OICS a publié des recommandations qui devraient être appliquées au cours des dix prochaines années pour répondre aux promesses de la Convention sur les stupéfiants et atténuer les disparités régionales en matière de soulagement de la douleur. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.127-139
Titre : Accès aux analgésiques opioïdes pour les douleurs cancéreuses : des inégalités majeures – la situation en Afrique Type de document : revue Auteurs : Nadia Fellaha, Auteur ; Mati Nejmib, Auteur ; Henda Rais, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.127-139 Langues : Français Mots-clés : Afrique
analgésique
opioïde
recommandation
soins palliatifsRésumé : En dépit de la Convention sur les stupéfiants de 1961 prévoyant des dispositions spécifiques pour assurer et ne pas réduire la disponibilité de médicaments considérés comme indispensables à des fins médicales et scientifiques, l’utilisation d’analgésiques opioïdes a été inadéquate dans de nombreux pays. Pourtant, plus de 5 milliards de personnes dans le monde ont peu ou pas accès aux analgésiques essentiels, comme la codéine ou la morphine. Une étude publiée en 2016 et réalisée dans 214 pays a montré une augmentation de la consommation mondiale de médicaments analgésiques opioïdes entre 2001/2003 et 2011/2013. Cependant, cette consommation est très inégalement répartie entre les différentes régions du monde. L’Amérique du Nord, l’Océanie et l’Europe occidentale et centrale totalisent 95,7 % de la consommation, alors qu’elles représentent 15 % de la population mondiale. Dans le même temps, 75 % de la population mondiale, principalement dans les pays à faible revenu (Afrique, Asie, Amérique centrale, Caraïbes, Amérique du Sud) a un accès limité ou nul au soulagement de la douleur. Les faibles niveaux de consommation d’analgésiques opioïdes dans ces pays et régions ne semblent pas être le résultat d’un manque d’approvisionnement en matières premières opiacées et en opioïdes. Les données disponibles pour l’Organe international du contrôle des stupéfiants (OICS) indiquent que la demande mondiale est pleinement satisfaite. Les obstacles à la disponibilité qui ont été les plus fréquemment identifiés comprennent l’absence de formation et de sensibilisation des professionnels de la santé, la peur de la dépendance, les ressources financières restreintes, les problèmes d’approvisionnement, les attitudes culturelles, la peur du détournement, les contrôles du commerce international et la réglementation onéreuse. L’OICS a publié des recommandations qui devraient être appliquées au cours des dix prochaines années pour répondre aux promesses de la Convention sur les stupéfiants et atténuer les disparités régionales en matière de soulagement de la douleur. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031052 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Algohallucinose : à propos de 18 cas / Fatma Laatar in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°3 (juin 2017)
[article] Algohallucinose : à propos de 18 cas [revue] / Fatma Laatar, Auteur ; Mahla Kolsi, Auteur ; Sonia Khalbous, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.140-145.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.140-145
Mots-clés : amputation
douleur
membre fantôme
thérapeutiqueRésumé : L’algohallucinose est définie par la douleur ressentie par le patient au niveau du membre amputé. Il s’agit d’une complication relativement fréquente après amputation. Sa prise en charge thérapeutique est difficile et généralement décevante. À travers cette étude rétrospective de 18 patients ayant consulté au centre de traitement de la douleur de l’hôpital la Rabta, nous allons décrire les différentes caractéristiques de l’algohallucinose. Nous avons précisé les données épidémiologiques, cliniques et évolutives de la douleur. L’âge moyen de nos patients était de 58 ans ; l’âge moyen à la première consultation était de 48 ans avec des extrêmes de 27 à 90 ans. Les étiologies de l’amputation étaient diverses. Le délai moyen d’apparition des douleurs était d’un an et 3 mois. Une algohallucinose et des douleurs du moignon étaient notées chez 8 patients. Les douleurs étaient dominées par les brûlures et les décharges électriques. Le DN4 était dans tous les cas supérieur à 4/10, l’évaluation par l’échelle numérique (EN) était de 8/10. Une dépression réactionnelle a été décelée dans 61 % des cas. Tous les patients ont été mis sous polythérapie. Nous avons eu recours à une psychothérapie chez 9 patients (50 %). L’évolution s’était faite vers l’amélioration chez 14 patients. L’algohallucinose est fréquente (60–85 % des patients). L’algohallucinose, les sensations fantômes et les douleurs du moignon se chevauchent et, chez un même patient, les trois phénomènes coexistent souvent. Sur le plan physiopathologique, plusieurs théories sont émises. Le traitement repose sur les recommandations thérapeutiques communes aux douleurs neuropathiques. Des approches non pharmacologiques sont possibles. Une adaptation individualisée et la règle. [article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.140-145
Titre : Algohallucinose : à propos de 18 cas Type de document : revue Auteurs : Fatma Laatar, Auteur ; Mahla Kolsi, Auteur ; Sonia Khalbous, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.140-145 Langues : Français Mots-clés : amputation
douleur
membre fantôme
thérapeutiqueRésumé : L’algohallucinose est définie par la douleur ressentie par le patient au niveau du membre amputé. Il s’agit d’une complication relativement fréquente après amputation. Sa prise en charge thérapeutique est difficile et généralement décevante. À travers cette étude rétrospective de 18 patients ayant consulté au centre de traitement de la douleur de l’hôpital la Rabta, nous allons décrire les différentes caractéristiques de l’algohallucinose. Nous avons précisé les données épidémiologiques, cliniques et évolutives de la douleur. L’âge moyen de nos patients était de 58 ans ; l’âge moyen à la première consultation était de 48 ans avec des extrêmes de 27 à 90 ans. Les étiologies de l’amputation étaient diverses. Le délai moyen d’apparition des douleurs était d’un an et 3 mois. Une algohallucinose et des douleurs du moignon étaient notées chez 8 patients. Les douleurs étaient dominées par les brûlures et les décharges électriques. Le DN4 était dans tous les cas supérieur à 4/10, l’évaluation par l’échelle numérique (EN) était de 8/10. Une dépression réactionnelle a été décelée dans 61 % des cas. Tous les patients ont été mis sous polythérapie. Nous avons eu recours à une psychothérapie chez 9 patients (50 %). L’évolution s’était faite vers l’amélioration chez 14 patients. L’algohallucinose est fréquente (60–85 % des patients). L’algohallucinose, les sensations fantômes et les douleurs du moignon se chevauchent et, chez un même patient, les trois phénomènes coexistent souvent. Sur le plan physiopathologique, plusieurs théories sont émises. Le traitement repose sur les recommandations thérapeutiques communes aux douleurs neuropathiques. Des approches non pharmacologiques sont possibles. Une adaptation individualisée et la règle. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031052 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le syndrome de Pancoast-Tobias : une entité à plusieurs visages, à propos de 95 cas / Leila Sellami in Douleurs évaluation diagnostic Traitement, vol.18 n°3 (juin 2017)
[article] Le syndrome de Pancoast-Tobias : une entité à plusieurs visages, à propos de 95 cas [revue] / Leila Sellami, Auteur ; Farah Cherif, Auteur ; Mahla Kolsi, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.146-151.
