Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
Médecine palliative . vol.16 n°3Mention de date : juin 2017Paru le : 01/06/2017 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierDéfaut de continuité de la prise en charge médicale en fin de vie au domicile / Marc Poterre in Médecine palliative, vol.16 n°3 (juin 2017)
[article] Défaut de continuité de la prise en charge médicale en fin de vie au domicile [revue] / Marc Poterre, Auteur ; Sophie Taounhaer, Auteur . - 2017 . - p.112-119.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.112-119
Mots-clés : abandon
continuité des soins
domicile
fin de vie
HAD hospitalisation à domicile
rupture
soins palliatifsRésumé :
Objectifs de l’étude : Le défaut de continuité de la prise en charge médicale n’est pas rare dans les fins de vie au domicile. L’objectif de cette étude était d’analyser rétrospectivement les cas de rupture de continuité de la prise en charge médicale lors des fins de vie à domicile.
Patients et méthodes : Nous avons réalisé une analyse de la littérature ainsi qu’une étude transversale rétrospective portant sur les dossiers de 98 patients pris en charge en hospitalisation à domicile pour soins palliatifs.
Résultats : 9 % des patients avaient rencontré des difficultés avec leur médecin généraliste, 13 % n’avaient pas de médecin-référent hospitalier identifié, 62 % n’étaient pas suivis par un réseau, et dans 15 % des cas l’équipe d’hospitalisation à domicile assurait seule la coordination des soins palliatifs.
Conclusion : Les causes sont multiples : défaut d’annonce de l’entrée en phase palliative ne permettant la mise en place des moyens nécessaires au domicile, insuffisance de communication ville – hôpital, absence ou retrait du médecin traitant, désengagement du médecin hospitalier dès lors qu’il n’y a plus de traitement curatif, insuffisance de moyens des structures de relais. Ce travail propose également des réflexions sur les pistes d’amélioration.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.112-119
Titre : Défaut de continuité de la prise en charge médicale en fin de vie au domicile Type de document : revue Auteurs : Marc Poterre, Auteur ; Sophie Taounhaer, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.112-119 Langues : Français Mots-clés : abandon
continuité des soins
domicile
fin de vie
HAD hospitalisation à domicile
rupture
soins palliatifsRésumé :
Objectifs de l’étude : Le défaut de continuité de la prise en charge médicale n’est pas rare dans les fins de vie au domicile. L’objectif de cette étude était d’analyser rétrospectivement les cas de rupture de continuité de la prise en charge médicale lors des fins de vie à domicile.
Patients et méthodes : Nous avons réalisé une analyse de la littérature ainsi qu’une étude transversale rétrospective portant sur les dossiers de 98 patients pris en charge en hospitalisation à domicile pour soins palliatifs.
Résultats : 9 % des patients avaient rencontré des difficultés avec leur médecin généraliste, 13 % n’avaient pas de médecin-référent hospitalier identifié, 62 % n’étaient pas suivis par un réseau, et dans 15 % des cas l’équipe d’hospitalisation à domicile assurait seule la coordination des soins palliatifs.
Conclusion : Les causes sont multiples : défaut d’annonce de l’entrée en phase palliative ne permettant la mise en place des moyens nécessaires au domicile, insuffisance de communication ville – hôpital, absence ou retrait du médecin traitant, désengagement du médecin hospitalier dès lors qu’il n’y a plus de traitement curatif, insuffisance de moyens des structures de relais. Ce travail propose également des réflexions sur les pistes d’amélioration.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031028 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Lits identifiés de soins palliatifs : quelle traçabilité de la démarche palliative ? / Marc Roussier in Médecine palliative, vol.16 n°3 (juin 2017)
[article] Lits identifiés de soins palliatifs : quelle traçabilité de la démarche palliative ? [revue] / Marc Roussier, Auteur ; Martine Vial, Auteur ; Anne-Catherine Biron-Schneider, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.120-130.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.120-130
Mots-clés : EPP évaluation des pratiques professionnelles
indicateur
LISP lit identifié de soins palliatifs
offre de soins
qualité
soins palliatifsRésumé :
Objectifs de l’étude : Les lits identifiés de soins palliatifs permettent une reconnaissance des prises en charge palliatives dans des services hospitaliers confrontés à des fins de vie fréquentes. L’activité de ces lits identifiés soins palliatifs doit pouvoir se justifier a posteriori auprès des tutelles par certains critères de prise en charge définis dans une grille de repérage élaborée par la Caisse nationale de l’assurance-maladie des travailleurs salariés et la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (CNAMTS–Sfap). L’objectif de cette étude était d’évaluer la traçabilité de la démarche palliative chez les patients hospitalisés sur les lits identifiés soins palliatifs du centre hospitalier universitaire (CHU) de Saint-Étienne.
