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Santé publique . vol.28 n°4Mention de date : juillet août 2016Paru le : 01/07/2016 |
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Ajouter le résultat dans votre panierEnfants atteints de maladies chroniques et activités périscolaires : des besoins de formation / Agnès Desserprix in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Enfants atteints de maladies chroniques et activités périscolaires : des besoins de formation [revue] / Agnès Desserprix, Auteur ; Claire Marchand, Auteur ; Cyril Crozet, Auteur . - 2016 . - p.439-449.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.439-449
Mots-clés : encadrant
enfant
formation
maladie chronique
PAI projet d'accueil individualisé
périscolaireRésumé : Objectif : Dans le contexte actuel d’augmentation du nombre d’enfants atteints de maladies chroniques et du nombre de personnes encadrant les activités périscolaires, des difficultés semblent persister malgré l’élaboration de Projets d’Accueil Individualisé (PAI). L’étude explore l’accessibilité et l’utilité des informations contenues dans les PAI et l’intérêt d’un document complémentaire.
Méthodes : À partir de messages-clés identifiés par des experts des quatre maladies chroniques les plus fréquentes, un questionnaire a été élaboré et envoyé aux personnes encadrant des activités périscolaires, dans trois circonscriptions du département de Saône et Loire. Une analyse statistique descriptive a été réalisée.
Résultats : Cinquante-cinq personnes ont participé à l’étude. 30 (54,5 %) avaient déjà encadré des enfants atteints de maladies chroniques. Parmi eux, 21 (70 %) avaient pu lire le PAI et 17 (57 %) avaient participé à une réunion d’information. 23 sur 28 (82 %) [*] ont estimé aidantes les informations contenues dans le PAI et 21 (81 %) ont exprimé leurs besoins d’informations complémentaires. 98 % des répondants ont estimé utile de disposer d’un document complémentaire au PAI. Les principaux besoins des encadrants correspondaient à trois principales compétences d’auto-soins : repérer, analyser, mesurer ; faire face, décider ; résoudre un problème de prévention.
Conclusion : Cette étude confirme l’utilité du PAI mais aussi le manque de préparation des encadrants des activités périscolaires. Elle met en évidence des besoins de formation pour permettre aux encadrants d’assurer la sécurité des enfants atteints de maladies chroniques.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.439-449
Titre : Enfants atteints de maladies chroniques et activités périscolaires : des besoins de formation Type de document : revue Auteurs : Agnès Desserprix, Auteur ; Claire Marchand, Auteur ; Cyril Crozet, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.439-449 Langues : Français Mots-clés : encadrant
enfant
formation
maladie chronique
PAI projet d'accueil individualisé
périscolaireRésumé : Objectif : Dans le contexte actuel d’augmentation du nombre d’enfants atteints de maladies chroniques et du nombre de personnes encadrant les activités périscolaires, des difficultés semblent persister malgré l’élaboration de Projets d’Accueil Individualisé (PAI). L’étude explore l’accessibilité et l’utilité des informations contenues dans les PAI et l’intérêt d’un document complémentaire.
Méthodes : À partir de messages-clés identifiés par des experts des quatre maladies chroniques les plus fréquentes, un questionnaire a été élaboré et envoyé aux personnes encadrant des activités périscolaires, dans trois circonscriptions du département de Saône et Loire. Une analyse statistique descriptive a été réalisée.
Résultats : Cinquante-cinq personnes ont participé à l’étude. 30 (54,5 %) avaient déjà encadré des enfants atteints de maladies chroniques. Parmi eux, 21 (70 %) avaient pu lire le PAI et 17 (57 %) avaient participé à une réunion d’information. 23 sur 28 (82 %) [*] ont estimé aidantes les informations contenues dans le PAI et 21 (81 %) ont exprimé leurs besoins d’informations complémentaires. 98 % des répondants ont estimé utile de disposer d’un document complémentaire au PAI. Les principaux besoins des encadrants correspondaient à trois principales compétences d’auto-soins : repérer, analyser, mesurer ; faire face, décider ; résoudre un problème de prévention.
Conclusion : Cette étude confirme l’utilité du PAI mais aussi le manque de préparation des encadrants des activités périscolaires. Elle met en évidence des besoins de formation pour permettre aux encadrants d’assurer la sécurité des enfants atteints de maladies chroniques.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Bougeons notre santé ! L’expérience de 40 ateliers de motivation à l’activité physique / Catherine Bouté in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Bougeons notre santé ! L’expérience de 40 ateliers de motivation à l’activité physique [revue] / Catherine Bouté, Auteur ; Elisabeth Cailliez, Auteur ; Alain D’Hour, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.451-460.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.451-460
Mots-clés : activité physique
alimentation
habitude de vie
podomètreRésumé : Objectif : Mettre en place des ateliers de promotion de l’activité physique dans une structure de prévention afin d’aider des personnes sédentaires à avoir une activité physique quotidienne suffisante.
