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Anesthésie & réanimation / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation . vol.2 n°5Mention de date : octobre 2016Paru le : 01/10/2016 |
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Ajouter le résultat dans votre panierSoignant « seconde victime » : comment accompagner un professionnel à la suite d’un accident ou d’une erreur en anesthésie-réanimation ? / Ségolène Arzalier-Daret in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Soignant « seconde victime » : comment accompagner un professionnel à la suite d’un accident ou d’une erreur en anesthésie-réanimation ? [revue] / Ségolène Arzalier-Daret, Auteur ; Thomas Lieutaud, Auteur ; Sébastian Pease, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.285-291.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.285-291
Mots-clés : culpabilité
EIG évènement indésirable grave
erreur médicale
ESPT état de stress post traumatique
sécurité patient
soignantRésumé : Les évènements indésirables graves peuvent conduire à un véritable traumatisme chez le soignant, qu’il soit le fait d’une erreur médicale ou non. Le soignant peut ainsi être considéré comme la deuxième victime de l’accident après le patient. Le traumatisme émotionnel peut avoir des conséquences lourdes sur le professionnel impliqué (addiction, troubles mentaux, burnout, état de stress port traumatique, voire suicide) et, de ce fait, sur la qualité des soins prodigués aux patients. Des prises en charge ont été décrites dans la littérature pour limiter les conséquences du traumatisme chez les professionnels de santé : prise en charge immédiate, puis à court terme et long terme, dans lesquelles participent le soutien des pairs, de la hiérarchie et une aide psychologique spécialisée. La communication doit être large sur ce phénomène peu connu des professionnels eux-mêmes afin de mettre en place des stratégies de prises en charge en amont et impliquant toute l’équipe et l’institution. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.285-291
Titre : Soignant « seconde victime » : comment accompagner un professionnel à la suite d’un accident ou d’une erreur en anesthésie-réanimation ? Type de document : revue Auteurs : Ségolène Arzalier-Daret, Auteur ; Thomas Lieutaud, Auteur ; Sébastian Pease, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.285-291 Langues : Français Mots-clés : culpabilité
EIG évènement indésirable grave
erreur médicale
ESPT état de stress post traumatique
sécurité patient
soignantRésumé : Les évènements indésirables graves peuvent conduire à un véritable traumatisme chez le soignant, qu’il soit le fait d’une erreur médicale ou non. Le soignant peut ainsi être considéré comme la deuxième victime de l’accident après le patient. Le traumatisme émotionnel peut avoir des conséquences lourdes sur le professionnel impliqué (addiction, troubles mentaux, burnout, état de stress port traumatique, voire suicide) et, de ce fait, sur la qualité des soins prodigués aux patients. Des prises en charge ont été décrites dans la littérature pour limiter les conséquences du traumatisme chez les professionnels de santé : prise en charge immédiate, puis à court terme et long terme, dans lesquelles participent le soutien des pairs, de la hiérarchie et une aide psychologique spécialisée. La communication doit être large sur ce phénomène peu connu des professionnels eux-mêmes afin de mettre en place des stratégies de prises en charge en amont et impliquant toute l’équipe et l’institution. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Hémorragie digestive / Emmanuel Weiss in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Hémorragie digestive [revue] / Emmanuel Weiss, Auteur ; Catherine Paugam-Burtz, Auteur . - 2016 . - p.292-299.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.292-299
Mots-clés : hémorragie digestive
hypertension portale
ulcèreRésumé : L’hémorragie digestive (HD) demeure une cause importante de morbimortalité.
Quatre-vingt pour cent des HD aiguës sont d’origine haute. Les complications de la maladie ulcéreuse ou celles de l’hypertension portale constituent les deux tiers environ des étiologies des HD hautes.
L’HD haute se caractérise par la survenue d’une hématémèse et/ou d’un méléna mais elle peut également se manifester par des rectorragies lorsqu’elle est abondante. La pose d’une sonde nasogastrique peut aider au diagnostic de l’origine du saignement.
L’évaluation de la gravité des HD hautes repose sur les scores de Glasgow-Blatchford et de Rockall, largement validés.
En cas de suspicion d’HD en rapport avec un ulcère, un traitement par IPP à forte dose doit être débuté précocement. En cas de suspicion d’HD en rapport avec une rupture de varices œsogastriques, un traitement vasoactif réduisant le débit sanguin portal doit être débuté dès la phase préhospitalière si possible.
Lorsqu’une HD haute est suspectée, une endoscopie œsogastroduodénale (EOGD) doit être réalisée dans les 24heures suivant l’admission (12heures en cas d’HD liée à l’hypertension portale).
En cas de rectorragies abondantes, une EOGD doit être réalisée avant la coloscopie.
Le traitement interventionnel de première intention des HD hautes repose sur l’hémostase perendoscopique. Un traitement par radiologie interventionnelle (artério-embolisation ou TIPS) peut être tenté en cas d’échec du traitement endoscopique.