Matériel et méthodes : Évaluation des pratiques professionnelles médicales et paramédicales. Tirage au sort de dix dossiers comportant un séjour sur un lit identifié de soins palliatifs pendant le deuxième semestre 2013, dans chaque service comportant des lits identifiés de soins palliatifs au CHU. Recherche de la traçabilité des critères de la grille de repérage CNAMTS–Sfap.
Résultats : La traçabilité de la réflexion sur la démarche palliative n’était retrouvée que dans 49 % des dossiers étudiés ; la traçabilité de la prise en charge multidisciplinaire coordonnée dans 64 % ; celle sur les besoins en soins de support dans 16 %. La prise en compte quotidienne de la douleur n’était tracée que dans 40 % des dossiers. Finalement, seuls 5 % des dossiers audités correspondaient aux critères de la grille CNAMTS–Sfap.
Conclusion : Si cette évaluation des pratiques professionnelles a entraîné une remise en question importante dans nos services sur la traçabilité de la démarche palliative et des soins effectués, nous nous sommes interrogés également sur la pertinence de la grille CNAMTS–Sfap dans certaines situations que nous avons détaillées.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.120-130
Titre : Lits identifiés de soins palliatifs : quelle traçabilité de la démarche palliative ? Type de document : revue Auteurs : Marc Roussier, Auteur ; Martine Vial, Auteur ; Anne-Catherine Biron-Schneider, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.120-130 Langues : Français Mots-clés : EPP évaluation des pratiques professionnelles
indicateur
LISP lit identifié de soins palliatifs
offre de soins
qualité
soins palliatifsRésumé :
Objectifs de l’étude : Les lits identifiés de soins palliatifs permettent une reconnaissance des prises en charge palliatives dans des services hospitaliers confrontés à des fins de vie fréquentes. L’activité de ces lits identifiés soins palliatifs doit pouvoir se justifier a posteriori auprès des tutelles par certains critères de prise en charge définis dans une grille de repérage élaborée par la Caisse nationale de l’assurance-maladie des travailleurs salariés et la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (CNAMTS–Sfap). L’objectif de cette étude était d’évaluer la traçabilité de la démarche palliative chez les patients hospitalisés sur les lits identifiés soins palliatifs du centre hospitalier universitaire (CHU) de Saint-Étienne.
Matériel et méthodes : Évaluation des pratiques professionnelles médicales et paramédicales. Tirage au sort de dix dossiers comportant un séjour sur un lit identifié de soins palliatifs pendant le deuxième semestre 2013, dans chaque service comportant des lits identifiés de soins palliatifs au CHU. Recherche de la traçabilité des critères de la grille de repérage CNAMTS–Sfap.
Résultats : La traçabilité de la réflexion sur la démarche palliative n’était retrouvée que dans 49 % des dossiers étudiés ; la traçabilité de la prise en charge multidisciplinaire coordonnée dans 64 % ; celle sur les besoins en soins de support dans 16 %. La prise en compte quotidienne de la douleur n’était tracée que dans 40 % des dossiers. Finalement, seuls 5 % des dossiers audités correspondaient aux critères de la grille CNAMTS–Sfap.
