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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.30 n°2Mention de date : mai 2017Paru le : 01/05/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierPlace des difficultés rencontrées lors de la mise au sein dans l’initiation et la durée d’allaitement maternel en Belgique francophone, 2015 / E. Robert in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.30 n°2 (mai 2017)
[article] Place des difficultés rencontrées lors de la mise au sein dans l’initiation et la durée d’allaitement maternel en Belgique francophone, 2015 [revue] / E. Robert, Auteur ; B. Swennen, Auteur ; M. Dramaix, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.47-55.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.47-55
Mots-clés : allaitement maternel
Belgique
étude
IHAB initiative hôpital ami des bébés
prévalenceRésumé :
État actuel et objectifs : L’allaitement maternel exclusif (AME) est recommandé pour une durée de 6 mois. La Belgique a des taux d’allaitement parmi les plus bas d’Europe. L’objectif de l’étude est de fournir les prévalences d’allaitement maternel (AM) à la maternité, mesurer les durées de l’AME et décrire les déterminants de ces pratiques en Belgique francophone (Wallonie).
Méthodes : Une enquête transversale et représentative des enfants de 18 à 24 mois a été réalisée en Wallonie en 2015 (n=562). Les facteurs associés à l’AME à la maternité ont été identifiés par analyse bivariée, puis par régression logistique. Les âges médians d’arrêt de l’AME ont été dérivés des courbes de survie de Kaplan-Meier. Un modèle de Cox a servi à identifier les facteurs associés à l’arrêt de l’AME.
Résultats : La prévalence de l’AME à la maternité était de 68,6 % (64,7–72,4) et la durée médiane de 3,0 mois (0,03–9). À 3 et 6 mois, 45,8 % (41,1–50,5 %) et 11,5 % (8,9–14,2) des enfants étaient allaités exclusivement. L’attitude du conjoint était le facteur le plus fortement associé à l’AME à la maternité. Les durées inférieures de l’AME étaient associées avec, notamment, l’existence de difficultés lors de la mise en place de l’AM et l’attitude peu soutenante du conjoint.
Conclusions : Les difficultés de mise en route de l’AM impactent les taux et la durée de l’AME. Or, une grande partie des futures mères ignorent l’existence de douleurs liées à l’initiation de l’AM. L’information précoce des mères et une prise en charge adéquate par les prestataires de soins permettraient de meilleurs taux d’AM.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.47-55
Titre : Place des difficultés rencontrées lors de la mise au sein dans l’initiation et la durée d’allaitement maternel en Belgique francophone, 2015 Type de document : revue Auteurs : E. Robert, Auteur ; B. Swennen, Auteur ; M. Dramaix, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.47-55 Langues : Français Mots-clés : allaitement maternel
Belgique
étude
IHAB initiative hôpital ami des bébés
prévalenceRésumé :
État actuel et objectifs : L’allaitement maternel exclusif (AME) est recommandé pour une durée de 6 mois. La Belgique a des taux d’allaitement parmi les plus bas d’Europe. L’objectif de l’étude est de fournir les prévalences d’allaitement maternel (AM) à la maternité, mesurer les durées de l’AME et décrire les déterminants de ces pratiques en Belgique francophone (Wallonie).
Méthodes : Une enquête transversale et représentative des enfants de 18 à 24 mois a été réalisée en Wallonie en 2015 (n=562). Les facteurs associés à l’AME à la maternité ont été identifiés par analyse bivariée, puis par régression logistique. Les âges médians d’arrêt de l’AME ont été dérivés des courbes de survie de Kaplan-Meier. Un modèle de Cox a servi à identifier les facteurs associés à l’arrêt de l’AME.
Résultats : La prévalence de l’AME à la maternité était de 68,6 % (64,7–72,4) et la durée médiane de 3,0 mois (0,03–9). À 3 et 6 mois, 45,8 % (41,1–50,5 %) et 11,5 % (8,9–14,2) des enfants étaient allaités exclusivement. L’attitude du conjoint était le facteur le plus fortement associé à l’AME à la maternité. Les durées inférieures de l’AME étaient associées avec, notamment, l’existence de difficultés lors de la mise en place de l’AM et l’attitude peu soutenante du conjoint.
Conclusions : Les difficultés de mise en route de l’AM impactent les taux et la durée de l’AME. Or, une grande partie des futures mères ignorent l’existence de douleurs liées à l’initiation de l’AM. L’information précoce des mères et une prise en charge adéquate par les prestataires de soins permettraient de meilleurs taux d’AM.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030932 Rev Revue Centre de documentation Archive Exclu du prêt Incidence des diarrhées à rotavirus chez les enfants de 0 à 5 ans hospitalisés à Ouagadougou (Burkina Faso) / A. Kaboré in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.30 n°2 (mai 2017)
[article] Incidence des diarrhées à rotavirus chez les enfants de 0 à 5 ans hospitalisés à Ouagadougou (Burkina Faso) [revue] / A. Kaboré, Auteur ; A. Zagré, Auteur ; M. Kam, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.56-62.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.56-62
Mots-clés : Burkina Faso
diarrhée
enfant
rotavirusRésumé :
Contexte : Après l’introduction du vaccin contre les rotavirus (Rotateq®) au Burkina Faso, le centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles de Gaulle (CHUP-CDG) et quatre autres sites ont été choisis comme sites sentinelles de surveillance des diarrhées à rotavirus.