En cas d’HD basse, l’angioscanner abdominopelvien peut permettre de localiser l’origine du saignement et guider le traitement radiologique.[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.292-299
Titre : Hémorragie digestive Type de document : revue Auteurs : Emmanuel Weiss, Auteur ; Catherine Paugam-Burtz, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.292-299 Langues : Français Mots-clés : hémorragie digestive
hypertension portale
ulcèreRésumé : L’hémorragie digestive (HD) demeure une cause importante de morbimortalité.
Quatre-vingt pour cent des HD aiguës sont d’origine haute. Les complications de la maladie ulcéreuse ou celles de l’hypertension portale constituent les deux tiers environ des étiologies des HD hautes.
L’HD haute se caractérise par la survenue d’une hématémèse et/ou d’un méléna mais elle peut également se manifester par des rectorragies lorsqu’elle est abondante. La pose d’une sonde nasogastrique peut aider au diagnostic de l’origine du saignement.
L’évaluation de la gravité des HD hautes repose sur les scores de Glasgow-Blatchford et de Rockall, largement validés.
En cas de suspicion d’HD en rapport avec un ulcère, un traitement par IPP à forte dose doit être débuté précocement. En cas de suspicion d’HD en rapport avec une rupture de varices œsogastriques, un traitement vasoactif réduisant le débit sanguin portal doit être débuté dès la phase préhospitalière si possible.
Lorsqu’une HD haute est suspectée, une endoscopie œsogastroduodénale (EOGD) doit être réalisée dans les 24heures suivant l’admission (12heures en cas d’HD liée à l’hypertension portale).
En cas de rectorragies abondantes, une EOGD doit être réalisée avant la coloscopie.
Le traitement interventionnel de première intention des HD hautes repose sur l’hémostase perendoscopique. Un traitement par radiologie interventionnelle (artério-embolisation ou TIPS) peut être tenté en cas d’échec du traitement endoscopique.
En cas d’HD basse, l’angioscanner abdominopelvien peut permettre de localiser l’origine du saignement et guider le traitement radiologique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Cytopathies mitochondriales et anesthésie / Karine Nouette-Gaulain in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Cytopathies mitochondriales et anesthésie [revue] / Karine Nouette-Gaulain, Auteur ; Florian Robin, Auteur ; François Semjen, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.300-308.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.300-308
Mots-clés : anesthésie locorégionale
cytopathie
enfant
maladie
mitochondrie
propofolRésumé : Les cytopathies mitochondriales sont des maladies rares pour lesquelles les enfants atteints sont soumis à des anesthésies répétées, dans le cadre d’une prise en charge de leur pathologie ou de l’urgence. Les agents de l’anesthésie présentent de nombreuses interactions avec le métabolisme mitochondrial, notamment les anesthésiques locaux, les agents halogénés et le propofol. De ce fait, il paraît essentiel de parfaitement connaître les malades suspects dès la consultation d’anesthésie afin d’optimiser les protocoles d’anesthésie et de prévenir les complications périopératoire. Les décompensations métaboliques à type d’acidose lactique, cardiorespiratoires et neurologiques sont à surveiller. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.300-308
Titre : Cytopathies mitochondriales et anesthésie Type de document : revue Auteurs : Karine Nouette-Gaulain, Auteur ; Florian Robin, Auteur ; François Semjen, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.300-308 Langues : Français Mots-clés : anesthésie locorégionale
cytopathie
enfant
maladie
mitochondrie
propofolRésumé : Les cytopathies mitochondriales sont des maladies rares pour lesquelles les enfants atteints sont soumis à des anesthésies répétées, dans le cadre d’une prise en charge de leur pathologie ou de l’urgence. Les agents de l’anesthésie présentent de nombreuses interactions avec le métabolisme mitochondrial, notamment les anesthésiques locaux, les agents halogénés et le propofol. De ce fait, il paraît essentiel de parfaitement connaître les malades suspects dès la consultation d’anesthésie afin d’optimiser les protocoles d’anesthésie et de prévenir les complications périopératoire. Les décompensations métaboliques à type d’acidose lactique, cardiorespiratoires et neurologiques sont à surveiller. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Prise en charge anesthésique de l’enfant souffrant d’une myopathie / Francis Veyckemans in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Prise en charge anesthésique de l’enfant souffrant d’une myopathie [revue] / Francis Veyckemans, Auteur . - 2016 . - p.309-315.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.309-315
Mots-clés : Duchenne
enfant
hyperthermie
myopathie
rhabdomyolyseRésumé : Du point de vue de l’anesthésie, l’enfant porteur d’une myopathie peut se présenter soit sous la forme d’une démarche diagnostique lors de la découverte d’éléments suspects à la consultation pré-anesthésique ou lors de la prise en charge d’une complication « musculaire » en période péri-anesthésique, soit comme la planification d’une anesthésie adaptée à une maladie neuromusculaire connue ou suspectée. Ces situations sont présentées sous forme de vignettes cliniques. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.309-315
