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journal de pédiatrie et de puériculture . vol.29 n°6Mention de date : décembre 2016Paru le : 01/12/2016 |
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Ajouter le résultat dans votre panierLa maladie coeliaque du nourrisson et de l’enfant au CHU de Marrakech / Karima El Fakiri in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°6 (décembre 2016)
[article] La maladie coeliaque du nourrisson et de l’enfant au CHU de Marrakech [revue] / Karima El Fakiri, Auteur ; A. Bourahouateb, Auteur ; A. Hadib, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.289–294.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.289–294
Mots-clés : anticorps
enfant
gluten
maladie coeliaque
nourrissonRésumé : Introduction : La maladie cœliaque est une entéropathie auto-immune avec une atrophie villositaire due à une intolérance au gluten chez des sujets génétiquement prédisposés.
Objectif : Rapporter notre expérience dans la maladie cœliaque du nourrisson et de l’enfant.
Patients et méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective portant sur 220 patients cœliaques colligés dans le service de pédiatrie B du CHU Mohamed VI entre janvier 2005 et décembre 2012.
Résultats : La moyenne d’âge des patients a été de 5 ans et 8 mois avec un pic de fréquence à 4 ans et une prédominance féminine à 57 %. La symptomatologie s’est exprimée en moyenne 4 mois après l’introduction du gluten chez 75 % des cas. Le retard staturopondéral a été noté chez 71 % des patients et la diarrhée chronique chez 57 %. Elle a été associée au diabète dans 3 cas. Une anémie a été constatée chez 91,5 % des patients, une hypocholestérolémie chez 97 % et une hypoprotidémie chez 34 %. Le dosage des anticorps antitransglutaminases a été effectué chez 94 patients (42,7 %) et a été positif chez 84 cas (89 %). L’atrophie villositaire totale a été présente chez 60 % des cas. Le traitement par le régime sans gluten a été instauré chez tous les enfants avec une évolution spectaculaire. L’épreuve de rechute a été réalisée chez la moitié des patients. Nous avions 3 décès par trouble de rythme secondaire à une hypokaliémie dans un tableau de dénutrition sévère.
Conclusion : Cette étude montre la prédominance des formes classiques de la maladie cœliaque avec une dénutrition sévère secondaire à un retard diagnostique.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.289–294
Titre : La maladie coeliaque du nourrisson et de l’enfant au CHU de Marrakech Type de document : revue Auteurs : Karima El Fakiri, Auteur ; A. Bourahouateb, Auteur ; A. Hadib, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.289–294 Langues : Français Mots-clés : anticorps
enfant
gluten
maladie coeliaque
nourrissonRésumé : Introduction : La maladie cœliaque est une entéropathie auto-immune avec une atrophie villositaire due à une intolérance au gluten chez des sujets génétiquement prédisposés.
Objectif : Rapporter notre expérience dans la maladie cœliaque du nourrisson et de l’enfant.
Patients et méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective portant sur 220 patients cœliaques colligés dans le service de pédiatrie B du CHU Mohamed VI entre janvier 2005 et décembre 2012.
Résultats : La moyenne d’âge des patients a été de 5 ans et 8 mois avec un pic de fréquence à 4 ans et une prédominance féminine à 57 %. La symptomatologie s’est exprimée en moyenne 4 mois après l’introduction du gluten chez 75 % des cas. Le retard staturopondéral a été noté chez 71 % des patients et la diarrhée chronique chez 57 %. Elle a été associée au diabète dans 3 cas. Une anémie a été constatée chez 91,5 % des patients, une hypocholestérolémie chez 97 % et une hypoprotidémie chez 34 %. Le dosage des anticorps antitransglutaminases a été effectué chez 94 patients (42,7 %) et a été positif chez 84 cas (89 %). L’atrophie villositaire totale a été présente chez 60 % des cas. Le traitement par le régime sans gluten a été instauré chez tous les enfants avec une évolution spectaculaire. L’épreuve de rechute a été réalisée chez la moitié des patients. Nous avions 3 décès par trouble de rythme secondaire à une hypokaliémie dans un tableau de dénutrition sévère.