Méthodes : Depuis 2006, quatre centres d’examens de santé des Pays de la Loire se sont engagés dans un programme de motivation à l’activité physique. Cet article présente comment s’est créé, mis en place et déroulé ce programme, sa faisabilité, sa cohérence dans une démarche de prévention et les principaux résultats. « Bougeons Notre Santé » comporte quatre séances en groupe sur plusieurs mois au cours desquelles les participants échangent et voient évoluer le niveau quantitatif et qualitatif d’activité physique. Des objectifs personnalisés, réalistes et réalisables sont définis en concertation avec les personnes dans leur vie quotidienne, et mesurés à l’aide d’outils (podomètre, carnet de suivi). Un accompagnement à l’équilibre alimentaire est également assuré. Cette action est l’occasion de promouvoir, informer et orienter vers les ressources locales existantes.
Résultats : Quarante ateliers ont été réalisés depuis 2006, auprès de 275 personnes. À l’issue du programme, les participants avaient augmenté leur niveau d’activité physique (+723 pas par jour) et déclaraient avoir modifié leurs habitudes alimentaires (85 %).
Conclusion : Cette action est réalisable et efficace : une augmentation du niveau d’activité des participants a été enregistrée, ainsi qu’une évolution favorable de la santé ressentie, du bien-être et du lien social. Ces ateliers s’intègrent dans un réseau de partenariats associatifs et institutionnels et peuvent être réalisés par tout organisme médico-social.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.451-460
Titre : Bougeons notre santé ! L’expérience de 40 ateliers de motivation à l’activité physique Type de document : revue Auteurs : Catherine Bouté, Auteur ; Elisabeth Cailliez, Auteur ; Alain D’Hour, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.451-460 Langues : Français Mots-clés : activité physique
alimentation
habitude de vie
podomètreRésumé : Objectif : Mettre en place des ateliers de promotion de l’activité physique dans une structure de prévention afin d’aider des personnes sédentaires à avoir une activité physique quotidienne suffisante.
Méthodes : Depuis 2006, quatre centres d’examens de santé des Pays de la Loire se sont engagés dans un programme de motivation à l’activité physique. Cet article présente comment s’est créé, mis en place et déroulé ce programme, sa faisabilité, sa cohérence dans une démarche de prévention et les principaux résultats. « Bougeons Notre Santé » comporte quatre séances en groupe sur plusieurs mois au cours desquelles les participants échangent et voient évoluer le niveau quantitatif et qualitatif d’activité physique. Des objectifs personnalisés, réalistes et réalisables sont définis en concertation avec les personnes dans leur vie quotidienne, et mesurés à l’aide d’outils (podomètre, carnet de suivi). Un accompagnement à l’équilibre alimentaire est également assuré. Cette action est l’occasion de promouvoir, informer et orienter vers les ressources locales existantes.
Résultats : Quarante ateliers ont été réalisés depuis 2006, auprès de 275 personnes. À l’issue du programme, les participants avaient augmenté leur niveau d’activité physique (+723 pas par jour) et déclaraient avoir modifié leurs habitudes alimentaires (85 %).
Conclusion : Cette action est réalisable et efficace : une augmentation du niveau d’activité des participants a été enregistrée, ainsi qu’une évolution favorable de la santé ressentie, du bien-être et du lien social. Ces ateliers s’intègrent dans un réseau de partenariats associatifs et institutionnels et peuvent être réalisés par tout organisme médico-social.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Enjeux économiques et politiques publiques de lutte contre la consommation nocive d’alcool en France / Miléna Spach in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Enjeux économiques et politiques publiques de lutte contre la consommation nocive d’alcool en France [revue] / Miléna Spach, Auteur . - 2016 . - p.461-470.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.461-470
Mots-clés : alcool
consommation
fiscalité
mortalité
politique nationale de santé
politique publique
taxeRésumé : Objectif : Analyser le poids du marché alcoolier sur la mise en place de politiques publiques volontaristes, au travers d’une revue de la littérature critique des politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool.
Méthode : Une recherche documentaire et une analyse des données économique du marché alcoolier en France ont été réalisées. Le panorama des politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool a été élaboré d’un point de vue historique, en distinguant les politiques de lutte contre l’ivresse, de protection des populations vulnérables, de lutte contre l’alcoolémie au volant ou encore en milieu professionnel.