Titre : Prise en charge anesthésique de l’enfant souffrant d’une myopathie Type de document : revue Auteurs : Francis Veyckemans, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.309-315 Langues : Français Mots-clés : Duchenne
enfant
hyperthermie
myopathie
rhabdomyolyseRésumé : Du point de vue de l’anesthésie, l’enfant porteur d’une myopathie peut se présenter soit sous la forme d’une démarche diagnostique lors de la découverte d’éléments suspects à la consultation pré-anesthésique ou lors de la prise en charge d’une complication « musculaire » en période péri-anesthésique, soit comme la planification d’une anesthésie adaptée à une maladie neuromusculaire connue ou suspectée. Ces situations sont présentées sous forme de vignettes cliniques. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Troubles congénitaux du rythme cardiaque chez l’enfant. Quelles recommandations pour l’anesthésie ? / Guy Vaksmann in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Troubles congénitaux du rythme cardiaque chez l’enfant. Quelles recommandations pour l’anesthésie ? [revue] / Guy Vaksmann, Auteur ; Ivan Bouzguenda, Auteur ; Adélaïde Richard, Auteur . - 2016 . - p.316-320.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.316-320
Mots-clés : anesthésie
canalopathie
pédiatrie
syndrome de Brugada
syndrome de Wolff-Parkinson-White
syndrome du QT long
tachycardieRésumé : Les troubles du rythme cardiaque congénitaux peuvent avoir 2 origines : le syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) ou une canalopathie. Plusieurs types de tachycardies peuvent survenir chez les patients atteints du syndrome de WPW. La tachycardie la plus fréquente est la tachycardie supra-ventriculaire dans laquelle se produit un circuit de réentrée entre le nœud auriculo-ventriculaire dans le sens antérograde et la voie accessoire dans le sens rétrograde. L’adénosine intraveineuse qui bloque la conduction dans le nœud auriculo-ventriculaire est le traitement le plus efficace. Les canalopathies arythmogènes sont le syndrome du QT long congénital, la tachycardie ventriculaire catécholergique, le syndrome de Brugada et le syndrome du QT court. Des recommandations pour la prise en charge périopératoire de ces patients sont données. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.316-320
Titre : Troubles congénitaux du rythme cardiaque chez l’enfant. Quelles recommandations pour l’anesthésie ? Type de document : revue Auteurs : Guy Vaksmann, Auteur ; Ivan Bouzguenda, Auteur ; Adélaïde Richard, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.316-320 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
canalopathie
pédiatrie
syndrome de Brugada
syndrome de Wolff-Parkinson-White
syndrome du QT long
tachycardieRésumé : Les troubles du rythme cardiaque congénitaux peuvent avoir 2 origines : le syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) ou une canalopathie. Plusieurs types de tachycardies peuvent survenir chez les patients atteints du syndrome de WPW. La tachycardie la plus fréquente est la tachycardie supra-ventriculaire dans laquelle se produit un circuit de réentrée entre le nœud auriculo-ventriculaire dans le sens antérograde et la voie accessoire dans le sens rétrograde. L’adénosine intraveineuse qui bloque la conduction dans le nœud auriculo-ventriculaire est le traitement le plus efficace. Les canalopathies arythmogènes sont le syndrome du QT long congénital, la tachycardie ventriculaire catécholergique, le syndrome de Brugada et le syndrome du QT court. Des recommandations pour la prise en charge périopératoire de ces patients sont données. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Mort encéphalique pédiatrique, nouvelles recommandations diagnostiques / Stéphane Blanot in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Mort encéphalique pédiatrique, nouvelles recommandations diagnostiques [revue] / Stéphane Blanot, Auteur ; Régis Quéré, Auteur ; Estelle Vergnaud, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.321-327.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.321-327
Mots-clés : mort cérébrale
pédiatrie
prélèvement d'organes et de tissus
recommandationRésumé : L’activité de prélèvement et de greffe d’organes pédiatriques représente moins de 5 % de l’activité nationale. Chez les enfants de moins de deux ans, le prélèvement est particulièrement rare et exigeant, mais strictement indispensable. De nombreux obstacles tenant notamment à des contextes étiologiques traumatiques, à l’opposition parentale et à la rareté des petits receveurs compatibles, rendent ces prélèvements d’organes rares et compliqués. L’évolution des précédentes recommandations sur la mort encéphalique (ME) pédiatrique posent des problèmes pratiques non encore résolus, qui peuvent impacter négativement sur le recensement des donneurs potentiels. Le Doppler transcrânien (DTC), qui permet de suivre plus facilement en pédiatrie que chez l’adulte les altérations de la circulation cérébrale et l’évolution vers la ME, peut mettre en confiance les équipes de réanimation pédiatrique concernées par ce diagnostic médico-légal. En préconisant une évaluation clinique et DTC répétée, les nouvelles recommandations de l’Agence de la biomédecine valorisent le diagnostic clinique de ME et permettent de simplifier la confirmation paraclinique, soit par angioscanner cérébral soit par deux électro-encéphalogrammes avec un délai raccourci à 4heures quel que soit l’âge. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.321-327