Objectif : Déterminer l’incidence des cas de diarrhées à rotavirus au CHUP-CDG avant l’introduction du vaccin à l’échelle du pays.
Patients et méthodes : Étude prospective descriptive et analytique du 1er décembre 2013 au 30 avril 2014. La population d’étude était composée d’enfants de 0 à 5 ans hospitalisés pour diarrhée aiguë. Après un examen clinique complet, la recherche virale dans les selles a été faite par immuno-chromatographie au laboratoire. Les données ont été analysées avec les logiciels Epi Info version 3.5.1.
Résultats : Au total, 332 enfants ont été hospitalisés pour diarrhée aiguë dont 213 (64,2 %) cas de rotavirus. Les enfants de 1 à 11 mois représentaient 64,2 % de l’effectif. Sur le plan clinique, 19,2 % des enfants avaient reçu le vaccin contre le rotavirus. Une déshydratation (sévère ou modérée) a été notifiée chez 41,8 % des enfants de même que l’hyperthermie (80,8 %) et les vomissements (92 %). Après une analyse multivariée, on notait que l’absence de vaccination (p=0,002) ; l’alimentation au plat familial (p=0,02) ; les vomissements (p<0,001) et la guérison (p=0,007) étaient les facteurs associés à la diarrhée.
Conclusion : Après l’introduction du vaccin Rotateq® au Burkina Faso, une étude prospective pourrait être menée afin d’évaluer son efficacité à l’échelle nationale.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.56-62
Titre : Incidence des diarrhées à rotavirus chez les enfants de 0 à 5 ans hospitalisés à Ouagadougou (Burkina Faso) Type de document : revue Auteurs : A. Kaboré, Auteur ; A. Zagré, Auteur ; M. Kam, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.56-62 Langues : Français Mots-clés : Burkina Faso
diarrhée
enfant
rotavirusRésumé :
Contexte : Après l’introduction du vaccin contre les rotavirus (Rotateq®) au Burkina Faso, le centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles de Gaulle (CHUP-CDG) et quatre autres sites ont été choisis comme sites sentinelles de surveillance des diarrhées à rotavirus.
Objectif : Déterminer l’incidence des cas de diarrhées à rotavirus au CHUP-CDG avant l’introduction du vaccin à l’échelle du pays.
Patients et méthodes : Étude prospective descriptive et analytique du 1er décembre 2013 au 30 avril 2014. La population d’étude était composée d’enfants de 0 à 5 ans hospitalisés pour diarrhée aiguë. Après un examen clinique complet, la recherche virale dans les selles a été faite par immuno-chromatographie au laboratoire. Les données ont été analysées avec les logiciels Epi Info version 3.5.1.
Résultats : Au total, 332 enfants ont été hospitalisés pour diarrhée aiguë dont 213 (64,2 %) cas de rotavirus. Les enfants de 1 à 11 mois représentaient 64,2 % de l’effectif. Sur le plan clinique, 19,2 % des enfants avaient reçu le vaccin contre le rotavirus. Une déshydratation (sévère ou modérée) a été notifiée chez 41,8 % des enfants de même que l’hyperthermie (80,8 %) et les vomissements (92 %). Après une analyse multivariée, on notait que l’absence de vaccination (p=0,002) ; l’alimentation au plat familial (p=0,02) ; les vomissements (p<0,001) et la guérison (p=0,007) étaient les facteurs associés à la diarrhée.