Résultats : Les politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool visent principalement à diminuer les conséquences nocives de l’alcool survenant à l’issue d’un épisode de consommation (accident de la route, accidents de la voie publique, etc.), en négligeant les conséquences de long terme (cancer, cirrhose, etc.). De plus, tandis que la taxation figure parmi les outils de santé publique les plus efficaces pour diminuer le coût que l’alcool fait supporter à la société, l’État exerce une protection législative et fiscale sur les boissons alcooliques françaises. En particulier, le vin bénéficie d’une taxation inférieure aux autres alcools dont le titre alcoométrique volumique est supérieur (eaux-de-vie, liqueurs, etc.). Une explication quant à l’orientation des politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool réside dans le poids économique de l’alcool.
Conclusion : Au regard de la mortalité engendrée par l’abus d’alcool, l’engagement de la France dans une politique publique volontariste est nécessaire. Dans ce sens, une politique de taxation de l’alcool selon la quantité d’alcool contenue, l’instauration d’un prix-plancher du gramme d’alcool ou encore l’augmentation des taxes sur l’alcool sont autant de politiques à considérer en vue d’infléchir la mortalité liée à l’alcool.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.461-470
Titre : Enjeux économiques et politiques publiques de lutte contre la consommation nocive d’alcool en France Type de document : revue Auteurs : Miléna Spach, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.461-470 Langues : Français Mots-clés : alcool
consommation
fiscalité
mortalité
politique nationale de santé
politique publique
taxeRésumé : Objectif : Analyser le poids du marché alcoolier sur la mise en place de politiques publiques volontaristes, au travers d’une revue de la littérature critique des politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool.
Méthode : Une recherche documentaire et une analyse des données économique du marché alcoolier en France ont été réalisées. Le panorama des politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool a été élaboré d’un point de vue historique, en distinguant les politiques de lutte contre l’ivresse, de protection des populations vulnérables, de lutte contre l’alcoolémie au volant ou encore en milieu professionnel.
Résultats : Les politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool visent principalement à diminuer les conséquences nocives de l’alcool survenant à l’issue d’un épisode de consommation (accident de la route, accidents de la voie publique, etc.), en négligeant les conséquences de long terme (cancer, cirrhose, etc.). De plus, tandis que la taxation figure parmi les outils de santé publique les plus efficaces pour diminuer le coût que l’alcool fait supporter à la société, l’État exerce une protection législative et fiscale sur les boissons alcooliques françaises. En particulier, le vin bénéficie d’une taxation inférieure aux autres alcools dont le titre alcoométrique volumique est supérieur (eaux-de-vie, liqueurs, etc.). Une explication quant à l’orientation des politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool réside dans le poids économique de l’alcool.
Conclusion : Au regard de la mortalité engendrée par l’abus d’alcool, l’engagement de la France dans une politique publique volontariste est nécessaire. Dans ce sens, une politique de taxation de l’alcool selon la quantité d’alcool contenue, l’instauration d’un prix-plancher du gramme d’alcool ou encore l’augmentation des taxes sur l’alcool sont autant de politiques à considérer en vue d’infléchir la mortalité liée à l’alcool.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Codage d’emplois : retour d’expérience d’une étude menée en service de santé au travail / Jean-Bernard Henrotin in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Codage d’emplois : retour d’expérience d’une étude menée en service de santé au travail [revue] / Jean-Bernard Henrotin, Auteur ; Monique Vaissière, Auteur ; Maryline Etaix, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.471-480.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.471-480
Mots-clés : codage
méthodologie
nomenclature
profession
santé au travail
socio professionnelRésumé : Objectif : Examiner la qualité d’un codage manuel d’emploi réalisé par des équipes de santé au travail, ayant accès à une application de Codage assisté des professions et des secteurs d’activité (CAPS).
Méthodes : Les données d’une étude menée en service interentreprises, ont servi de base à l’examen du codage de 1 495 emplois avec la nomenclature des Professions et catégories socio-professionnelles 2003 (PCS) de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Une confrontation entre ce premier niveau de codage et un second niveau opéré par un codeur expérimenté a été réalisée. La concordance a été étudiée à l’aide du coefficient kappa (κ) et la comparaison de fréquence par des tests du Chi2.
Résultats : Il est rapporté un problème spécifique de codes absents ou erronés pour la variable emploi à hauteur de 14,5 % pour les groupes sociaux (un digit) et 25,7 % pour le code profession (quatre digits). Si la concordance des deux premiers niveaux de la PCS semble satisfaisant (κ = 0,73 et κ = 0,75), il est constaté aussi des déséquilibres dans les flux de reclassement. Pour le codage des professions, le taux de codes divergents est de 48,2 %. Après corrections des divergences et données manquantes, des variations dans l’expression de variables socio-professionnelles pouvaient atteindre jusqu’à 8,6 %.