Conclusion : Cette étude montre la prédominance des formes classiques de la maladie cœliaque avec une dénutrition sévère secondaire à un retard diagnostique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029877 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Asphyxie périnatale au centre hospitalier et universitaire de Brazzaville / A.R. Okoko in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°6 (décembre 2016)
[article] Asphyxie périnatale au centre hospitalier et universitaire de Brazzaville [revue] / A.R. Okoko, Auteur ; G. Ekouya Bowassa, Auteur ; E. Moyen, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.295–300.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.295–300
Mots-clés : asphyxie néonatale
Brazzaville
encéphalopathie
nouveau né
RDC république démocratique du CongoRésumé : L’asphyxie périnatale demeure un problème de santé publique. Le but de l’étude était de déterminer son incidence, d’identifier les facteurs étiologiques et d’apprécier son évolution. Une étude descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et juin 2015 dans le service de néonatologie du centre hospitalier et universitaire de Brazzaville. Le diagnostic de l’asphyxie périnatale a été retenu devant l’existence d’un événement obstétrical, un score d’Apgar inférieur à 7 à la cinquième minute et la présence de signes neurologiques. Sur 1437 nouveau-nés hospitalisés, 224 l’étaient pour une asphyxie périnatale, soit 15,6 %. Les mères étaient âgées de 20 à 29 ans (n = 98 [43,7 %]) et de 30 et 39 ans (n = 73 [32,6 %]). Cent quatre-vingt et une mères (80,8 %) ont réalisé au moins 4 consultations prénatales. L’accouchement a eu lieu dans un centre de santé (n = 221 [8,7 %]). L’événement obstétrical prédominant était une dystocie (n = 206 [92 %]), une éclampsie (n = 17 [7,1 %]). Le liquide amniotique était méconial dans tous les cas. Le score d’Apgar à la cinquième minute était inférieur ou égal à 3 (n = 91 [40,6 %]) et entre 4 et 6 (n = 133 [59,4 %]). Les nouveau-nés étaient au grade I de Sarnat : n = 36 (16 %), grade II : n = 139 (62 %) et grade III : n = 49 (22 %). Les symptômes prédominants étaient : les anomalies des réflexes archaïques 190 cas, l’hypotonie 185 cas et la gêne respiratoire 165 cas. L’évolution s’est faite vers un décès (n = 68 [30,4 %]). La sévérité de l’asphyxie périnatale nécessite que soient améliorées la qualité du suivi de la grossesse et la prise en charge de l’accouchement. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.295–300
Titre : Asphyxie périnatale au centre hospitalier et universitaire de Brazzaville Type de document : revue Auteurs : A.R. Okoko, Auteur ; G. Ekouya Bowassa, Auteur ; E. Moyen, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.295–300 Langues : Français Mots-clés : asphyxie néonatale
Brazzaville
encéphalopathie
nouveau né
RDC république démocratique du CongoRésumé : L’asphyxie périnatale demeure un problème de santé publique. Le but de l’étude était de déterminer son incidence, d’identifier les facteurs étiologiques et d’apprécier son évolution. Une étude descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et juin 2015 dans le service de néonatologie du centre hospitalier et universitaire de Brazzaville. Le diagnostic de l’asphyxie périnatale a été retenu devant l’existence d’un événement obstétrical, un score d’Apgar inférieur à 7 à la cinquième minute et la présence de signes neurologiques. Sur 1437 nouveau-nés hospitalisés, 224 l’étaient pour une asphyxie périnatale, soit 15,6 %. Les mères étaient âgées de 20 à 29 ans (n = 98 [43,7 %]) et de 30 et 39 ans (n = 73 [32,6 %]). Cent quatre-vingt et une mères (80,8 %) ont réalisé au moins 4 consultations prénatales. L’accouchement a eu lieu dans un centre de santé (n = 221 [8,7 %]). L’événement obstétrical prédominant était une dystocie (n = 206 [92 %]), une éclampsie (n = 17 [7,1 %]). Le liquide amniotique était méconial dans tous les cas. Le score d’Apgar à la cinquième minute était inférieur ou égal à 3 (n = 91 [40,6 %]) et entre 4 et 6 (n = 133 [59,4 %]). Les nouveau-nés étaient au grade I de Sarnat : n = 36 (16 %), grade II : n = 139 (62 %) et grade III : n = 49 (22 %). Les symptômes prédominants étaient : les anomalies des réflexes archaïques 190 cas, l’hypotonie 185 cas et la gêne respiratoire 165 cas. L’évolution s’est faite vers un décès (n = 68 [30,4 %]). La sévérité de l’asphyxie périnatale nécessite que soient améliorées la qualité du suivi de la grossesse et la prise en charge de l’accouchement. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029877 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’allaitement maternel protégé par une trithérapie antirétrovirale comme stratégie de prévention de la transmission mère-enfant du VIH : l’expérience du Centre hospitalier national d’enfants Albert-Royer de Dakar / N. R. Diagne-Guèye in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°6 (décembre 2016)
[article] L’allaitement maternel protégé par une trithérapie antirétrovirale comme stratégie de prévention de la transmission mère-enfant du VIH : l’expérience du Centre hospitalier national d’enfants Albert-Royer de Dakar [revue] / N. R. Diagne-Guèye, Auteur ; L.A. Whestb, Auteur ; M. Guèyec, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.301–303.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.301–303