Conclusion : Si cette évaluation des pratiques professionnelles a entraîné une remise en question importante dans nos services sur la traçabilité de la démarche palliative et des soins effectués, nous nous sommes interrogés également sur la pertinence de la grille CNAMTS–Sfap dans certaines situations que nous avons détaillées.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031028 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Discussion précoce autour de la fin de vie : le point de vue des hématologues, étude qualitative / Chloé Prod’homme in Médecine palliative, vol.16 n°3 (juin 2017)
[article] Discussion précoce autour de la fin de vie : le point de vue des hématologues, étude qualitative [revue] / Chloé Prod’homme, Auteur ; Dominique Jacquemin (1959-....), Auteur ; Marcel Louis Viallard, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.131-142.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.131-142
Mots-clés : directive anticipée
entretien
hématologie
soins palliatifsRésumé :
Objectif : Avoir eu une discussion précoce sur les souhaits du malade en fin de vie est associé à une amélioration de la prise en charge palliative des patients atteints de cancer. Pourtant, les professionnels de santé investissent très peu les directives anticipées. L’objectif principal de l’étude était de comprendre ce qui facilite ou limite une discussion autour de la fin de vie lors de la rechute d’une hémopathie maligne agressive, d’après les oncohématologues. L’objectif secondaire était d’en explorer les conséquences sur l’ouverture aux soins palliatifs en hématologie.
Méthodologie : Cet article présente les résultats de dix entretiens semi-directifs individuels d’hématologues cliniciens francophones. L’analyse du verbatim a été effectuée selon une méthode de catégorisation par thématiques, issue de la théorie ancrée.
Résultats : Lors de la rechute, la possibilité d’une discussion autour de la fin de vie était limitée par la crainte de la perte de l’alliance thérapeutique. Les hématologues avaient du mal à s’ouvrir à la subjectivité du patient et à se positionner vis-à-vis de son cheminement dans un contexte thérapeutique. L’anticipation d’un pronostic péjoratif n’était pas exploitée en situation d’incertitude. Une communication centrée sur l’espoir était préférée à l’approche de la question de la mort, perçue comme une menace.
Conclusion : La prise en compte de la subjectivité des cliniciens et la complexité de la mise en place de discussions autour de la fin de vie nécessitent de reconsidérer la place et le rôle des directives anticipées, des récits de vie et de l’importance du tiers dans l’articulation précoce entre soins palliatifs et hématologie.[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.131-142
Titre : Discussion précoce autour de la fin de vie : le point de vue des hématologues, étude qualitative Type de document : revue Auteurs : Chloé Prod’homme, Auteur ; Dominique Jacquemin (1959-....), Auteur ; Marcel Louis Viallard, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.131-142 Langues : Français Mots-clés : directive anticipée
entretien
hématologie
soins palliatifsRésumé :
Objectif : Avoir eu une discussion précoce sur les souhaits du malade en fin de vie est associé à une amélioration de la prise en charge palliative des patients atteints de cancer. Pourtant, les professionnels de santé investissent très peu les directives anticipées. L’objectif principal de l’étude était de comprendre ce qui facilite ou limite une discussion autour de la fin de vie lors de la rechute d’une hémopathie maligne agressive, d’après les oncohématologues. L’objectif secondaire était d’en explorer les conséquences sur l’ouverture aux soins palliatifs en hématologie.
Méthodologie : Cet article présente les résultats de dix entretiens semi-directifs individuels d’hématologues cliniciens francophones. L’analyse du verbatim a été effectuée selon une méthode de catégorisation par thématiques, issue de la théorie ancrée.
Résultats : Lors de la rechute, la possibilité d’une discussion autour de la fin de vie était limitée par la crainte de la perte de l’alliance thérapeutique. Les hématologues avaient du mal à s’ouvrir à la subjectivité du patient et à se positionner vis-à-vis de son cheminement dans un contexte thérapeutique. L’anticipation d’un pronostic péjoratif n’était pas exploitée en situation d’incertitude. Une communication centrée sur l’espoir était préférée à l’approche de la question de la mort, perçue comme une menace.