Conclusions : Comparée à d’autres études, l’utilisation de l’outil CAPS semble apporter une aide efficace à la codification. Toutefois, nos résultats plaident aussi pour que le codage des emplois avec la PCS 2003 se fassent avec l’utilisation d’informations auxiliaires et par des personnes formées à son utilisation.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.471-480
Titre : Codage d’emplois : retour d’expérience d’une étude menée en service de santé au travail Type de document : revue Auteurs : Jean-Bernard Henrotin, Auteur ; Monique Vaissière, Auteur ; Maryline Etaix, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.471-480 Langues : Français Mots-clés : codage
méthodologie
nomenclature
profession
santé au travail
socio professionnelRésumé : Objectif : Examiner la qualité d’un codage manuel d’emploi réalisé par des équipes de santé au travail, ayant accès à une application de Codage assisté des professions et des secteurs d’activité (CAPS).
Méthodes : Les données d’une étude menée en service interentreprises, ont servi de base à l’examen du codage de 1 495 emplois avec la nomenclature des Professions et catégories socio-professionnelles 2003 (PCS) de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Une confrontation entre ce premier niveau de codage et un second niveau opéré par un codeur expérimenté a été réalisée. La concordance a été étudiée à l’aide du coefficient kappa (κ) et la comparaison de fréquence par des tests du Chi2.
Résultats : Il est rapporté un problème spécifique de codes absents ou erronés pour la variable emploi à hauteur de 14,5 % pour les groupes sociaux (un digit) et 25,7 % pour le code profession (quatre digits). Si la concordance des deux premiers niveaux de la PCS semble satisfaisant (κ = 0,73 et κ = 0,75), il est constaté aussi des déséquilibres dans les flux de reclassement. Pour le codage des professions, le taux de codes divergents est de 48,2 %. Après corrections des divergences et données manquantes, des variations dans l’expression de variables socio-professionnelles pouvaient atteindre jusqu’à 8,6 %.
Conclusions : Comparée à d’autres études, l’utilisation de l’outil CAPS semble apporter une aide efficace à la codification. Toutefois, nos résultats plaident aussi pour que le codage des emplois avec la PCS 2003 se fassent avec l’utilisation d’informations auxiliaires et par des personnes formées à son utilisation.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Facteurs comportementaux, radiologiques et histopronostiques des cancers du sein de plus de 20 mm détectés dans le programme français de dépistage organisé / Claude Pierre Gautier in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Facteurs comportementaux, radiologiques et histopronostiques des cancers du sein de plus de 20 mm détectés dans le programme français de dépistage organisé [revue] / Claude Pierre Gautier, Auteur ; Caroline Tournoux-Facon, Auteur ; Raouchan Rymzhanova, Auteur . - 2016 . - p.481-486.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.481-486
Mots-clés : cancer du sein
dépistage
diagnostic
mammographie
tumeurRésumé : Grâce à la collaboration de l’ensemble des médecins coordinateurs chargés du dépistage en France, les auteurs ont étudié des facteurs relatifs à l’histoire personnelle, les caractéristiques des mammographies précédant le diagnostic et des tumeurs de femmes présentant un cancer du sein de plus de 20 mm. Cette étude rétrospective a concerné 7 407 cancers diagnostiqués dans le cadre du dépistage organisé et mesurant plus de 20 mm.
Si les critères d’agressivité de la tumeur sont plus marqués ou des facteurs technologiques plus souvent rencontrés, il apparaît que la fidélité au dépistage organisé soit un élément déterminant dans la découverte de ces « grosses tumeurs ».
Il est impératif que les citoyens s’emparent de ces programmes de dépistage organisé si l’on espère jouer un rôle décisif dans le pronostic du cancer du sein.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.481-486
Titre : Facteurs comportementaux, radiologiques et histopronostiques des cancers du sein de plus de 20 mm détectés dans le programme français de dépistage organisé Type de document : revue Auteurs : Claude Pierre Gautier, Auteur ; Caroline Tournoux-Facon, Auteur ; Raouchan Rymzhanova, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.481-486 Langues : Français Mots-clés : cancer du sein
dépistage
diagnostic
mammographie
tumeurRésumé : Grâce à la collaboration de l’ensemble des médecins coordinateurs chargés du dépistage en France, les auteurs ont étudié des facteurs relatifs à l’histoire personnelle, les caractéristiques des mammographies précédant le diagnostic et des tumeurs de femmes présentant un cancer du sein de plus de 20 mm. Cette étude rétrospective a concerné 7 407 cancers diagnostiqués dans le cadre du dépistage organisé et mesurant plus de 20 mm.
Si les critères d’agressivité de la tumeur sont plus marqués ou des facteurs technologiques plus souvent rencontrés, il apparaît que la fidélité au dépistage organisé soit un élément déterminant dans la découverte de ces « grosses tumeurs ».