Titre : Mort encéphalique pédiatrique, nouvelles recommandations diagnostiques Type de document : revue Auteurs : Stéphane Blanot, Auteur ; Régis Quéré, Auteur ; Estelle Vergnaud, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.321-327 Langues : Français Mots-clés : mort cérébrale
pédiatrie
prélèvement d'organes et de tissus
recommandationRésumé : L’activité de prélèvement et de greffe d’organes pédiatriques représente moins de 5 % de l’activité nationale. Chez les enfants de moins de deux ans, le prélèvement est particulièrement rare et exigeant, mais strictement indispensable. De nombreux obstacles tenant notamment à des contextes étiologiques traumatiques, à l’opposition parentale et à la rareté des petits receveurs compatibles, rendent ces prélèvements d’organes rares et compliqués. L’évolution des précédentes recommandations sur la mort encéphalique (ME) pédiatrique posent des problèmes pratiques non encore résolus, qui peuvent impacter négativement sur le recensement des donneurs potentiels. Le Doppler transcrânien (DTC), qui permet de suivre plus facilement en pédiatrie que chez l’adulte les altérations de la circulation cérébrale et l’évolution vers la ME, peut mettre en confiance les équipes de réanimation pédiatrique concernées par ce diagnostic médico-légal. En préconisant une évaluation clinique et DTC répétée, les nouvelles recommandations de l’Agence de la biomédecine valorisent le diagnostic clinique de ME et permettent de simplifier la confirmation paraclinique, soit par angioscanner cérébral soit par deux électro-encéphalogrammes avec un délai raccourci à 4heures quel que soit l’âge. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Ventilation non invasive chez l’enfant : mise en place en urgence / Christophe Milesi in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Ventilation non invasive chez l’enfant : mise en place en urgence [revue] / Christophe Milesi, Auteur ; Julien Frédéric Baleine, Auteur ; Sandrine Essouri, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.328-333.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.328-333
Mots-clés : asthme
bronchiolite
enfant
SDRA syndrome de détresse respiratoire aiguë
VNI ventilation non invasiveRésumé : Chez l’enfant, le recours à la ventilation non invasive (VNI) est de plus en plus fréquent, en première intention, pour la prise en charge des détresses respiratoires. Sous réserve d’une instauration précoce et d’une sélection pertinente du mode de VNI selon le type de détresse, ce support respiratoire peut permettre d’éviter l’épuisement respiratoire et le recours à la ventilation invasive. Des progrès techniques récents sur les interfaces et les respirateurs rendent sa mise en œuvre plus aisée, notamment par une meilleure compensation des fuites et l’amélioration de l’interaction patient–ventilateur. Certaines indications sont étayées par des preuves, notamment les bronchiolites virales, avec un taux d’échec très faible. D’autres restent associées à un taux d’échec important, comme le syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA), incitant à une utilisation très prudente par des équipes expertes. Des indications potentielles, comme l’asthme aigu grave ou le relais de la ventilation invasive, nécessitent des évaluations complémentaires dans le cadre d’essais cliniques. La diffusion de formations théoriques et pratiques, sous l’égide de la société européenne de réanimation du nouveau-né et de l’enfant (ESPNIC), devrait permettre d’uniformiser et de sécuriser cette pratique en plein essor.
Mots clés : Asthme, Bronchiolite, Enfant, Ventilation non invasive, Syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA)[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.328-333
Titre : Ventilation non invasive chez l’enfant : mise en place en urgence Type de document : revue Auteurs : Christophe Milesi, Auteur ; Julien Frédéric Baleine, Auteur ; Sandrine Essouri, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.328-333 Langues : Français Mots-clés : asthme
bronchiolite
enfant
SDRA syndrome de détresse respiratoire aiguë
VNI ventilation non invasiveRésumé : Chez l’enfant, le recours à la ventilation non invasive (VNI) est de plus en plus fréquent, en première intention, pour la prise en charge des détresses respiratoires. Sous réserve d’une instauration précoce et d’une sélection pertinente du mode de VNI selon le type de détresse, ce support respiratoire peut permettre d’éviter l’épuisement respiratoire et le recours à la ventilation invasive. Des progrès techniques récents sur les interfaces et les respirateurs rendent sa mise en œuvre plus aisée, notamment par une meilleure compensation des fuites et l’amélioration de l’interaction patient–ventilateur. Certaines indications sont étayées par des preuves, notamment les bronchiolites virales, avec un taux d’échec très faible. D’autres restent associées à un taux d’échec important, comme le syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA), incitant à une utilisation très prudente par des équipes expertes. Des indications potentielles, comme l’asthme aigu grave ou le relais de la ventilation invasive, nécessitent des évaluations complémentaires dans le cadre d’essais cliniques. La diffusion de formations théoriques et pratiques, sous l’égide de la société européenne de réanimation du nouveau-né et de l’enfant (ESPNIC), devrait permettre d’uniformiser et de sécuriser cette pratique en plein essor.
Mots clés : Asthme, Bronchiolite, Enfant, Ventilation non invasive, Syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA)Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Thrombose veineuse en réanimation pédiatrique : prévention, dépistage et traitement / Barbara Ros in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Thrombose veineuse en réanimation pédiatrique : prévention, dépistage et traitement [revue] / Barbara Ros, Auteur ; Laurent Renesme, Auteur ; Julie Guichoux, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.334-339.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.334-339
Mots-clés : cathéter veineux central
enfant
héparine
prophylaxie
thrombose veineuseRésumé : L’incidence des évènements thromboemboliques veineux en pédiatrie diffère selon qu’il s’agit de nouveau-nés ou d’enfants plus grands. La genèse d’une thrombose veineuse profonde est possible par l’intervention de trois facteurs : la paroi du vaisseau, le flux sanguin et la composition du sang circulant. La présence d’un cathéter central constitue une des causes majeures d’apparition d’une thrombose veineuse profonde dans la population des enfants hospitalisés en réanimation pédiatrique. Nous n’évoquerons pas dans ce travail les particularités de l’embolie pulmonaire ni ne détaillerons la prise en charge spécifique des maladies congénitales de l’hémostase à l’origine des évènements thrombotiques chez l’enfant. Nous allons développer les principaux facteurs de risque d’apparition d’une thrombose veineuse chez l’enfant, les éléments du diagnostic biologique et d’imagerie et les grands principes de prise en charge thérapeutique (curative et préventive). [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.334-339
Titre : Thrombose veineuse en réanimation pédiatrique : prévention, dépistage et traitement Type de document : revue Auteurs : Barbara Ros, Auteur ; Laurent Renesme, Auteur ; Julie Guichoux, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.334-339 Langues : Français Mots-clés : cathéter veineux central
enfant
héparine
prophylaxie
thrombose veineuseRésumé : L’incidence des évènements thromboemboliques veineux en pédiatrie diffère selon qu’il s’agit de nouveau-nés ou d’enfants plus grands. La genèse d’une thrombose veineuse profonde est possible par l’intervention de trois facteurs : la paroi du vaisseau, le flux sanguin et la composition du sang circulant. La présence d’un cathéter central constitue une des causes majeures d’apparition d’une thrombose veineuse profonde dans la population des enfants hospitalisés en réanimation pédiatrique. Nous n’évoquerons pas dans ce travail les particularités de l’embolie pulmonaire ni ne détaillerons la prise en charge spécifique des maladies congénitales de l’hémostase à l’origine des évènements thrombotiques chez l’enfant. Nous allons développer les principaux facteurs de risque d’apparition d’une thrombose veineuse chez l’enfant, les éléments du diagnostic biologique et d’imagerie et les grands principes de prise en charge thérapeutique (curative et préventive). Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Recommandations pratiques sur des sujets controversés de l’anesthésie locorégionale pédiatrique / Claude Ecoffey in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Recommandations pratiques sur des sujets controversés de l’anesthésie locorégionale pédiatrique [revue] / Claude Ecoffey, Auteur . - 2016 . - p.340-342.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.340-342
Mots-clés : anesthésie locorégionale
dose
pédiatrie
syndrome des loges
testRésumé : La Société européenne d’anesthésie régionale et traitement de la douleur (ESRA) et la Société américaine d’anesthésie régionale et médecine de la douleur (ASRA) ont mis en place un comité consultatif mixte pour la pratique de l’anesthésie régionale pédiatrique afin de rédiger des recommandations sur 4 questions. (1) La réalisation de l’anesthésie locorégionale pédiatrique sous anesthésie générale ou sédation profonde est associée à une sécurité acceptable et doit être considérée comme la norme de soins (niveau de preuve B2 et de niveau de preuve B3) ; (2) En raison de la difficulté d’interprétation d’une dose-test négative, l’utilisation de la dose-test doit rester optionnelle (niveau de preuve B4) ; (3) L’utilisation d’une perte de résistance avec de l’air ou une solution saline est validée par l’opinion d’experts, mais la littérature donnant la supériorité d’une technique sur l’autre est rare et controversée ; lorsqu’elle est utilisée de façon appropriée, chaque technique peut être utilisée en toute sécurité chez les enfants ; (4) Il n’y a pas de données fondées sur des preuves actuelles que l’utilisation de l’anesthésie locorégionale pédiatrique augmente le risque d’avoir un syndrome aigu de compression des loges ou retarde son diagnostic chez les enfants. Des preuves de haut niveau ne sont pas encore disponibles, et la plupart des recommandations sont basées sur des études de preuve B. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.340-342
Titre : Recommandations pratiques sur des sujets controversés de l’anesthésie locorégionale pédiatrique Type de document : revue Auteurs : Claude Ecoffey, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.340-342 Langues : Français Mots-clés : anesthésie locorégionale
dose
pédiatrie
syndrome des loges
testRésumé : La Société européenne d’anesthésie régionale et traitement de la douleur (ESRA) et la Société américaine d’anesthésie régionale et médecine de la douleur (ASRA) ont mis en place un comité consultatif mixte pour la pratique de l’anesthésie régionale pédiatrique afin de rédiger des recommandations sur 4 questions. (1) La réalisation de l’anesthésie locorégionale pédiatrique sous anesthésie générale ou sédation profonde est associée à une sécurité acceptable et doit être considérée comme la norme de soins (niveau de preuve B2 et de niveau de preuve B3) ; (2) En raison de la difficulté d’interprétation d’une dose-test négative, l’utilisation de la dose-test doit rester optionnelle (niveau de preuve B4) ; (3) L’utilisation d’une perte de résistance avec de l’air ou une solution saline est validée par l’opinion d’experts, mais la littérature donnant la supériorité d’une technique sur l’autre est rare et controversée ; lorsqu’elle est utilisée de façon appropriée, chaque technique peut être utilisée en toute sécurité chez les enfants ; (4) Il n’y a pas de données fondées sur des preuves actuelles que l’utilisation de l’anesthésie locorégionale pédiatrique augmente le risque d’avoir un syndrome aigu de compression des loges ou retarde son diagnostic chez les enfants. Des preuves de haut niveau ne sont pas encore disponibles, et la plupart des recommandations sont basées sur des études de preuve B. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Rachianesthésie en pédiatrie : quoi de neuf ? / Chrystelle Sola in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Rachianesthésie en pédiatrie : quoi de neuf ? [revue] / Chrystelle Sola, Auteur ; Anne-Charlotte Saour, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.343-348.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.343-348
Mots-clés : anesthésie
nouveau né
pédiatrie
rachianesthésieRésumé : Décrite pour la première fois chez l’enfant en 1898 par August Bier, la rachianesthésie reste aujourd’hui encore largement sous-utilisée chez l’enfant. Malgré les preuves de son efficacité et de sa sécurité, la place de la rachianesthésie en pédiatrie reste controversée et s’avère le plus souvent limitée aux centres spécialisés. Les bénéfices de la RA chez l’enfant sont pourtant nombreux, tant comme complément analgésique pour la chirurgie majeure que comme véritable alternative à l’anesthésie générale pour la chirurgie sous-ombilicale mineure ou chez l’enfant à risque élevé de complications peranesthésiques. Chez le nouveau-né, la diminution du risque d’apnée postopératoire et l’éviction de toutes expositions à la potentielle neurotoxicité des agents anesthésiques volatils et systémiques en font une alternative de choix. Une évaluation préclinique systématique des agents administrés par voie intrathécale, sur des modèles expérimentaux validés à tous les stades de développement postnatale précoce, ainsi que l’amélioration de la formation des opérateurs et le développement de l’utilisation de l’échographie restent essentielles pour accroître la sécurité et l’utilisation de la rachianesthésie en pédiatrie. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.343-348
Titre : Rachianesthésie en pédiatrie : quoi de neuf ? Type de document : revue Auteurs : Chrystelle Sola, Auteur ; Anne-Charlotte Saour, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.343-348 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
nouveau né
pédiatrie
rachianesthésieRésumé : Décrite pour la première fois chez l’enfant en 1898 par August Bier, la rachianesthésie reste aujourd’hui encore largement sous-utilisée chez l’enfant. Malgré les preuves de son efficacité et de sa sécurité, la place de la rachianesthésie en pédiatrie reste controversée et s’avère le plus souvent limitée aux centres spécialisés. Les bénéfices de la RA chez l’enfant sont pourtant nombreux, tant comme complément analgésique pour la chirurgie majeure que comme véritable alternative à l’anesthésie générale pour la chirurgie sous-ombilicale mineure ou chez l’enfant à risque élevé de complications peranesthésiques. Chez le nouveau-né, la diminution du risque d’apnée postopératoire et l’éviction de toutes expositions à la potentielle neurotoxicité des agents anesthésiques volatils et systémiques en font une alternative de choix. Une évaluation préclinique systématique des agents administrés par voie intrathécale, sur des modèles expérimentaux validés à tous les stades de développement postnatale précoce, ainsi que l’amélioration de la formation des opérateurs et le développement de l’utilisation de l’échographie restent essentielles pour accroître la sécurité et l’utilisation de la rachianesthésie en pédiatrie. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible FIO2 idéale pour l’enfant sous anesthésie ? / Florent Baudin in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] FIO2 idéale pour l’enfant sous anesthésie ? [revue] / Florent Baudin, Auteur ; Mathilde de Queiroz Siqueira, Auteur . - 2016 . - p.349-353.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.349-353
Mots-clés : anesthésie
hypoxie
oxygène
pédiatrieRésumé : L’oxygène est largement utilisé au cours de l’anesthésie chez l’enfant. Il existe clairement une toxicité de l’oxygène chez le prématuré et le nourrisson. Dès lors, l’anesthésiste pédiatrique doit évaluer la balance bénéfice/risque entre la survenue d’évènements hypoxiques et les conséquences d’une suroxygénation. Nous proposons de faire le point sur les effets physiologiques de l’oxygène chez l’enfant, ses bénéfices éventuels et la pertinence de son utilisation dans la correction et la prévention de l’hypoxie [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.349-353
Titre : FIO2 idéale pour l’enfant sous anesthésie ? Type de document : revue Auteurs : Florent Baudin, Auteur ; Mathilde de Queiroz Siqueira, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.349-353 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
hypoxie
oxygène
pédiatrieRésumé : L’oxygène est largement utilisé au cours de l’anesthésie chez l’enfant. Il existe clairement une toxicité de l’oxygène chez le prématuré et le nourrisson. Dès lors, l’anesthésiste pédiatrique doit évaluer la balance bénéfice/risque entre la survenue d’évènements hypoxiques et les conséquences d’une suroxygénation. Nous proposons de faire le point sur les effets physiologiques de l’oxygène chez l’enfant, ses bénéfices éventuels et la pertinence de son utilisation dans la correction et la prévention de l’hypoxie Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Préparation des respirateurs avant l’anesthésie d’un patient chez qui les halogénés sont contre-indiqués / Delphine Kern in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Préparation des respirateurs avant l’anesthésie d’un patient chez qui les halogénés sont contre-indiqués [revue] / Delphine Kern, Auteur ; Olivier Lamouret, Auteur ; Delphine Gallix, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.354-357.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.354-357
Mots-clés : agent halogéné
anesthésie
hyperthermie
préparation
respirateurRésumé : La préparation des respirateurs d’anesthésie avant ventilation d’un patient chez qui les halogénés sont contre-indiqués a considérablement évolué ces dernières années. Nous présentons ici les modalités pratiques des alternatives proposées dans la littérature permettant de ventiler les patients à risque : soit utiliser un respirateur d’anesthésie jamais exposé aux vapeurs d’halogénés ou un respirateur de réanimation, soit utiliser un respirateur préparé de sorte que la concentration résiduelle d’halogénés soit inférieure à 5ppm, préparation réalisée par le changement des consommables associé soit à un rinçage à haut débit de gaz frais soit à une interposition de filtres à charbon activés. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.354-357
Titre : Préparation des respirateurs avant l’anesthésie d’un patient chez qui les halogénés sont contre-indiqués Type de document : revue Auteurs : Delphine Kern, Auteur ; Olivier Lamouret, Auteur ; Delphine Gallix, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.354-357 Langues : Français Mots-clés : agent halogéné
anesthésie
hyperthermie
préparation
respirateurRésumé : La préparation des respirateurs d’anesthésie avant ventilation d’un patient chez qui les halogénés sont contre-indiqués a considérablement évolué ces dernières années. Nous présentons ici les modalités pratiques des alternatives proposées dans la littérature permettant de ventiler les patients à risque : soit utiliser un respirateur d’anesthésie jamais exposé aux vapeurs d’halogénés ou un respirateur de réanimation, soit utiliser un respirateur préparé de sorte que la concentration résiduelle d’halogénés soit inférieure à 5ppm, préparation réalisée par le changement des consommables associé soit à un rinçage à haut débit de gaz frais soit à une interposition de filtres à charbon activés. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Hypnose en anesthésie pédiatrique / Pascale Cairet in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Hypnose en anesthésie pédiatrique [revue] / Pascale Cairet, Auteur . - 2016 . - p.358-361.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.358-361
Mots-clés : anesthésie
anxiété
douleur
hypnose
pédiatrieRésumé : L’hypnose est un phénomène naturel où la focalisation de l’attention, obtenue en utilisant la suggestion et l’imagination, s’associe à une suspension relative des perceptions sensorielles. Les enfants bien préparés y sont très sensibles. Il s’agit d’une technique sûre qui diminue les scores de douleur et d’anxiété durant la préparation à l’anesthésie et l’induction de l’anesthésie, et qui peut faciliter les soins postopératoires. L’hypnose peut également être associée à une anesthésie locale ou régionale lors d’interventions mineures. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.358-361
Titre : Hypnose en anesthésie pédiatrique Type de document : revue Auteurs : Pascale Cairet, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.358-361 Langues : Français Mots-clés : anesthésie
anxiété
douleur
hypnose
pédiatrieRésumé : L’hypnose est un phénomène naturel où la focalisation de l’attention, obtenue en utilisant la suggestion et l’imagination, s’associe à une suspension relative des perceptions sensorielles. Les enfants bien préparés y sont très sensibles. Il s’agit d’une technique sûre qui diminue les scores de douleur et d’anxiété durant la préparation à l’anesthésie et l’induction de l’anesthésie, et qui peut faciliter les soins postopératoires. L’hypnose peut également être associée à une anesthésie locale ou régionale lors d’interventions mineures. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l’enfant : Que faire sans le B66 ? / Christophe Dadure in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l’enfant : Que faire sans le B66 ? [revue] / Christophe Dadure, Auteur ; Chrystelle Sola, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.362-367.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.362-367
Mots-clés : enfant
hydroélectrolytique
perfusion
période périopératoireRésumé : La perfusion peropératoire a pour but de suppléer aux besoins hydroélectrolytiques. Le but essentiel de cette prise en charge est de maintenir un équilibre entre les pertes et les apports d’eau, d’électrolytes et de glucose. Le développement fonctionnel et structurel spécifique de l’enfant a pour conséquence un métabolisme plus important que celui de l’adulte, consommant de manière relative plus d’oxygène et de calories. De plus, le compartiment hydrique du corps est d’autant plus important que l’enfant est jeune. Chez l’enfant, des règles spécifiques de perfusions intraveineuses ont été établies prenant en compte le contexte chirurgical et le jeûne préopératoire. Le choix du soluté de perfusion périopératoire est essentiel et peut conduire à des complications dramatiques en cas de choix inadapté à la situation clinique (hyponatrémie sévère, hypo- ou hyperglycémie). En France, un soluté polyionique largement utilisé, contenant 0,9 % de dextrose dénommé « B66 », a connu un arrêt de sa commercialisation en 2015. Quelques pays d’Europe ont commercialisé des solutés isotoniques balancés avec électrolytes et une faible concentration de glucose, mais ces produits ne sont actuellement pas disponibles pour les anesthésiste français. En accord avec la pratique réalisée dans des nombreux centres français, l’Association des anesthésistes réanimateurs d’expression française (Adarpef) a proposé une solution de remplacement au « soluté B66 » comprenant du Ringer Lactate et du sérum glucosé à 30 %, en attendant la commercialisation de solutions adaptées. Pour rappel, un consensus d’anesthésistes pédiatriques européens a déterminé qu’une solution appropriée pour la perfusion chez les enfants devait avoir une teneur en osmolarité et de sodium proche du plasma physiologique, une addition de 1 à 2,5 % de glucose, et inclure des anions métaboliques comme précurseurs des bicarbonates afin d’éviter les perturbations importantes de l’équilibre acido-basique. Une surveillance peropératoire attentive et l’adaptation de la vitesse de perfusion en fonction des besoins restent des mesures cruciales dans la prise en charge des enfants. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.362-367
Titre : Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l’enfant : Que faire sans le B66 ? Type de document : revue Auteurs : Christophe Dadure, Auteur ; Chrystelle Sola, Auteur ; Caroline Couchepin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.362-367 Langues : Français Mots-clés : enfant
hydroélectrolytique
perfusion
période périopératoireRésumé : La perfusion peropératoire a pour but de suppléer aux besoins hydroélectrolytiques. Le but essentiel de cette prise en charge est de maintenir un équilibre entre les pertes et les apports d’eau, d’électrolytes et de glucose. Le développement fonctionnel et structurel spécifique de l’enfant a pour conséquence un métabolisme plus important que celui de l’adulte, consommant de manière relative plus d’oxygène et de calories. De plus, le compartiment hydrique du corps est d’autant plus important que l’enfant est jeune. Chez l’enfant, des règles spécifiques de perfusions intraveineuses ont été établies prenant en compte le contexte chirurgical et le jeûne préopératoire. Le choix du soluté de perfusion périopératoire est essentiel et peut conduire à des complications dramatiques en cas de choix inadapté à la situation clinique (hyponatrémie sévère, hypo- ou hyperglycémie). En France, un soluté polyionique largement utilisé, contenant 0,9 % de dextrose dénommé « B66 », a connu un arrêt de sa commercialisation en 2015. Quelques pays d’Europe ont commercialisé des solutés isotoniques balancés avec électrolytes et une faible concentration de glucose, mais ces produits ne sont actuellement pas disponibles pour les anesthésiste français. En accord avec la pratique réalisée dans des nombreux centres français, l’Association des anesthésistes réanimateurs d’expression française (Adarpef) a proposé une solution de remplacement au « soluté B66 » comprenant du Ringer Lactate et du sérum glucosé à 30 %, en attendant la commercialisation de solutions adaptées. Pour rappel, un consensus d’anesthésistes pédiatriques européens a déterminé qu’une solution appropriée pour la perfusion chez les enfants devait avoir une teneur en osmolarité et de sodium proche du plasma physiologique, une addition de 1 à 2,5 % de glucose, et inclure des anions métaboliques comme précurseurs des bicarbonates afin d’éviter les perturbations importantes de l’équilibre acido-basique. Une surveillance peropératoire attentive et l’adaptation de la vitesse de perfusion en fonction des besoins restent des mesures cruciales dans la prise en charge des enfants. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Recommandations sur la prise en charge du tabagisme en période périopératoire / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°5 (octobre 2016)
[article] Recommandations sur la prise en charge du tabagisme en période périopératoire [revue] / SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation, Auteur ; Sébastien Pierre, Auteur ; Caroline Rivera, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.368-376.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.368-376
Mots-clés : péri opératoire
prise en charge
recommandation
tabagisme[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°5 (octobre 2016) . - p.368-376
Titre : Recommandations sur la prise en charge du tabagisme en période périopératoire Type de document : revue Auteurs : SFAR Société française d'anesthésie et de réanimation, Auteur ; Sébastien Pierre, Auteur ; Caroline Rivera, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.368-376 Langues : Français Mots-clés : péri opératoire
prise en charge
recommandation
tabagismeExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029729 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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00029729 | Rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
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