Langues : Français
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.146-151
Mots-clés : analgésique morphinique
cancer broncho-pulmonaire
douleur
syndrome de Pancoast-TobiasRésumé :
Introduction : Le syndrome de Pancoast-Tobias (SPT) est classiquement défini par la combinaison d’une douleur dans le territoire C8-D1, d’une amyotrophie de la main et d’un syndrome de Claude-Bernard-Horner, secondaire à une lésion de l’apex pulmonaire. La reconnaissance de ce syndrome étant nécessaire afin de proposer un traitement antalgique adéquat, notre objectif était de déterminer si cette définition était applicable à une large cohorte de patients.
Patients et méthodes : Étude transversale descriptive rétrospective. Inclusion des patients suivis pour un SPT entre 2005 et 2015. Les caractéristiques sémiologiques de la douleur, les signes associés et les données du traitement ont été recueillis. La douleur a été évaluée par l’échelle visuelle analogique et le questionnaire DN4.
Résultats : Quatre-vingt-quinze patients ont été inclus. Tous présentaient une tumeur pulmonaire apicale. L’âge moyen était de 60 ± 10 ans. La douleur était mixte dans 74 % des cas. Elle siégeait au niveau du bras dans la majorité des cas. La douleur neuropathique présentait un trajet radiculaire selon le territoire C8-D1 uniquement dans 50 % des cas. Un signe de CBH a été retrouvé chez 27,1 % des patients. Le score EVA moyen = 80 ± 10. Le score DN4 moyen = 5 ± 2. Un traitement par sulfate de morphine a été prescrit dans 90,6 % des cas. La prégabaline a été prescrite dans 27 % des cas.
Conclusion : Le syndrome de Pancoast-Tobias n’est pas une entité monolithique sur le plan sémiologique. On pourrait proposer sa classification en une forme typique et des formes atypiques. L’intensité de la douleur nécessite souvent l’association des morphiniques, des nouveaux antiépileptiques et des corticoïdes.[article]
in Douleurs évaluation diagnostic Traitement > vol.18 n°3 (juin 2017) . - p.146-151
Titre : Le syndrome de Pancoast-Tobias : une entité à plusieurs visages, à propos de 95 cas Type de document : revue Auteurs : Leila Sellami, Auteur ; Farah Cherif, Auteur ; Mahla Kolsi, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.146-151 Langues : Français Mots-clés : analgésique morphinique
cancer broncho-pulmonaire
douleur
syndrome de Pancoast-TobiasRésumé :
Introduction : Le syndrome de Pancoast-Tobias (SPT) est classiquement défini par la combinaison d’une douleur dans le territoire C8-D1, d’une amyotrophie de la main et d’un syndrome de Claude-Bernard-Horner, secondaire à une lésion de l’apex pulmonaire. La reconnaissance de ce syndrome étant nécessaire afin de proposer un traitement antalgique adéquat, notre objectif était de déterminer si cette définition était applicable à une large cohorte de patients.
Patients et méthodes : Étude transversale descriptive rétrospective. Inclusion des patients suivis pour un SPT entre 2005 et 2015. Les caractéristiques sémiologiques de la douleur, les signes associés et les données du traitement ont été recueillis. La douleur a été évaluée par l’échelle visuelle analogique et le questionnaire DN4.
Résultats : Quatre-vingt-quinze patients ont été inclus. Tous présentaient une tumeur pulmonaire apicale. L’âge moyen était de 60 ± 10 ans. La douleur était mixte dans 74 % des cas. Elle siégeait au niveau du bras dans la majorité des cas. La douleur neuropathique présentait un trajet radiculaire selon le territoire C8-D1 uniquement dans 50 % des cas. Un signe de CBH a été retrouvé chez 27,1 % des patients. Le score EVA moyen = 80 ± 10. Le score DN4 moyen = 5 ± 2. Un traitement par sulfate de morphine a été prescrit dans 90,6 % des cas. La prégabaline a été prescrite dans 27 % des cas.
Conclusion : Le syndrome de Pancoast-Tobias n’est pas une entité monolithique sur le plan sémiologique. On pourrait proposer sa classification en une forme typique et des formes atypiques. L’intensité de la douleur nécessite souvent l’association des morphiniques, des nouveaux antiépileptiques et des corticoïdes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031052 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
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