Il est impératif que les citoyens s’emparent de ces programmes de dépistage organisé si l’on espère jouer un rôle décisif dans le pronostic du cancer du sein.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible La télémédecine en zones rurales : représentations et expériences de médecins généralistes / Maxime Durupt in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] La télémédecine en zones rurales : représentations et expériences de médecins généralistes [revue] / Maxime Durupt, Auteur ; Olivier Bouchy, Auteur ; Sonia Christophe, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.487-497.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.487-497
Mots-clés : accès aux soins
démographie
médecine générale
recherche
téléconsultation
télémédecineRésumé : Introduction : La télémédecine constitue une nouvelle forme de pratique médicale dont le développement est aujourd’hui en pleine expansion. Elle trouve un écho particulier dans certains territoires lorrains où le déficit en médecins généralistes et spécialistes nécessite le développement de nouvelles formes de pratiques. L’objectif de cette étude était d’explorer les représentations de la télémédecine, et de la téléconsultation en particulier, des médecins généralistes exerçant en zones déficitaires en offre de soins en Lorraine et d’identifier les avantages et désavantages perçus de son développement.
Méthodes : Une analyse qualitative a été faite à partir de cinq focus groupes réalisés avec 32 médecins entre juin 2014 et juillet 2015 dans un territoire à faible densité médicale.
Résultats : Cette étude montre qu’il existe une méconnaissance générale de la télémédecine. Les médecins expriment leur désir de préserver leur rôle de pivot et d’être acteurs de cette télémédecine qui ne devra pas leur être imposée. Les réticences en termes d’aspects juridiques et financiers sont des freins à son développement. Enfin, la télémédecine devra respecter un cadre légal en termes de responsabilité médicale et de sécurisation des données.
Discussion : Chaque mois, plus de cent actes de télémédecine sont réalisés en Lorraine. Bien qu’il s’agisse d’une solution permettant de faciliter l’accès aux soins dans les zones déficitaires, les médecins semblent vouloir préserver leur relation médecin-patient et ne se sentent pas prêts à modifier leur pratique.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.487-497
Titre : La télémédecine en zones rurales : représentations et expériences de médecins généralistes Type de document : revue Auteurs : Maxime Durupt, Auteur ; Olivier Bouchy, Auteur ; Sonia Christophe, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.487-497 Langues : Français Mots-clés : accès aux soins
démographie
médecine générale
recherche
téléconsultation
télémédecineRésumé : Introduction : La télémédecine constitue une nouvelle forme de pratique médicale dont le développement est aujourd’hui en pleine expansion. Elle trouve un écho particulier dans certains territoires lorrains où le déficit en médecins généralistes et spécialistes nécessite le développement de nouvelles formes de pratiques. L’objectif de cette étude était d’explorer les représentations de la télémédecine, et de la téléconsultation en particulier, des médecins généralistes exerçant en zones déficitaires en offre de soins en Lorraine et d’identifier les avantages et désavantages perçus de son développement.
Méthodes : Une analyse qualitative a été faite à partir de cinq focus groupes réalisés avec 32 médecins entre juin 2014 et juillet 2015 dans un territoire à faible densité médicale.
Résultats : Cette étude montre qu’il existe une méconnaissance générale de la télémédecine. Les médecins expriment leur désir de préserver leur rôle de pivot et d’être acteurs de cette télémédecine qui ne devra pas leur être imposée. Les réticences en termes d’aspects juridiques et financiers sont des freins à son développement. Enfin, la télémédecine devra respecter un cadre légal en termes de responsabilité médicale et de sécurisation des données.
Discussion : Chaque mois, plus de cent actes de télémédecine sont réalisés en Lorraine. Bien qu’il s’agisse d’une solution permettant de faciliter l’accès aux soins dans les zones déficitaires, les médecins semblent vouloir préserver leur relation médecin-patient et ne se sentent pas prêts à modifier leur pratique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Participation des médecins généralistes dans les prises en charge de leurs patients en hospitalisation à domicile / Inès Leung in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Participation des médecins généralistes dans les prises en charge de leurs patients en hospitalisation à domicile [revue] / Inès Leung, Auteur ; Enrique Casalino, Auteur ; Dominique Pateron, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.499-504.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.499-504
Mots-clés : étude médicale
HAD hospitalisation à domicile
médecin généraliste
qualitéRésumé : Objectifs : L’hospitalisation à domicile (HAD) se développe en France et nécessite la participation des médecins généralistes pour la prise en charge de leurs patients. L’objectif de l’étude est d’identifier les incitatifs et les obstacles à la participation des médecins généralistes en HAD.
Méthodes : Une étude qualitative a été réalisée à partir d’entretiens semi-dirigés au cours d’un focus groupe auprès de 12 médecins généralistes franciliens. Tous les entretiens ont été enregistrés puis retranscrits sous la forme de verbatims et l’analyse des données a utilisé la méthode de la théorie enracinée (Grounded Theory).
Résultats : Les médecins généralistes avaient une bonne connaissance des indications et des lieux d’intervention de l’HAD mais ils exprimaient des difficultés sur le circuit de la demande d’entrée. Les médecins généralistes identifiaient des difficultés de positionnement dans les prises en charge de leur patients mais améliorées par leur expertise clinique à domicile. Les médecins insistaient sur la complexité des soins à domicile mais ils pouvaient s’appuyer sur l’expertise du médecin coordonnateur et ils étaient demandeurs de formation.
Conclusions : Cette étude a identifié les incitatifs et les obstacles à la participation des médecins généralistes en HAD. Il apparaissait indispensable de simplifier le circuit de la demande d’entrée en HAD via la médecine de ville, de renforcer les incitations pour les visites à domicile et de soutenir les médecins généralistes dans les prises en charge des soins complexes.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.499-504
Titre : Participation des médecins généralistes dans les prises en charge de leurs patients en hospitalisation à domicile Type de document : revue Auteurs : Inès Leung, Auteur ; Enrique Casalino, Auteur ; Dominique Pateron, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.499-504 Langues : Français Mots-clés : étude médicale
HAD hospitalisation à domicile
médecin généraliste
qualitéRésumé : Objectifs : L’hospitalisation à domicile (HAD) se développe en France et nécessite la participation des médecins généralistes pour la prise en charge de leurs patients. L’objectif de l’étude est d’identifier les incitatifs et les obstacles à la participation des médecins généralistes en HAD.
Méthodes : Une étude qualitative a été réalisée à partir d’entretiens semi-dirigés au cours d’un focus groupe auprès de 12 médecins généralistes franciliens. Tous les entretiens ont été enregistrés puis retranscrits sous la forme de verbatims et l’analyse des données a utilisé la méthode de la théorie enracinée (Grounded Theory).
Résultats : Les médecins généralistes avaient une bonne connaissance des indications et des lieux d’intervention de l’HAD mais ils exprimaient des difficultés sur le circuit de la demande d’entrée. Les médecins généralistes identifiaient des difficultés de positionnement dans les prises en charge de leur patients mais améliorées par leur expertise clinique à domicile. Les médecins insistaient sur la complexité des soins à domicile mais ils pouvaient s’appuyer sur l’expertise du médecin coordonnateur et ils étaient demandeurs de formation.
Conclusions : Cette étude a identifié les incitatifs et les obstacles à la participation des médecins généralistes en HAD. Il apparaissait indispensable de simplifier le circuit de la demande d’entrée en HAD via la médecine de ville, de renforcer les incitations pour les visites à domicile et de soutenir les médecins généralistes dans les prises en charge des soins complexes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Évolution des pratiques en médecine générale dans la prise en charge des douleurs neuropathiques / Mathieu Poucher in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Évolution des pratiques en médecine générale dans la prise en charge des douleurs neuropathiques [revue] / Mathieu Poucher, Auteur ; Claude Cherrier, Auteur ; Anne-Christelle Poucher, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.505-516.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.505-516
Mots-clés : douleur
médecin généraliste
neuropathie
pratique professionnelle
thérapeutiqueRésumé : Objectif : L’objectif était de déterminer les pratiques actuelles en région Lorraine dans le traitement des douleurs neuropathiques et d’évaluer les difficultés rencontrées par les médecins généralistes.
Méthodes : Nous avons effectué une étude qualitative par la technique des groupes d’entretien collectifs semi-dirigés, en constituant un panel raisonné de médecins, afin de répondre à des critères de diversification. Le nombre de groupes d’entretien a été fixé dans le but d’obtenir une saturation des données. L’auteur principal de cette étude avait le rôle d’observateur, tandis qu’un animateur s’est chargé de modérer le débat. L’analyse des verbatims s’est faite selon deux méthodes : d’une part, plusieurs lectures des retranscriptions afin d’en ressortir les grandes idées émergentes, et d’autre part, une intégration des verbatims dans le logiciel informatique NVivo version 10, afin de disposer d’une analyse informatique en complément.
Résultats : Les médecins interrogés ont déclaré moins prescrire de Clonazépam (Rivotril®), Carbamazépine (Tégrétol®) et Amytriptiline (Laroxyl®) qu’il y a dix ans, et plus de Gabapentine (Neurontin®), Prégabaline (Lyrica®), Venlafaxine (Effexor®) et Duloxétine (Cymbalta®). Ils ont déclaré rencontrer de nombreuses difficultés au quotidien dans la prise en charge de ces patients, notamment concernant la part psychologique ou psychiatrique associée à ces douleurs, les co-morbidités, l’iatrogénie, l’inefficacité des molécules disponibles, les difficultés d’accès à un spécialiste (notamment centre « anti-douleur »), l’acceptation du traitement par les patients, la limitation des prescriptions (AMM restrictives, retrait de certains médicaments…).