Conclusion : La prise en compte de la subjectivité des cliniciens et la complexité de la mise en place de discussions autour de la fin de vie nécessitent de reconsidérer la place et le rôle des directives anticipées, des récits de vie et de l’importance du tiers dans l’articulation précoce entre soins palliatifs et hématologie.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031028 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Quelle place pour les soins palliatifs dans l’évolution des troubles de la conduite alimentaire ? / Richard Lauvin in Médecine palliative, vol.16 n°3 (juin 2017)
[article] Quelle place pour les soins palliatifs dans l’évolution des troubles de la conduite alimentaire ? [revue] / Richard Lauvin, Auteur ; Maïna Guibert, Auteur ; Géraldine Hervé, Auteur . - 2017 . - p.143-151.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.143-151
Mots-clés : anosognosie
soins palliatifs
TCA trouble du comportement alimentaireRésumé : Exerçant dans une unité de douze lits recevant des patientes anorexiques et boulimiques en hospitalisation complète de longue durée, nous avons été sollicités par des collègues intervenant en unités de soins palliatifs pour traiter de la question de la place éventuelle des soins palliatifs au cours de l’évolution des troubles graves de la conduite alimentaire, dans le cadre d’une rencontre organisée par leur coordination régionale. La richesse des débats qui se sont tenus, nous ont conduits à écrire ce texte qui développe successivement les réflexions du médecin, de la psychologue et de l’infirmière sur ce sujet. Une conclusion commune aux trois points de vue permet d’argumenter que le refus de la nourriture par le patient ne doit pas être considéré par le soignant comme un refus de vivre, et donc comme un refus de ses soins. Ceux-ci doivent alors être repensés et proposés dans une approche individuelle et réconfortante, qui puisse permettre au patient de sortir de cette ambivalence, sans toutefois prendre le risque d’y entraîner le soignant. [article]
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.143-151
Titre : Quelle place pour les soins palliatifs dans l’évolution des troubles de la conduite alimentaire ? Type de document : revue Auteurs : Richard Lauvin, Auteur ; Maïna Guibert, Auteur ; Géraldine Hervé, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.143-151 Langues : Français Mots-clés : anosognosie
soins palliatifs
TCA trouble du comportement alimentaireRésumé : Exerçant dans une unité de douze lits recevant des patientes anorexiques et boulimiques en hospitalisation complète de longue durée, nous avons été sollicités par des collègues intervenant en unités de soins palliatifs pour traiter de la question de la place éventuelle des soins palliatifs au cours de l’évolution des troubles graves de la conduite alimentaire, dans le cadre d’une rencontre organisée par leur coordination régionale. La richesse des débats qui se sont tenus, nous ont conduits à écrire ce texte qui développe successivement les réflexions du médecin, de la psychologue et de l’infirmière sur ce sujet. Une conclusion commune aux trois points de vue permet d’argumenter que le refus de la nourriture par le patient ne doit pas être considéré par le soignant comme un refus de vivre, et donc comme un refus de ses soins. Ceux-ci doivent alors être repensés et proposés dans une approche individuelle et réconfortante, qui puisse permettre au patient de sortir de cette ambivalence, sans toutefois prendre le risque d’y entraîner le soignant. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031028 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Appréhender l’incertitude en gériatrie et médecine palliative du sujet âgé : genèse du modèle FRAG / Sophie Taurand in Médecine palliative, vol.16 n°3 (juin 2017)
[article] Appréhender l’incertitude en gériatrie et médecine palliative du sujet âgé : genèse du modèle FRAG [revue] / Sophie Taurand, Auteur ; Marine Loustau, Auteur ; Christian Batchy, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.152-160.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.152-160
Mots-clés : décision
fin de vie
incertitude
soins palliatifs
sujet âgéRésumé : Les malades âgés, dont le nombre est augmentation constante, sont exposés au double risque d’acharnement et d’abandon thérapeutique. Leur complexité est liée à la multiplicité des pathologies qu’ils présentent, à l’évolution prolongée, aux troubles cognitifs et aux nombreuses intrications somatiques, psychologiques et sociales. Dans un tel contexte, il est souvent difficile de discerner la meilleure ou la moins mauvaise option thérapeutique. Réduire l’incertitude est donc un enjeu important en gériatrie et en médecine palliative du sujet âgé. Il importe de disposer de repères simples, utiles en pratique quotidienne, pouvant guider nos choix de façon pertinente. Nous présentons ici la réflexion ayant abouti à la genèse du modèle FRAG.
