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Sages-femmes . vol.15 n°5Mention de date : novembre 2016Paru le : 01/11/2016 |
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Ajouter le résultat dans votre panierAccouchement dans l’eau : quelles sont les conséquences maternelles et fœtales d’un accouchement dans l’eau chez des patientes présentant un faible risque obstétrical comparé aux accouchements sur terre avec ou sans analgésie péridurale ? / Julien Anselmi in Sages-femmes, vol.15 n°5 (novembre 2016)
[article] Accouchement dans l’eau : quelles sont les conséquences maternelles et fœtales d’un accouchement dans l’eau chez des patientes présentant un faible risque obstétrical comparé aux accouchements sur terre avec ou sans analgésie péridurale ? [revue] / Julien Anselmi, Auteur . - 2016 . - p.219-227.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.15 n°5 (novembre 2016) . - p.219-227
Mots-clés : accouchement
bénéfice
durée
eau
lésion
périnée
risque
travailRésumé : Objectifs : Le but était d’évaluer les bénéfices et les risques liés à l’accouchement dans l’eau.
Matériel et méthodes : C’était une étude rétrospective unicentrique, de type exposé/non exposé, avec recueil de données sur dossiers pendant 6ans. Nous avons comparé 333 femmes ayant accouché dans l’eau à celles ayant accouché sur terre avec et sans analgésie péridurale (APD) tout en sélectionnant des patientes à bas risque de complications obstétricales.
Résultats : Il était retrouvé une diminution significative de la durée du travail, entre le groupe eau et celui sur terre avec APD, et celui sans APD (p<0,0001). Le liquide était plus souvent clair dans l’eau (p<0,0001). Il a été retrouvé une diminution des épisiotomies et une augmentation du taux de périnée intact dans l’eau (p<0,0001). Les taux d’hémorragie, d’endométrite, de réanimation et d’infections néonatales étaient semblables. L’adaptation à la vie extra-utérine était meilleure dans l’eau puisque les pH y étaient plus élevés par rapport au groupe avec APD (p<0,0001).
Conclusion : L’accouchement dans l’eau s’accompagnait de bénéfices sans augmentation des risques.Note de contenu : Mémoire [article]
in Sages-femmes > vol.15 n°5 (novembre 2016) . - p.219-227
Titre : Accouchement dans l’eau : quelles sont les conséquences maternelles et fœtales d’un accouchement dans l’eau chez des patientes présentant un faible risque obstétrical comparé aux accouchements sur terre avec ou sans analgésie péridurale ? Type de document : revue Auteurs : Julien Anselmi, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.219-227 Langues : Français Mots-clés : accouchement
bénéfice
durée
eau
lésion
périnée
risque
travailRésumé : Objectifs : Le but était d’évaluer les bénéfices et les risques liés à l’accouchement dans l’eau.
Matériel et méthodes : C’était une étude rétrospective unicentrique, de type exposé/non exposé, avec recueil de données sur dossiers pendant 6ans. Nous avons comparé 333 femmes ayant accouché dans l’eau à celles ayant accouché sur terre avec et sans analgésie péridurale (APD) tout en sélectionnant des patientes à bas risque de complications obstétricales.
Résultats : Il était retrouvé une diminution significative de la durée du travail, entre le groupe eau et celui sur terre avec APD, et celui sans APD (p<0,0001). Le liquide était plus souvent clair dans l’eau (p<0,0001). Il a été retrouvé une diminution des épisiotomies et une augmentation du taux de périnée intact dans l’eau (p<0,0001). Les taux d’hémorragie, d’endométrite, de réanimation et d’infections néonatales étaient semblables. L’adaptation à la vie extra-utérine était meilleure dans l’eau puisque les pH y étaient plus élevés par rapport au groupe avec APD (p<0,0001).
Conclusion : L’accouchement dans l’eau s’accompagnait de bénéfices sans augmentation des risques.Note de contenu : Mémoire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029740 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible L’épisiotomie en France en 2010 : variations des pratiques selon le contexte obstétrical et le lieu d’accouchement / A.-L. Chuilon in Sages-femmes, vol.15 n°5 (novembre 2016)
[article] L’épisiotomie en France en 2010 : variations des pratiques selon le contexte obstétrical et le lieu d’accouchement [revue] / A.-L. Chuilon, Auteur ; C. Le Ray, Auteur ; C. Prunet, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.228-237.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.15 n°5 (novembre 2016) . - p.228-237
Mots-clés : différence
disparité
épisiotomie
étude
maternité
régionRésumé : But : Analyser comment les taux d’épisiotomie varient suivant les caractéristiques des femmes et des maternités et étudier la variabilité des taux entre les maternités et les régions en France.
Matériel et méthodes : Notre étude comprenait toutes les femmes ayant accouché par voie basse dans l’enquête nationale périnatale réalisée en France en 2010 (n=11 322). Nous avons estimé les risques relatifs ajustés d’épisiotomie (RRa), selon les caractéristiques des femmes et des maternités, et analysé la variabilité des taux entre maternités et entre régions par des régressions de Poisson multiniveaux, stratifiées sur la parité.
Résultats : En 2010, 26,8 % des femmes ont eu une épisiotomie (44,7 % des primipares, 14,2 % des multipares). Les principaux facteurs associés à la réalisation d’une épisiotomie étaient l’origine asiatique (primipares : RRa=1,32 [1,16–1,51] ; multipares : RRa=2,30 [1,67–3,16]), le siège (primipares : RRa=2,14 [1,87–2,21] ; multipares : RRa=3,32 [2,52–4,38]) et la voie basse instrumentale (primipares : RRa=2,04 [1,89–2,11] ; multipares : RRa=3,19 [2,74–3,72]). Les autres facteurs associés étaient : un indice de masse corporelle élevé, l’administration d’ocytocine pendant le travail, une voie basse spontanée réalisée par un obstétricien, un poids de naissance élevé et chez les multipares, un antécédent de césarienne sans voie basse antérieure et une analgésie péridurale. Les taux variaient entre les régions (primipares : de 17 à 64 % ; multipares : de 3 à 21 %). La variance était significative entre les régions et entre les maternités.
Conclusion : Les différences entre régions et entre maternités sont peu expliquées par les caractéristiques des femmes et des nouveau-nés. Il serait utile d’étudier les attitudes et les points de vue des obstétriciens et des sages-femmes vis-à-vis de la protection du périnée pour mieux comprendre ces différences.[article]
in Sages-femmes > vol.15 n°5 (novembre 2016) . - p.228-237
Titre : L’épisiotomie en France en 2010 : variations des pratiques selon le contexte obstétrical et le lieu d’accouchement Type de document : revue Auteurs : A.-L. Chuilon, Auteur ; C. Le Ray, Auteur ; C. Prunet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.228-237 Langues : Français Mots-clés : différence
disparité
épisiotomie
étude
maternité
régionRésumé : But : Analyser comment les taux d’épisiotomie varient suivant les caractéristiques des femmes et des maternités et étudier la variabilité des taux entre les maternités et les régions en France.
Matériel et méthodes : Notre étude comprenait toutes les femmes ayant accouché par voie basse dans l’enquête nationale périnatale réalisée en France en 2010 (n=11 322). Nous avons estimé les risques relatifs ajustés d’épisiotomie (RRa), selon les caractéristiques des femmes et des maternités, et analysé la variabilité des taux entre maternités et entre régions par des régressions de Poisson multiniveaux, stratifiées sur la parité.
Résultats : En 2010, 26,8 % des femmes ont eu une épisiotomie (44,7 % des primipares, 14,2 % des multipares). Les principaux facteurs associés à la réalisation d’une épisiotomie étaient l’origine asiatique (primipares : RRa=1,32 [1,16–1,51] ; multipares : RRa=2,30 [1,67–3,16]), le siège (primipares : RRa=2,14 [1,87–2,21] ; multipares : RRa=3,32 [2,52–4,38]) et la voie basse instrumentale (primipares : RRa=2,04 [1,89–2,11] ; multipares : RRa=3,19 [2,74–3,72]). Les autres facteurs associés étaient : un indice de masse corporelle élevé, l’administration d’ocytocine pendant le travail, une voie basse spontanée réalisée par un obstétricien, un poids de naissance élevé et chez les multipares, un antécédent de césarienne sans voie basse antérieure et une analgésie péridurale. Les taux variaient entre les régions (primipares : de 17 à 64 % ; multipares : de 3 à 21 %). La variance était significative entre les régions et entre les maternités.
Conclusion : Les différences entre régions et entre maternités sont peu expliquées par les caractéristiques des femmes et des nouveau-nés. Il serait utile d’étudier les attitudes et les points de vue des obstétriciens et des sages-femmes vis-à-vis de la protection du périnée pour mieux comprendre ces différences.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029740 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Association entre les intervalles d’augmentation de l’oxytocine pendant le travail et le risque d’hémorragie du post-partum / C. Loscul in Sages-femmes, vol.15 n°5 (novembre 2016)
[article] Association entre les intervalles d’augmentation de l’oxytocine pendant le travail et le risque d’hémorragie du post-partum [revue] / C. Loscul, Auteur ; A.-A Chantry, Auteur ; L. Caubit, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.238-245.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.15 n°5 (novembre 2016) . - p.238-245
Mots-clés : hémorragie du post-partum
ocytocineRésumé : Objectif : Évaluer l’association entre la durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine au cours du travail spontané et le risque d’hémorragies du post-partum (HPP).
Matériel et méthodes : Étude de cohorte rétrospective, de primipares en travail spontané ayant reçu de l’oxytocine pendant le travail (n=454). Les modalités d’administration de l’oxytocine ont été analysées, en particulier la durée des intervalles entre deux augmentations du débit d’oxytocine (<20minutes ou≥20minutes). Les issues obstétricales et néonatales ont été analysées en fonction de la durée des intervalles d’augmentation. Des analyses uni-et multivariées ont été effectuées pour tester et quantifier l’association entre la rapidité d’augmentation du débit d’ocytocine et le risque d’hémorragie du post-partum, qui était le critère de jugement principal.
Résultats : La durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine était inférieure à 20minutes pour 43,8 % des patientes. Une durée des intervalles inférieure à 20minutes était associée à une incidence accrue des hémorragies du post-partum (9,1 % vs 3,5 % ; p=0,014), à une utilisation plus fréquente du sulprostone (6,5 % vs 3,5 % ; p=0,013). L’association entre la durée des intervalles inférieure à 20minutes et l’hémorragie du post-partum restait significative après ajustement sur les autres facteurs de risque d’HPP (OR ajusté=3,48, 95 % IC [1,45–8,34]). Le score d’Apgar et le pH à la naissance semblaient moins bons chez les nouveau-nés appartenant au groupe dont les intervalles étaient inférieurs à 20minutes (pH≤7,10 à la naissance ou score d’Apgar≤7 à 5minutes de vie, 12,1 % vs 4,3 % ; p=0,002).
Conclusion : Notre étude a montré une augmentation du risque d’hémorragies du post-partum lorsque les intervalles d’augmentation de l’oxytocine étaient inférieurs à 20minutes.[article]
in Sages-femmes > vol.15 n°5 (novembre 2016) . - p.238-245
Titre : Association entre les intervalles d’augmentation de l’oxytocine pendant le travail et le risque d’hémorragie du post-partum Type de document : revue Auteurs : C. Loscul, Auteur ; A.-A Chantry, Auteur ; L. Caubit, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.238-245 Langues : Français Mots-clés : hémorragie du post-partum
ocytocineRésumé : Objectif : Évaluer l’association entre la durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine au cours du travail spontané et le risque d’hémorragies du post-partum (HPP).
Matériel et méthodes : Étude de cohorte rétrospective, de primipares en travail spontané ayant reçu de l’oxytocine pendant le travail (n=454). Les modalités d’administration de l’oxytocine ont été analysées, en particulier la durée des intervalles entre deux augmentations du débit d’oxytocine (<20minutes ou≥20minutes). Les issues obstétricales et néonatales ont été analysées en fonction de la durée des intervalles d’augmentation. Des analyses uni-et multivariées ont été effectuées pour tester et quantifier l’association entre la rapidité d’augmentation du débit d’ocytocine et le risque d’hémorragie du post-partum, qui était le critère de jugement principal.
Résultats : La durée des intervalles d’augmentation de l’oxytocine était inférieure à 20minutes pour 43,8 % des patientes. Une durée des intervalles inférieure à 20minutes était associée à une incidence accrue des hémorragies du post-partum (9,1 % vs 3,5 % ; p=0,014), à une utilisation plus fréquente du sulprostone (6,5 % vs 3,5 % ; p=0,013). L’association entre la durée des intervalles inférieure à 20minutes et l’hémorragie du post-partum restait significative après ajustement sur les autres facteurs de risque d’HPP (OR ajusté=3,48, 95 % IC [1,45–8,34]). Le score d’Apgar et le pH à la naissance semblaient moins bons chez les nouveau-nés appartenant au groupe dont les intervalles étaient inférieurs à 20minutes (pH≤7,10 à la naissance ou score d’Apgar≤7 à 5minutes de vie, 12,1 % vs 4,3 % ; p=0,002).
Conclusion : Notre étude a montré une augmentation du risque d’hémorragies du post-partum lorsque les intervalles d’augmentation de l’oxytocine étaient inférieurs à 20minutes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029740 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
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