Mots-clés : allaitement maternel
grossesse
relation parent-enfant
transmission
trithérapie
VIH virus d'immunodéficience humaineRésumé : L’allaitement maternel protégé par une trithérapie antirétrovirale comme stratégie de prévention de la transmission mère-enfant du VIH : l’expérience du Centre hospitalier National d’Enfants Albert Royer de Dakar. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.301–303
Titre : L’allaitement maternel protégé par une trithérapie antirétrovirale comme stratégie de prévention de la transmission mère-enfant du VIH : l’expérience du Centre hospitalier national d’enfants Albert-Royer de Dakar Type de document : revue Auteurs : N. R. Diagne-Guèye, Auteur ; L.A. Whestb, Auteur ; M. Guèyec, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.301–303 Langues : Français Mots-clés : allaitement maternel
grossesse
relation parent-enfant
transmission
trithérapie
VIH virus d'immunodéficience humaineRésumé : L’allaitement maternel protégé par une trithérapie antirétrovirale comme stratégie de prévention de la transmission mère-enfant du VIH : l’expérience du Centre hospitalier National d’Enfants Albert Royer de Dakar. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029877 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Paludisme grave de l’enfant au Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville / A.R. Okoko in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°6 (décembre 2016)
[article] Paludisme grave de l’enfant au Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville [revue] / A.R. Okoko, Auteur ; S.M. Angouma Oya, Auteur ; E. Moyen, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.304-309.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.304-309
Mots-clés : Brazzaville
décès
enfant
paludismeRésumé : Le paludisme grave, problème majeur de santé publique en Afrique a été étudié dans le but de préciser sa fréquence, d’identifier les formes cliniques et les signes prédictifs de la mortalité. Une étude transversale, descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et août 2015 dans les services de pédiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville. Les enfants de 3 mois à 15 ans qui avaient une goutte épaisse positive pour le Plasmodium falciparum associé à au moins un des critères de gravité de l’OMS ont été inclus. Sur 4762 enfants hospitalisés, 382 l’étaient pour un paludisme grave. Il s’agissait de 232 garçons (60,7 %) et de 150 filles (39,3 %), âgés en moyenne de 5,5 ans. Ils avaient moins de 5 ans n = 174 (45,6 %). Les critères de gravité les plus observés étaient l’anémie n = 235 (61,5 %), les convulsions répétées n = 104 (27,2 %), le coma n = 70 (18,3 %), l’hémoglobinurie n = 67 (17,5 %), la prostration n = 66 (17,2 %) et les troubles de la conscience n = 59 (15,4 %). Les formes cliniques étaient isolées n = 217 (56,8 %) et associées n = 165 (43,2 %), dominées par les formes anémiques et neurologiques. L’évolution était favorable pour 357 enfants (93,5 %), elle s’est faite vers un décès pour 25 enfants (6,5 %). Les signes prédictifs du décès étaient les convulsions répétées, le coma, la détresse respiratoire, l’hépatomégalie, l’hypoglycémie et la thrombopénie. La fréquence élevée et la sévérité du paludisme grave incitent fortement l’usage de la moustiquaire imprégnée, l’assainissement du milieu, le traitement correct du paludisme simple et la prise en charge correcte des cas de paludisme grave. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.304-309
Titre : Paludisme grave de l’enfant au Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville Type de document : revue Auteurs : A.R. Okoko, Auteur ; S.M. Angouma Oya, Auteur ; E. Moyen, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.304-309 Langues : Français Mots-clés : Brazzaville
décès
enfant
paludismeRésumé : Le paludisme grave, problème majeur de santé publique en Afrique a été étudié dans le but de préciser sa fréquence, d’identifier les formes cliniques et les signes prédictifs de la mortalité. Une étude transversale, descriptive et analytique a été réalisée entre janvier et août 2015 dans les services de pédiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville. Les enfants de 3 mois à 15 ans qui avaient une goutte épaisse positive pour le Plasmodium falciparum associé à au moins un des critères de gravité de l’OMS ont été inclus. Sur 4762 enfants hospitalisés, 382 l’étaient pour un paludisme grave. Il s’agissait de 232 garçons (60,7 %) et de 150 filles (39,3 %), âgés en moyenne de 5,5 ans. Ils avaient moins de 5 ans n = 174 (45,6 %). Les critères de gravité les plus observés étaient l’anémie n = 235 (61,5 %), les convulsions répétées n = 104 (27,2 %), le coma n = 70 (18,3 %), l’hémoglobinurie n = 67 (17,5 %), la prostration n = 66 (17,2 %) et les troubles de la conscience n = 59 (15,4 %). Les formes cliniques étaient isolées n = 217 (56,8 %) et associées n = 165 (43,2 %), dominées par les formes anémiques et neurologiques. L’évolution était favorable pour 357 enfants (93,5 %), elle s’est faite vers un décès pour 25 enfants (6,5 %). Les signes prédictifs du décès étaient les convulsions répétées, le coma, la détresse respiratoire, l’hépatomégalie, l’hypoglycémie et la thrombopénie. La fréquence élevée et la sévérité du paludisme grave incitent fortement l’usage de la moustiquaire imprégnée, l’assainissement du milieu, le traitement correct du paludisme simple et la prise en charge correcte des cas de paludisme grave. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029877 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Pied bot varus équin et autres malformations congénitales des pieds / Alice Fassier in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°6 (décembre 2016)