[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.152-160
Titre : Appréhender l’incertitude en gériatrie et médecine palliative du sujet âgé : genèse du modèle FRAG Type de document : revue Auteurs : Sophie Taurand, Auteur ; Marine Loustau, Auteur ; Christian Batchy, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.152-160 Langues : Français Mots-clés : décision
fin de vie
incertitude
soins palliatifs
sujet âgéRésumé : Les malades âgés, dont le nombre est augmentation constante, sont exposés au double risque d’acharnement et d’abandon thérapeutique. Leur complexité est liée à la multiplicité des pathologies qu’ils présentent, à l’évolution prolongée, aux troubles cognitifs et aux nombreuses intrications somatiques, psychologiques et sociales. Dans un tel contexte, il est souvent difficile de discerner la meilleure ou la moins mauvaise option thérapeutique. Réduire l’incertitude est donc un enjeu important en gériatrie et en médecine palliative du sujet âgé. Il importe de disposer de repères simples, utiles en pratique quotidienne, pouvant guider nos choix de façon pertinente. Nous présentons ici la réflexion ayant abouti à la genèse du modèle FRAG.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031028 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Indicateurs d’activité clinique en soins palliatifs : expérience d’une équipe ressource de soins palliatifs pédiatriques / Clémence Bouffay in Médecine palliative, vol.16 n°3 (juin 2017)
[article] Indicateurs d’activité clinique en soins palliatifs : expérience d’une équipe ressource de soins palliatifs pédiatriques [revue] / Clémence Bouffay, Auteur ; Audrey Rollin, Auteur ; Anna Marcault, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.161-168.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.161-168
Mots-clés : ERRSPP équipe régionale ressource de soins palliatifs
indicateur
pédiatrie
rapport
soins palliatifsRésumé :
Contexte : Les équipes ressources régionales de soins palliatifs pédiatriques, comme toute équipe mobile, doivent rendre un rapport d’activité annuel incluant des indicateurs souvent imposés par les tutelles. Notre équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques s’est posé la question de la pertinence de la « file active » comme indicateur de l’activité clinique. En effet, à partir de quand un patient est-il inclus (premier appel ? Première rencontre ?). Quand est-ce qu’un patient sort de la file active ?
Méthodologie : Toutes les situations rencontrées par notre équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques entre 2011 et 2012 ont été revues, analysées, puis classées.
Résultats : Quatre niveaux d’intervention ont été identifiés. Le premier niveau consiste à répondre aux questionnements des professionnels : gestion d’un symptôme, interrogations éthiques, etc. À ce niveau, l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques ne rencontre ni l’enfant, ni sa famille. Il s’agit souvent d’interventions ponctuelles, de renseignements téléphoniques ou au décours de rencontres entre équipes. Le deuxième niveau correspond à l’intervention en collaboration avec une équipe référente. L’enfant et la famille sont rencontrés. L’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques assure un accompagnement des professionnels et de la famille autour des questions d’anticipation, d’aggravations, de réflexion de limitations de certaines thérapeutiques. L’équipe hospitalière reste l’équipe référente. Le troisième niveau implique l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques dans une collaboration avec l’équipe référente mais devient progressivement elle-même référente dans la prise en charge. Il s’agit des prises en charge à domicile. Elle coordonne souvent les intervenants et accompagne les familles dans l’élaboration d’un projet de vie autour de l’enfant. Elle accompagne les parents dans leur cheminement et soutient les décisions de non-réanimation ou de limitation de traitements prises en amont, en collaboration avec les équipes traitantes. L’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques est appelée en premier en cas de difficultés. Enfin le quatrième niveau correspond aux situations pour lesquelles l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques est la seule équipe à intervenir. Il s’agit des situations comme le suivi de deuil en l’absence d’une autre possibilité de suivi.