Conclusion : Après l’introduction du vaccin Rotateq® au Burkina Faso, une étude prospective pourrait être menée afin d’évaluer son efficacité à l’échelle nationale.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030932 Rev Revue Centre de documentation Archive Exclu du prêt Un cas de syndrome de Silverman au CHU de Brazzaville / E.-R. Nika in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.30 n°2 (mai 2017)
[article] Un cas de syndrome de Silverman au CHU de Brazzaville [revue] / E.-R. Nika, Auteur ; J.-R. Mabiala Babela, Auteur ; C. Mboutol-Mandavo, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.63-66.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.63-66
Mots-clés : ostéogénèse imparfaite
RDC république démocratique du Congo
syndrome de Silverman[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.63-66
Titre : Un cas de syndrome de Silverman au CHU de Brazzaville Type de document : revue Auteurs : E.-R. Nika, Auteur ; J.-R. Mabiala Babela, Auteur ; C. Mboutol-Mandavo, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.63-66 Langues : Français Mots-clés : ostéogénèse imparfaite
RDC république démocratique du Congo
syndrome de SilvermanExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030932 Rev Revue Centre de documentation Archive Exclu du prêt Conduite pratique devant une anomalie de la croissance / N. Bouhours-Nouet in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.30 n°2 (mai 2017)
[article] Conduite pratique devant une anomalie de la croissance [revue] / N. Bouhours-Nouet, Auteur ; A. Donzeau, Auteur ; R. Coutant, Auteur . - 2017 . - p.67-97.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.67-97
Mots-clés : croissance
EUGR retard de croissance extra-utérin
hormone de croissance
puberté
retard
symdrome de TurnerRésumé : Les courbes de croissance staturopondérale et de corpulence sont les éléments essentiels pour statuer sur une éventuelle anomalie de la croissance. La croissance d’un enfant à un âge donné est dite « anormale » si elle se situe au-delà de +2 déviations standard (DS) ou en deçà de −2DS. Elle mérite également exploration en cas d’accélération ou de ralentissement excessif de la vitesse de croissance conduisant à un changement de couloir. Enfin, la notion de couloir génétique de croissance est essentielle. La petite taille est le plus souvent (>70 % des cas) de type constitutionnel (d’hérédité polygénique). La pathologie endocrinienne représente moins de 10 % des étiologies. Le déficit en hormone de croissance peut être secondaire à une lésion (tumeur) ou à une irradiation de la région hypothalamohypophysaire, être d’origine génétique (anomalie monogénique ou syndrome), malformative (interruption de tige pituitaire avec posthypophyse ectopique, rarement de cause monogénique) ou être idiopathique (imagerie par résonance magnétique [IRM] hypothalamohypophysaire normale). Pour ce dernier, le diagnostic est difficile et souvent fait par excès. Il faut systématiquement évoquer le syndrome de Turner chez la fille et réaliser un caryotype, même en l’absence d’élément dysmorphique évocateur. Le retard de croissance intra-utérin est la cause de 10 % des petites tailles, mais il nécessite une démarche diagnostique étiologique, à la recherche d’une maladie ayant perturbé la croissance dès la période anténatale. Dans un contexte familial, la réalisation systématique de radiographies de squelette permet d’identifier des anomalies osseuses constitutionnelles caractéristiques de dyschondrostéose ou d’hypochondroplasie. La fréquence des anomalies osseuses dans les retards staturaux est mal précisée, mais on peut l’estimer à près de 5 % des cas. Le retard pubertaire est responsable d’un retard à l’accélération de la vitesse de croissance staturale. Cela explique que le motif de consultation soit souvent la petite taille. Chez le garçon, il s’agit d’un retard pubertaire simple dans plus de 80 %. Chez la fille, il est plus souvent d’origine organique. La grande taille, constitutionnelle dans plus de 90 % des cas, est un motif beaucoup plus rare de consultation. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.30 n°2 (mai 2017) . - p.67-97
Titre : Conduite pratique devant une anomalie de la croissance Type de document : revue Auteurs : N. Bouhours-Nouet, Auteur ; A. Donzeau, Auteur ; R. Coutant, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.67-97 Langues : Français Mots-clés : croissance
EUGR retard de croissance extra-utérin
hormone de croissance
puberté
retard
symdrome de TurnerRésumé : Les courbes de croissance staturopondérale et de corpulence sont les éléments essentiels pour statuer sur une éventuelle anomalie de la croissance. La croissance d’un enfant à un âge donné est dite « anormale » si elle se situe au-delà de +2 déviations standard (DS) ou en deçà de −2DS. Elle mérite également exploration en cas d’accélération ou de ralentissement excessif de la vitesse de croissance conduisant à un changement de couloir. Enfin, la notion de couloir génétique de croissance est essentielle. La petite taille est le plus souvent (>70 % des cas) de type constitutionnel (d’hérédité polygénique). La pathologie endocrinienne représente moins de 10 % des étiologies. Le déficit en hormone de croissance peut être secondaire à une lésion (tumeur) ou à une irradiation de la région hypothalamohypophysaire, être d’origine génétique (anomalie monogénique ou syndrome), malformative (interruption de tige pituitaire avec posthypophyse ectopique, rarement de cause monogénique) ou être idiopathique (imagerie par résonance magnétique [IRM] hypothalamohypophysaire normale). Pour ce dernier, le diagnostic est difficile et souvent fait par excès. Il faut systématiquement évoquer le syndrome de Turner chez la fille et réaliser un caryotype, même en l’absence d’élément dysmorphique évocateur. Le retard de croissance intra-utérin est la cause de 10 % des petites tailles, mais il nécessite une démarche diagnostique étiologique, à la recherche d’une maladie ayant perturbé la croissance dès la période anténatale. Dans un contexte familial, la réalisation systématique de radiographies de squelette permet d’identifier des anomalies osseuses constitutionnelles caractéristiques de dyschondrostéose ou d’hypochondroplasie. La fréquence des anomalies osseuses dans les retards staturaux est mal précisée, mais on peut l’estimer à près de 5 % des cas. Le retard pubertaire est responsable d’un retard à l’accélération de la vitesse de croissance staturale. Cela explique que le motif de consultation soit souvent la petite taille. Chez le garçon, il s’agit d’un retard pubertaire simple dans plus de 80 %. Chez la fille, il est plus souvent d’origine organique. La grande taille, constitutionnelle dans plus de 90 % des cas, est un motif beaucoup plus rare de consultation. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030932 Rev Revue Centre de documentation Archive Exclu du prêt
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