[article] Pied bot varus équin et autres malformations congénitales des pieds [revue] / Alice Fassier, Auteur . - 2016 . - p.310-323.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.310-323
Mots-clés : agénésie
brachydactylie
clinodactylie
pied bot varus équin
polydactylie
syndactylieRésumé : Les malformations congénitales des pieds de l’enfant sont des déformations peu ou pas réductibles à la naissance. Elles sont à distinguer des malpositions qui, elles, sont des déformations bien réductibles par mobilisations et stimulations motrices, comme le métatarsus adductus ou le pied calcanéus. Ces dernières sont d’origine positionnelle et représentent un motif fréquent d’inquiétude parentale. Elles nécessitent peu ou pas de traitement, car leur évolution est le plus souvent spontanément favorable. Les malformations se distinguent par une anomalie de développement fœtale précoce, une réductibilité incomplète à la naissance et la nécessité de traitement, afin d’assurer la possibilité d’un chaussage confortable et indolore. La plus fréquente des malformations est le pied bot varus équin, dont la prise en charge orthopédique commence dans la première semaine de vie. Le traitement chirurgical est de plus en plus rare et différé. Les autres malformations visibles à la naissance, touchant l’arrière- et le médio-pied sont beaucoup plus rares et comprennent le pied convexe et le pied serpentin. La prise en charge est initialement orthopédique, mais nécessite souvent un geste chirurgical à l’âge de la marche. Les malformations des orteils comprennent les syndactylies (défaut de segmentation), les clinodactylies (désaxation des orteils), les brachydactylies (défaut de longueur d’un rayon), les agénésies ou ectromélies (absence d’un ou plusieurs rayons), les polydactylies (excès de nombre des orteils), les macrodactylies (excès de volume des orteils). Ces malformations peuvent être combinées dans différents syndromes et justifient d’un traitement chirurgical ultérieur si le chaussage est gêné. Le pédiatre a besoin de savoir reconnaître ces différentes malformations, lui permettant ainsi d’orienter l’enfant, de manière adéquate, vers un chirurgien orthopédique pédiatrique qui débutera un traitement, dans un délai dépendant du type d’anomalie. [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°6 (décembre 2016) . - p.310-323
Titre : Pied bot varus équin et autres malformations congénitales des pieds Type de document : revue Auteurs : Alice Fassier, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.310-323 Langues : Français Mots-clés : agénésie
brachydactylie
clinodactylie
pied bot varus équin
polydactylie
syndactylieRésumé : Les malformations congénitales des pieds de l’enfant sont des déformations peu ou pas réductibles à la naissance. Elles sont à distinguer des malpositions qui, elles, sont des déformations bien réductibles par mobilisations et stimulations motrices, comme le métatarsus adductus ou le pied calcanéus. Ces dernières sont d’origine positionnelle et représentent un motif fréquent d’inquiétude parentale. Elles nécessitent peu ou pas de traitement, car leur évolution est le plus souvent spontanément favorable. Les malformations se distinguent par une anomalie de développement fœtale précoce, une réductibilité incomplète à la naissance et la nécessité de traitement, afin d’assurer la possibilité d’un chaussage confortable et indolore. La plus fréquente des malformations est le pied bot varus équin, dont la prise en charge orthopédique commence dans la première semaine de vie. Le traitement chirurgical est de plus en plus rare et différé. Les autres malformations visibles à la naissance, touchant l’arrière- et le médio-pied sont beaucoup plus rares et comprennent le pied convexe et le pied serpentin. La prise en charge est initialement orthopédique, mais nécessite souvent un geste chirurgical à l’âge de la marche. Les malformations des orteils comprennent les syndactylies (défaut de segmentation), les clinodactylies (désaxation des orteils), les brachydactylies (défaut de longueur d’un rayon), les agénésies ou ectromélies (absence d’un ou plusieurs rayons), les polydactylies (excès de nombre des orteils), les macrodactylies (excès de volume des orteils). Ces malformations peuvent être combinées dans différents syndromes et justifient d’un traitement chirurgical ultérieur si le chaussage est gêné. Le pédiatre a besoin de savoir reconnaître ces différentes malformations, lui permettant ainsi d’orienter l’enfant, de manière adéquate, vers un chirurgien orthopédique pédiatrique qui débutera un traitement, dans un délai dépendant du type d’anomalie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029877 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
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00029877 | Rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
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