Conclusion : Réfléchir en niveaux d’intervention plus qu’en file active permet d’identifier plus finement l’implication des équipes et reflète d’avantage l’activité de l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques dans les différentes prises en charge. Les quatre niveaux identifiés ont été pensés dans un souci de clarification de la place et de la posture de chacun dans ces prises en charge. Penser en niveau d’implication est à la fois plus ajusté à la réalité, mais aussi plus innovant et surtout structurant. Les niveaux d’intervention ne sont pour autant pas figés et l’objectif demeure l’appropriation, par les équipes traitantes, de la démarche palliative pédiatrique. Cet outil d’évaluation de l’activité clinique trouve un intérêt au sein des équipes ressources régionales de soins palliatifs pédiatriques. Son utilisation pourrait-elle être pertinente pour les réseaux ou les équipes mobiles de soins palliatifs adultes ?[article]
in Médecine palliative > vol.16 n°3 (juin 2017) . - p.161-168
Titre : Indicateurs d’activité clinique en soins palliatifs : expérience d’une équipe ressource de soins palliatifs pédiatriques Type de document : revue Auteurs : Clémence Bouffay, Auteur ; Audrey Rollin, Auteur ; Anna Marcault, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.161-168 Langues : Français Mots-clés : ERRSPP équipe régionale ressource de soins palliatifs
indicateur
pédiatrie
rapport
soins palliatifsRésumé :
Contexte : Les équipes ressources régionales de soins palliatifs pédiatriques, comme toute équipe mobile, doivent rendre un rapport d’activité annuel incluant des indicateurs souvent imposés par les tutelles. Notre équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques s’est posé la question de la pertinence de la « file active » comme indicateur de l’activité clinique. En effet, à partir de quand un patient est-il inclus (premier appel ? Première rencontre ?). Quand est-ce qu’un patient sort de la file active ?
Méthodologie : Toutes les situations rencontrées par notre équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques entre 2011 et 2012 ont été revues, analysées, puis classées.
Résultats : Quatre niveaux d’intervention ont été identifiés. Le premier niveau consiste à répondre aux questionnements des professionnels : gestion d’un symptôme, interrogations éthiques, etc. À ce niveau, l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques ne rencontre ni l’enfant, ni sa famille. Il s’agit souvent d’interventions ponctuelles, de renseignements téléphoniques ou au décours de rencontres entre équipes. Le deuxième niveau correspond à l’intervention en collaboration avec une équipe référente. L’enfant et la famille sont rencontrés. L’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques assure un accompagnement des professionnels et de la famille autour des questions d’anticipation, d’aggravations, de réflexion de limitations de certaines thérapeutiques. L’équipe hospitalière reste l’équipe référente. Le troisième niveau implique l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques dans une collaboration avec l’équipe référente mais devient progressivement elle-même référente dans la prise en charge. Il s’agit des prises en charge à domicile. Elle coordonne souvent les intervenants et accompagne les familles dans l’élaboration d’un projet de vie autour de l’enfant. Elle accompagne les parents dans leur cheminement et soutient les décisions de non-réanimation ou de limitation de traitements prises en amont, en collaboration avec les équipes traitantes. L’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques est appelée en premier en cas de difficultés. Enfin le quatrième niveau correspond aux situations pour lesquelles l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques est la seule équipe à intervenir. Il s’agit des situations comme le suivi de deuil en l’absence d’une autre possibilité de suivi.
Conclusion : Réfléchir en niveaux d’intervention plus qu’en file active permet d’identifier plus finement l’implication des équipes et reflète d’avantage l’activité de l’équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques dans les différentes prises en charge. Les quatre niveaux identifiés ont été pensés dans un souci de clarification de la place et de la posture de chacun dans ces prises en charge. Penser en niveau d’implication est à la fois plus ajusté à la réalité, mais aussi plus innovant et surtout structurant. Les niveaux d’intervention ne sont pour autant pas figés et l’objectif demeure l’appropriation, par les équipes traitantes, de la démarche palliative pédiatrique. Cet outil d’évaluation de l’activité clinique trouve un intérêt au sein des équipes ressources régionales de soins palliatifs pédiatriques. Son utilisation pourrait-elle être pertinente pour les réseaux ou les équipes mobiles de soins palliatifs adultes ?Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031028 rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00031028 | rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact