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Médecine palliative . vol.15 n°6Mention de date : décembre 2016Paru le : 01/12/2016 |
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Ajouter le résultat dans votre panierL’art de faire dans de la dentelle : des soins palliatifs en périnatalogie / Marie Friedel in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] L’art de faire dans de la dentelle : des soins palliatifs en périnatalogie [revue] / Marie Friedel, Auteur . - 2016 . - p.307-308.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.307-308
Mots-clés : Belgique
colloque
interdisciplinarité
médecine palliative
périnatalogie[article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.307-308
Titre : L’art de faire dans de la dentelle : des soins palliatifs en périnatalogie Type de document : revue Auteurs : Marie Friedel, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.307-308 Langues : Français Mots-clés : Belgique
colloque
interdisciplinarité
médecine palliative
périnatalogieExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Anticipation et incertitude dans les situations où des malformations à fort potentiel létal sont diagnostiquées avant la naissance : l’enjeu des soins palliatifs / Pierre Bétrémieux in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Anticipation et incertitude dans les situations où des malformations à fort potentiel létal sont diagnostiquées avant la naissance : l’enjeu des soins palliatifs [revue] / Pierre Bétrémieux, Auteur ; Marie-Luce Huillery, Auteur . - 2016 . - p.309-313.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.309-313
Mots-clés : diagnostic prénatal
IMG interruption médicale de grossesse
prénatal
pronostic
soins palliatifsRésumé : Lorsqu’une malformation fœtale grave est diagnostiquée in utero, la femme peut choisir l’interruption médicale de grossesse ou bien continuer à vivre la grossesse, avec l’espoir de rencontrer l’enfant vivant et l’accompagner dans sa vie en soins palliatifs. Les équipes formées aux soins palliatifs en période périnatale peuvent répondre d’une manière adaptée aux demandes concernant la malformation, le déroulement de la grossesse, l’accouchement, la douleur éventuelle que ressentirait ce bébé, sa durée de vie et les soins qui lui seront prodigués. La pratique médicale nous entraîne à éliminer l’incertitude diagnostique ; quand tous les examens complémentaires ont été réalisés conduisant à porter un pronostic défavorable sur un fœtus ou un nouveau-né, ouvrant ainsi le champ de la démarche palliative, il reste une frange d’incertitude incompressible qui induit souvent une culpabilité chez les équipes soignantes. Mais l’anticipation n’a pas vocation à évacuer complètement les zones d’ombre. Au contraire, l’incertitude fait le lit de l’espoir qui permet au couple de vivre. Les médecins doivent apprendre à l’intégrer positivement dans leur pratique. Il est nécessaire qu’un lien étroit entre les professionnels et les parents se tisse dans le cheminement décisionnel, puis dans l’accueil du nouveau-né. Lorsque parents et professionnels ont pu parcourir ce chemin ensemble et que l’enfant a pu être accueilli, il est probable que la santé psychique de la famille est préservée. Chacun – famille et professionnels – pourra faire son deuil et s’en remettre. [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.309-313
Titre : Anticipation et incertitude dans les situations où des malformations à fort potentiel létal sont diagnostiquées avant la naissance : l’enjeu des soins palliatifs Type de document : revue Auteurs : Pierre Bétrémieux, Auteur ; Marie-Luce Huillery, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.309-313 Langues : Français Mots-clés : diagnostic prénatal
IMG interruption médicale de grossesse
prénatal
pronostic
soins palliatifsRésumé : Lorsqu’une malformation fœtale grave est diagnostiquée in utero, la femme peut choisir l’interruption médicale de grossesse ou bien continuer à vivre la grossesse, avec l’espoir de rencontrer l’enfant vivant et l’accompagner dans sa vie en soins palliatifs. Les équipes formées aux soins palliatifs en période périnatale peuvent répondre d’une manière adaptée aux demandes concernant la malformation, le déroulement de la grossesse, l’accouchement, la douleur éventuelle que ressentirait ce bébé, sa durée de vie et les soins qui lui seront prodigués. La pratique médicale nous entraîne à éliminer l’incertitude diagnostique ; quand tous les examens complémentaires ont été réalisés conduisant à porter un pronostic défavorable sur un fœtus ou un nouveau-né, ouvrant ainsi le champ de la démarche palliative, il reste une frange d’incertitude incompressible qui induit souvent une culpabilité chez les équipes soignantes. Mais l’anticipation n’a pas vocation à évacuer complètement les zones d’ombre. Au contraire, l’incertitude fait le lit de l’espoir qui permet au couple de vivre. Les médecins doivent apprendre à l’intégrer positivement dans leur pratique. Il est nécessaire qu’un lien étroit entre les professionnels et les parents se tisse dans le cheminement décisionnel, puis dans l’accueil du nouveau-né. Lorsque parents et professionnels ont pu parcourir ce chemin ensemble et que l’enfant a pu être accueilli, il est probable que la santé psychique de la famille est préservée. Chacun – famille et professionnels – pourra faire son deuil et s’en remettre. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Development of a palliative approach in neonatology / Marcel Louis Viallard in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Development of a palliative approach in neonatology = Développer une démarche palliative en néonatalogie [revue] / Marcel Louis Viallard, Auteur ; Céline Greco, Auteur ; Romy Blanchet, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.314-319.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.314-319
Mots-clés : décision médicale partagée
éthique
LAT limitation ou arrêt de traitement
nouveau né
pédiatrieRésumé : Contexte : Les situations de fin de vie en néonatalogie posent de nombreux dilemmes éthiques. La fin de vie relève d’une démarche palliative.
Problématique : Aborder la question des traitements déraisonnables, futiles ou non appropriés, celle de l’arrêt de vie dans le cadre de complications multiples pour lesquelles toutes les possibilités de la médecine ont été mobilisées sans obtenir un soulagement de symptômes ressentis comme intolérables. Les questions du sens du prendre soin comme celle des tensions éthiques émergeant de ces situations sont analysées.
Discussion : Dans ces situations, il semble nécessaire de préciser si le plan de soins et traitement décliné en pratique clinique permettra de maintenir une vie à court, moyen ou long terme ou si cette vie ne peut s’exprimer plus longtemps par absence de possibilité physiologique avec une mort survenant rapidement. Si la vie est possible physiologiquement on peut parler d’un projet de vie et d’un plan adapté de soins. En cas contraire, parler d’un projet de vie est source d’ambiguïté.
Conclusion : Il paraît nécessaire, au-delà des principes ou positions morales de penser pragmatiquement, ce qui est mis en place socialement et matériellement pour que cette vie ne puisse pas être seulement temps de vie potentiellement au détriment d’autres vies. Les décisions se doivent d’être prises après une ou plusieurs réunions de concertation pluriexpertises. Les arguments mobilisés lors de la prise de décision doivent être colligés dans le dossier du nouveau-né par le médecin qui la prend en responsabilité.Note de contenu : La version française de cet article est disponible en ligne (voir annexe). [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.314-319
Titre : Development of a palliative approach in neonatology Titre original : Développer une démarche palliative en néonatalogie Type de document : revue Auteurs : Marcel Louis Viallard, Auteur ; Céline Greco, Auteur ; Romy Blanchet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.314-319 Langues : Français Mots-clés : décision médicale partagée
éthique
LAT limitation ou arrêt de traitement
nouveau né
pédiatrieRésumé : Contexte : Les situations de fin de vie en néonatalogie posent de nombreux dilemmes éthiques. La fin de vie relève d’une démarche palliative.
Problématique : Aborder la question des traitements déraisonnables, futiles ou non appropriés, celle de l’arrêt de vie dans le cadre de complications multiples pour lesquelles toutes les possibilités de la médecine ont été mobilisées sans obtenir un soulagement de symptômes ressentis comme intolérables. Les questions du sens du prendre soin comme celle des tensions éthiques émergeant de ces situations sont analysées.
Discussion : Dans ces situations, il semble nécessaire de préciser si le plan de soins et traitement décliné en pratique clinique permettra de maintenir une vie à court, moyen ou long terme ou si cette vie ne peut s’exprimer plus longtemps par absence de possibilité physiologique avec une mort survenant rapidement. Si la vie est possible physiologiquement on peut parler d’un projet de vie et d’un plan adapté de soins. En cas contraire, parler d’un projet de vie est source d’ambiguïté.
Conclusion : Il paraît nécessaire, au-delà des principes ou positions morales de penser pragmatiquement, ce qui est mis en place socialement et matériellement pour que cette vie ne puisse pas être seulement temps de vie potentiellement au détriment d’autres vies. Les décisions se doivent d’être prises après une ou plusieurs réunions de concertation pluriexpertises. Les arguments mobilisés lors de la prise de décision doivent être colligés dans le dossier du nouveau-né par le médecin qui la prend en responsabilité.Note de contenu : La version française de cet article est disponible en ligne (voir annexe). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Du diagnostic anténatal à la néonatologie, le choix des soins palliatifs : une lecture à deux voix / Anne-Britt Johansson in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Du diagnostic anténatal à la néonatologie, le choix des soins palliatifs : une lecture à deux voix [revue] / Anne-Britt Johansson, Auteur ; Marie-José Durieux, Auteur . - 2016 . - p.320-324.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.320-324
Mots-clés : anticipation
diagnostic
IMG interruption médicale de grossesse
périnatalité
projet de vie
soins palliatifsRésumé : La découverte d’une anomalie fœtale incurable engendre un traumatisme psychologique important chez les parents. Dans ce contexte particulier, l’enjeu de la médecine périnatale actuelle, multidisciplinaire est de favoriser le tissage de vrais liens de parentalité. Les soins palliatifs périnataux à l’inverse du lourd et difficile choix d’interrompre la grossesse pour motif médical, s’inscrivent eux dans un projet de vie même si elle est très brève, en soutenant cette parentalité. Instaurer en période anténatale un projet de soins palliatifs contribue à accepter le pronostic, à soutenir les parents dans leurs rôles à part entière et aide à partager entre soignants et parents la responsabilité du choix décisionnel et à prendre soin du nouveau-né, de son confort et de sa famille. Mais le chemin du diagnostic anténatal à la mise en place de ces soins palliatifs en néonatologie peut être parsemé d’embûches : incohérence de discours entre les équipes interdisciplinaires, entre celles de la prise en charge anté- et postnatal, incertitude diagnostique et pronostique, fragilité de l’alliance avec les parents, choix des mots, non-dits, projection des équipes soignantes, non-respect d’une temporalité nécessaire à tous les intervenants… Nous proposons d’étayer notre propos et d’envisager des solutions. [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.320-324
Titre : Du diagnostic anténatal à la néonatologie, le choix des soins palliatifs : une lecture à deux voix Type de document : revue Auteurs : Anne-Britt Johansson, Auteur ; Marie-José Durieux, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.320-324 Langues : Français Mots-clés : anticipation
diagnostic
IMG interruption médicale de grossesse
périnatalité
projet de vie
soins palliatifsRésumé : La découverte d’une anomalie fœtale incurable engendre un traumatisme psychologique important chez les parents. Dans ce contexte particulier, l’enjeu de la médecine périnatale actuelle, multidisciplinaire est de favoriser le tissage de vrais liens de parentalité. Les soins palliatifs périnataux à l’inverse du lourd et difficile choix d’interrompre la grossesse pour motif médical, s’inscrivent eux dans un projet de vie même si elle est très brève, en soutenant cette parentalité. Instaurer en période anténatale un projet de soins palliatifs contribue à accepter le pronostic, à soutenir les parents dans leurs rôles à part entière et aide à partager entre soignants et parents la responsabilité du choix décisionnel et à prendre soin du nouveau-né, de son confort et de sa famille. Mais le chemin du diagnostic anténatal à la mise en place de ces soins palliatifs en néonatologie peut être parsemé d’embûches : incohérence de discours entre les équipes interdisciplinaires, entre celles de la prise en charge anté- et postnatal, incertitude diagnostique et pronostique, fragilité de l’alliance avec les parents, choix des mots, non-dits, projection des équipes soignantes, non-respect d’une temporalité nécessaire à tous les intervenants… Nous proposons d’étayer notre propos et d’envisager des solutions. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Un regard sur l’accompagnement de fin de vie en néonatalogie intensive / Anne-Sophie De Burlet in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Un regard sur l’accompagnement de fin de vie en néonatalogie intensive [revue] / Anne-Sophie De Burlet, Auteur . - 2016 . - p.325-328.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.325-328
Mots-clés : fin de vie
médecine palliative
néonatalité
prématuré
réanimationRésumé : Partant de son expérience personnelle d’une dizaine d’années, en qualité d’infirmière pédiatrique au sein du service de néonatalogie intensive des cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, l’auteur du présent article a conçu le projet de mettre sur pied un groupe de travail visant à réfléchir, voire à remettre en question les pratiques infirmières de prise en charge des situations de fin de vie des grands prématurés. Cette réflexion, basée sur l’expérience des intervenants, a permis de développer des outils mieux adaptés aux besoins et aux attentes de l’enfant en fin de vie et de ses proches. Grâce à l’implication de toute l’équipe soignante, cette réflexion a débouché sur la mise en place d’un projet thérapeutique qui est désormais appliqué de façon systématique. [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.325-328
Titre : Un regard sur l’accompagnement de fin de vie en néonatalogie intensive Type de document : revue Auteurs : Anne-Sophie De Burlet, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.325-328 Langues : Français Mots-clés : fin de vie
médecine palliative
néonatalité
prématuré
réanimationRésumé : Partant de son expérience personnelle d’une dizaine d’années, en qualité d’infirmière pédiatrique au sein du service de néonatalogie intensive des cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, l’auteur du présent article a conçu le projet de mettre sur pied un groupe de travail visant à réfléchir, voire à remettre en question les pratiques infirmières de prise en charge des situations de fin de vie des grands prématurés. Cette réflexion, basée sur l’expérience des intervenants, a permis de développer des outils mieux adaptés aux besoins et aux attentes de l’enfant en fin de vie et de ses proches. Grâce à l’implication de toute l’équipe soignante, cette réflexion a débouché sur la mise en place d’un projet thérapeutique qui est désormais appliqué de façon systématique. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Quelques réflexions autour d’une clinique du lien / Marie Kirsch in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Quelques réflexions autour d’une clinique du lien [revue] / Marie Kirsch, Auteur . - 2016 . - p.329-331.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.329-331
Mots-clés : diagnostic prénatal
IMG interruption médicale de grossesse
lien
périnatalité
psychologie
soins palliatifsRésumé : Les parents, confrontés à la fin de vie de leur bébé avant ou juste après sa naissance, traversent une épreuve particulièrement violente. Si leur entourage peut souvent les soutenir avec toute l’humanité nécessaire, il ne prend pas forcément la mesure du poids de la perte de cet enfant, auquel les parents sont déjà intimement liés, même sans une longue histoire partagée. Chaque professionnel de périnatalité peut, de sa place, chercher comment utiliser sa compétence pour contribuer à sécuriser ces parents, tant d’un point de vue émotionnel que médical. Le travail en équipe, celui qui permet d’éviter les cloisonnements et de s’appuyer sur les ressources de chacun, amène parfois les parents à vivre une expérience humaine enrichissante, malgré l’indicible et l’impensable de la situation. [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.329-331
Titre : Quelques réflexions autour d’une clinique du lien Type de document : revue Auteurs : Marie Kirsch, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.329-331 Langues : Français Mots-clés : diagnostic prénatal
IMG interruption médicale de grossesse
lien
périnatalité
psychologie
soins palliatifsRésumé : Les parents, confrontés à la fin de vie de leur bébé avant ou juste après sa naissance, traversent une épreuve particulièrement violente. Si leur entourage peut souvent les soutenir avec toute l’humanité nécessaire, il ne prend pas forcément la mesure du poids de la perte de cet enfant, auquel les parents sont déjà intimement liés, même sans une longue histoire partagée. Chaque professionnel de périnatalité peut, de sa place, chercher comment utiliser sa compétence pour contribuer à sécuriser ces parents, tant d’un point de vue émotionnel que médical. Le travail en équipe, celui qui permet d’éviter les cloisonnements et de s’appuyer sur les ressources de chacun, amène parfois les parents à vivre une expérience humaine enrichissante, malgré l’indicible et l’impensable de la situation. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Début et fin de vie à la limite de la viabilité : questions éthiques / Jean-Paul Langhendries in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Début et fin de vie à la limite de la viabilité : questions éthiques [revue] / Jean-Paul Langhendries, Auteur . - 2016 . - p.332-335.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.332-335
Mots-clés : éthique
euthanasie
fin de vie
néonatalogie
soins palliatifs
viabilitéRésumé : Le néonatologue est régulièrement confronté à la prise en charge d’enfants nés à la limite de la viabilité. Les parents sont impliqués dans la prise de décision. Entre 24 et 26 semaines de gestation, on parle d’une « zone grise » où la problématique éthique de la réanimation intensive se pose. L’auteur présente les problématiques éthiques et les différentes approches proposées par les néonatologues. L’auteur pose aussi la question de l’arrêt de vie lorsque les souffrances du nouveau-né sont extrêmes, sans espoir et intolérables. [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.332-335
Titre : Début et fin de vie à la limite de la viabilité : questions éthiques Type de document : revue Auteurs : Jean-Paul Langhendries, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.332-335 Langues : Français Mots-clés : éthique
euthanasie
fin de vie
néonatalogie
soins palliatifs
viabilitéRésumé : Le néonatologue est régulièrement confronté à la prise en charge d’enfants nés à la limite de la viabilité. Les parents sont impliqués dans la prise de décision. Entre 24 et 26 semaines de gestation, on parle d’une « zone grise » où la problématique éthique de la réanimation intensive se pose. L’auteur présente les problématiques éthiques et les différentes approches proposées par les néonatologues. L’auteur pose aussi la question de l’arrêt de vie lorsque les souffrances du nouveau-né sont extrêmes, sans espoir et intolérables. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Sédation en situation palliative et place de l’opioïde dans les unités de soins palliatives françaises en 2012 / Julie Pouget in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Sédation en situation palliative et place de l’opioïde dans les unités de soins palliatives françaises en 2012 [revue] / Julie Pouget, Auteur ; Camille Morlière, Auteur ; Camille Saussac, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.336-346.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.336-346
Mots-clés : midazolam
opioïde
sédation
soins palliatifs
USP unité de soins palliatifsRésumé : Objectifs : Les débats sur l’utilisation de la sédation en situation palliative alimentent, depuis les années 1990, la réflexion des équipes des structures spécifiques de soins palliatifs. Depuis 2009, la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) en France et l’European Association for Palliative Care (EAPC) en Europe ont élaboré des recommandations de bonnes pratiques qui donnent le cadre de la réalisation de la sédation en situation palliative avancée ou terminale pour symptômes réfractaires et/ou complications à risque vital immédiat. La molécule de choix reconnue pour induire cette sédation est le midazolam. Cependant, certaines équipes évoquent la possibilité d’utiliser et/ou d’associer d’autres molécules et notamment un opioïde dans certaines situations cliniques.
Matériels et méthodes : Une étude descriptive par questionnaire a été réalisée auprès des médecins des 118 unités de soins palliatifs de France en 2012, interrogeant les pratiques de sédation et la place potentielle d’un opioïde dans la sédation en situation palliative.
Résultats : Le taux de réponse au questionnaire a été de 45 % : 53 médecins ont participé pour 49 unités de soins palliatifs. Tous les répondeurs pratiquaient des sédations en situation palliative ; 25 répondeurs pratiquaient des sédations en utilisant le midazolam seul, 12 répondeurs ne pratiquaient de sédations qu’en associant un opioïde au midazolam et 16 répondeurs réalisaient des sédations utilisant les deux pratiques. La douleur réfractaire et la dyspnée semblaient être plus fréquemment retenues comme indication de l’association avec un opioïde. Le midazolam seul semblait être significativement associé aux sédations palliatives contre l’hémorragie massive cataclysmique et l’agitation/confusion. Par ailleurs, la surveillance par l’échelle de Rudkin était très majoritaire.
Conclusion : Devant ces résultats, il est nécessaire de réaliser des études complémentaires afin d’affiner la place potentielle de l’opioïde dans la réalisation de la sédation.[article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.336-346
Titre : Sédation en situation palliative et place de l’opioïde dans les unités de soins palliatives françaises en 2012 Type de document : revue Auteurs : Julie Pouget, Auteur ; Camille Morlière, Auteur ; Camille Saussac, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.336-346 Langues : Français Mots-clés : midazolam
opioïde
sédation
soins palliatifs
USP unité de soins palliatifsRésumé : Objectifs : Les débats sur l’utilisation de la sédation en situation palliative alimentent, depuis les années 1990, la réflexion des équipes des structures spécifiques de soins palliatifs. Depuis 2009, la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) en France et l’European Association for Palliative Care (EAPC) en Europe ont élaboré des recommandations de bonnes pratiques qui donnent le cadre de la réalisation de la sédation en situation palliative avancée ou terminale pour symptômes réfractaires et/ou complications à risque vital immédiat. La molécule de choix reconnue pour induire cette sédation est le midazolam. Cependant, certaines équipes évoquent la possibilité d’utiliser et/ou d’associer d’autres molécules et notamment un opioïde dans certaines situations cliniques.
Matériels et méthodes : Une étude descriptive par questionnaire a été réalisée auprès des médecins des 118 unités de soins palliatifs de France en 2012, interrogeant les pratiques de sédation et la place potentielle d’un opioïde dans la sédation en situation palliative.
Résultats : Le taux de réponse au questionnaire a été de 45 % : 53 médecins ont participé pour 49 unités de soins palliatifs. Tous les répondeurs pratiquaient des sédations en situation palliative ; 25 répondeurs pratiquaient des sédations en utilisant le midazolam seul, 12 répondeurs ne pratiquaient de sédations qu’en associant un opioïde au midazolam et 16 répondeurs réalisaient des sédations utilisant les deux pratiques. La douleur réfractaire et la dyspnée semblaient être plus fréquemment retenues comme indication de l’association avec un opioïde. Le midazolam seul semblait être significativement associé aux sédations palliatives contre l’hémorragie massive cataclysmique et l’agitation/confusion. Par ailleurs, la surveillance par l’échelle de Rudkin était très majoritaire.
Conclusion : Devant ces résultats, il est nécessaire de réaliser des études complémentaires afin d’affiner la place potentielle de l’opioïde dans la réalisation de la sédation.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Sédater ou ne pas sédater ? / Caroline Jestin in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Sédater ou ne pas sédater ? [revue] / Caroline Jestin, Auteur ; Dany Veys, Auteur ; Juliette Simon, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.347-353.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.347-353
Mots-clés : douleur
fin de vie
qualité de vie
sédation
soins palliatifs
souffranceRésumé : La sédation transitoire ou continue en fin de vie reste au cœur des débats politiques, économiques et sociétaux. Ce terme de sédation est employé en anesthésie, nous utilisons le même en fin de vie…, étrange tout de même ! Dans le milieu professionnel, nous nous apercevons que ce terme de sédation semble parfois difficile à utiliser, nous pouvons imaginer l’impact qu’il peut avoir sur des personnes non soignantes. Des histoires de vie qui se sont passées en unité de soins palliatifs sont ici décrites dans leur quotidien, chacune ayant sa spécificité. Dans certains cas, la sédation transitoire pour réaliser des soins était nécessaire dans le but d’assurer le meilleur confort possible au patient. Dans d’autres cas, la sédation continue en fin de vie était la seule solution envisageable pour calmer des douleurs réfractaires là où les autres traitements avaient échoué. Enfin, dans certaines situations, la sédation n’a pas été nécessaire. Vous, dans ces situations qu’auriez-vous fait ? Quel est votre ressenti face à la sédation ? Parle-t-on toujours de sédation ou bien utilise-t-on d’autres qualificatifs pour en fin de compte, arriver au même résultat ? De nombreuses questions autour d’un terme dont on parle beaucoup dans les médias, qui interpelle et qui peut faire peur car il évoque en chacun de nous une mort prochaine. La réflexion éthique reste au cœur de notre métier de soignant où le choix pris pour un patient nous semble être au plus juste de ce qu’il est, de ses attentes, de ses souffrances et du moment. La prudence et l’humilité sont au cœur de nos pratiques à une période de la vie des patients où il est important de penser à la qualité de vie et non plus à la quantité de vie. [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.347-353
Titre : Sédater ou ne pas sédater ? Type de document : revue Auteurs : Caroline Jestin, Auteur ; Dany Veys, Auteur ; Juliette Simon, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.347-353 Langues : Français Mots-clés : douleur
fin de vie
qualité de vie
sédation
soins palliatifs
souffranceRésumé : La sédation transitoire ou continue en fin de vie reste au cœur des débats politiques, économiques et sociétaux. Ce terme de sédation est employé en anesthésie, nous utilisons le même en fin de vie…, étrange tout de même ! Dans le milieu professionnel, nous nous apercevons que ce terme de sédation semble parfois difficile à utiliser, nous pouvons imaginer l’impact qu’il peut avoir sur des personnes non soignantes. Des histoires de vie qui se sont passées en unité de soins palliatifs sont ici décrites dans leur quotidien, chacune ayant sa spécificité. Dans certains cas, la sédation transitoire pour réaliser des soins était nécessaire dans le but d’assurer le meilleur confort possible au patient. Dans d’autres cas, la sédation continue en fin de vie était la seule solution envisageable pour calmer des douleurs réfractaires là où les autres traitements avaient échoué. Enfin, dans certaines situations, la sédation n’a pas été nécessaire. Vous, dans ces situations qu’auriez-vous fait ? Quel est votre ressenti face à la sédation ? Parle-t-on toujours de sédation ou bien utilise-t-on d’autres qualificatifs pour en fin de compte, arriver au même résultat ? De nombreuses questions autour d’un terme dont on parle beaucoup dans les médias, qui interpelle et qui peut faire peur car il évoque en chacun de nous une mort prochaine. La réflexion éthique reste au cœur de notre métier de soignant où le choix pris pour un patient nous semble être au plus juste de ce qu’il est, de ses attentes, de ses souffrances et du moment. La prudence et l’humilité sont au cœur de nos pratiques à une période de la vie des patients où il est important de penser à la qualité de vie et non plus à la quantité de vie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Utilisation de l’humour par les soignants : un lien avec la confrontation à la mort ? / Dorothée Duquesnoy in Médecine palliative, vol.15 n°6 (décembre 2016)
[article] Utilisation de l’humour par les soignants : un lien avec la confrontation à la mort ? [revue] / Dorothée Duquesnoy, Auteur ; Nicolas Gillet, Auteur ; Irène Léger, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.354-361.
Langues : Français
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.354-361
Mots-clés : équipe soignante
humour
soins palliatifsRésumé : Si la place de l’humour a été largement étudiée dans la relation soignant–soigné, nous n’avons pas retrouvé d’études sur la place de l’humour dans la relation entre soignants. Notre étude a porté sur la fréquence et le type d’humour, mesuré à partir d’une version française de l’Humor Style Questionnaire, en fonction des services et des professions. Nous avons également essayé de répondre à la question suivante : avoir choisi de travailler dans le service et être formé aux soins palliatifs influent-ils sur l’humour ? Nous avons interrogé trois professions (les infirmiers, les aides-soignants et les agents de service hospitalier) et avons comparé trois lieux d’exercice : les unités de soins palliatifs, les services de chirurgie et les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Notre échantillon a regroupé un total de 342 soignants. Nous n’avons pas mis en évidence de lien significatif entre le type d’humour et les lieux de travail, les professions ou les choix de service. En revanche, notre enquête montre un lien entre la présence d’humour et le lieu de travail (moins fréquent en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ainsi que la profession (plus fréquent chez les infirmières que chez les agents de service hospitalier). Le type d’humour diffère également selon la profession et la formation en soins palliatifs (plus d’humour social-affiliatif chez les personnes formées aux soins palliatifs). [article]
in Médecine palliative > vol.15 n°6 (décembre 2016) . - p.354-361
Titre : Utilisation de l’humour par les soignants : un lien avec la confrontation à la mort ? Type de document : revue Auteurs : Dorothée Duquesnoy, Auteur ; Nicolas Gillet, Auteur ; Irène Léger, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.354-361 Langues : Français Mots-clés : équipe soignante
humour
soins palliatifsRésumé : Si la place de l’humour a été largement étudiée dans la relation soignant–soigné, nous n’avons pas retrouvé d’études sur la place de l’humour dans la relation entre soignants. Notre étude a porté sur la fréquence et le type d’humour, mesuré à partir d’une version française de l’Humor Style Questionnaire, en fonction des services et des professions. Nous avons également essayé de répondre à la question suivante : avoir choisi de travailler dans le service et être formé aux soins palliatifs influent-ils sur l’humour ? Nous avons interrogé trois professions (les infirmiers, les aides-soignants et les agents de service hospitalier) et avons comparé trois lieux d’exercice : les unités de soins palliatifs, les services de chirurgie et les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Notre échantillon a regroupé un total de 342 soignants. Nous n’avons pas mis en évidence de lien significatif entre le type d’humour et les lieux de travail, les professions ou les choix de service. En revanche, notre enquête montre un lien entre la présence d’humour et le lieu de travail (moins fréquent en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ainsi que la profession (plus fréquent chez les infirmières que chez les agents de service hospitalier). Le type d’humour diffère également selon la profession et la formation en soins palliatifs (plus d’humour social-affiliatif chez les personnes formées aux soins palliatifs). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029823 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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