Conclusion : Le traitement des douleurs neuropathiques pose de nombreuses difficultés au médecin généraliste, mais l’évolution des prescriptions montre une adaptation constante des pratiques.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.505-516
Titre : Évolution des pratiques en médecine générale dans la prise en charge des douleurs neuropathiques Type de document : revue Auteurs : Mathieu Poucher, Auteur ; Claude Cherrier, Auteur ; Anne-Christelle Poucher, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.505-516 Langues : Français Mots-clés : douleur
médecin généraliste
neuropathie
pratique professionnelle
thérapeutiqueRésumé : Objectif : L’objectif était de déterminer les pratiques actuelles en région Lorraine dans le traitement des douleurs neuropathiques et d’évaluer les difficultés rencontrées par les médecins généralistes.
Méthodes : Nous avons effectué une étude qualitative par la technique des groupes d’entretien collectifs semi-dirigés, en constituant un panel raisonné de médecins, afin de répondre à des critères de diversification. Le nombre de groupes d’entretien a été fixé dans le but d’obtenir une saturation des données. L’auteur principal de cette étude avait le rôle d’observateur, tandis qu’un animateur s’est chargé de modérer le débat. L’analyse des verbatims s’est faite selon deux méthodes : d’une part, plusieurs lectures des retranscriptions afin d’en ressortir les grandes idées émergentes, et d’autre part, une intégration des verbatims dans le logiciel informatique NVivo version 10, afin de disposer d’une analyse informatique en complément.
Résultats : Les médecins interrogés ont déclaré moins prescrire de Clonazépam (Rivotril®), Carbamazépine (Tégrétol®) et Amytriptiline (Laroxyl®) qu’il y a dix ans, et plus de Gabapentine (Neurontin®), Prégabaline (Lyrica®), Venlafaxine (Effexor®) et Duloxétine (Cymbalta®). Ils ont déclaré rencontrer de nombreuses difficultés au quotidien dans la prise en charge de ces patients, notamment concernant la part psychologique ou psychiatrique associée à ces douleurs, les co-morbidités, l’iatrogénie, l’inefficacité des molécules disponibles, les difficultés d’accès à un spécialiste (notamment centre « anti-douleur »), l’acceptation du traitement par les patients, la limitation des prescriptions (AMM restrictives, retrait de certains médicaments…).
Conclusion : Le traitement des douleurs neuropathiques pose de nombreuses difficultés au médecin généraliste, mais l’évolution des prescriptions montre une adaptation constante des pratiques.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Le genre est-il un facteur associé à la mise sous traitement antirétroviral au Centre de Traitement Ambulatoire de Brazzaville ? / Martin Herbas Ekat in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Le genre est-il un facteur associé à la mise sous traitement antirétroviral au Centre de Traitement Ambulatoire de Brazzaville ? [revue] / Martin Herbas Ekat, Auteur ; Lambert Assoumou, Auteur ; Merlin Diafouka, Auteur . - 2016 . - p.517-524.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.517-524
Mots-clés : accès aux soins
accessibilité
Afrique
antirétroviraux
RDC république démocratique du Congo
service de santéRésumé : Objectif : À l’avènement du traitement antirétroviral en Afrique, il y avait des inquiétudes liées au fait des inégalités sociales traditionnellement construites entre les sexes, que les hommes aient un meilleur accès aux soins liés au VIH comparé aux femmes. Cette étude a pour but d’évaluer la mise sous traitement antirétroviral, en prenant en compte l’aspect genre, au Centre de Traitement Ambulatoire de Brazzaville (CTA), Congo.
Méthodologie : Étude de cohorte rétrospective des patients dépistés VIH-positifs, inscrits au CTA, entre 2005 et 2006, qui ont été suivi pendant quatre ans jusqu’à décembre 2010. Le critère de jugement principal a été la proportion de patients mis sous traitement antirétroviral parmi ceux remplissant les conditions de mise sous traitement antirétroviral. Les facteurs associés à la mise sous traitement antirétroviral ont été évalués en utilisant le modèle de Cox. La courbe de Kaplan-Meier a été utilisée pour estimer la proportion des patients débutant le traitement antirétroviral.
Résultats : Au total, 1 012 patients ont été inclus, l’âge médian était de 38,15 ans (IIQ : 31,81 – 44,54), 814 (84,8 %) avaient un taux de CD4 initial < 200 cellules/mm3 et 604 (59,7 %) étaient au stade clinique III et IV de l’OMS. Parmi eux, 64,82 % étaient des femmes dont 559 (85,2 %) étaient sans revenu mensuel régulier comparé à 191 (53,7 %) hommes (p < 0,05). Cinq cent quarante-deux patients (53,56 %) ont été mis sous traitement antirétroviral. Le délai médian pour débuter le traitement était de 28,42 semaines. Les hommes (aHR : 1,56 ; IC95 % = 1,13 – 2,16 ; p = 0,007) et les patients avec un taux d’hémoglobine initial > 10 g/dl (aHR : 1,68 ; IC95 % : 1,25 – 2,27 ; p = 0,001) avaient plus de chance d’être mis sous traitement antirétroviral.
Conclusion : Les patients admis au CTA de Brazzaville étaient majoritairement des femmes avec un revenu mensuel irrégulier. Le fait d’être un homme et avoir un taux d’hémoglobine initial supérieure ou égal à 10 g/dl étaient associés à une mise sous traitement plus rapide.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.517-524
Titre : Le genre est-il un facteur associé à la mise sous traitement antirétroviral au Centre de Traitement Ambulatoire de Brazzaville ? Type de document : revue Auteurs : Martin Herbas Ekat, Auteur ; Lambert Assoumou, Auteur ; Merlin Diafouka, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.517-524 Langues : Français Mots-clés : accès aux soins
accessibilité
Afrique
antirétroviraux
RDC république démocratique du Congo
service de santéRésumé : Objectif : À l’avènement du traitement antirétroviral en Afrique, il y avait des inquiétudes liées au fait des inégalités sociales traditionnellement construites entre les sexes, que les hommes aient un meilleur accès aux soins liés au VIH comparé aux femmes. Cette étude a pour but d’évaluer la mise sous traitement antirétroviral, en prenant en compte l’aspect genre, au Centre de Traitement Ambulatoire de Brazzaville (CTA), Congo.
Méthodologie : Étude de cohorte rétrospective des patients dépistés VIH-positifs, inscrits au CTA, entre 2005 et 2006, qui ont été suivi pendant quatre ans jusqu’à décembre 2010. Le critère de jugement principal a été la proportion de patients mis sous traitement antirétroviral parmi ceux remplissant les conditions de mise sous traitement antirétroviral. Les facteurs associés à la mise sous traitement antirétroviral ont été évalués en utilisant le modèle de Cox. La courbe de Kaplan-Meier a été utilisée pour estimer la proportion des patients débutant le traitement antirétroviral.
Résultats : Au total, 1 012 patients ont été inclus, l’âge médian était de 38,15 ans (IIQ : 31,81 – 44,54), 814 (84,8 %) avaient un taux de CD4 initial < 200 cellules/mm3 et 604 (59,7 %) étaient au stade clinique III et IV de l’OMS. Parmi eux, 64,82 % étaient des femmes dont 559 (85,2 %) étaient sans revenu mensuel régulier comparé à 191 (53,7 %) hommes (p < 0,05). Cinq cent quarante-deux patients (53,56 %) ont été mis sous traitement antirétroviral. Le délai médian pour débuter le traitement était de 28,42 semaines. Les hommes (aHR : 1,56 ; IC95 % = 1,13 – 2,16 ; p = 0,007) et les patients avec un taux d’hémoglobine initial > 10 g/dl (aHR : 1,68 ; IC95 % : 1,25 – 2,27 ; p = 0,001) avaient plus de chance d’être mis sous traitement antirétroviral.
Conclusion : Les patients admis au CTA de Brazzaville étaient majoritairement des femmes avec un revenu mensuel irrégulier. Le fait d’être un homme et avoir un taux d’hémoglobine initial supérieure ou égal à 10 g/dl étaient associés à une mise sous traitement plus rapide.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Connaissances et attitudes des jeunes de Bobo-Dioulasso en matière de prévention du VIH et de la grossesse non désirée / Clétus Come Yélian Adohinzin in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Connaissances et attitudes des jeunes de Bobo-Dioulasso en matière de prévention du VIH et de la grossesse non désirée [revue] / Clétus Come Yélian Adohinzin, Auteur ; Nicolas Meda, Auteur ; Georges Anicet Ouédraogo, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.525-534.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.525-534
Mots-clés : Afrique
Burkina Faso
comportement à risque
contraceptif
jeune adulte
santé sexuelle
SIDA syndrome d'immunodéficience acquise
VIH virus d'immunodéficience humaineRésumé : Introduction : Malgré les efforts d’éducation à la santé, les jeunes se trouvent toujours confrontés à d’importants problèmes de santé. L’objectif de cette étude était d’évaluer le niveau des connaissances et attitudes des jeunes de Bobo-Dioulasso sur la santé sexuelle et reproductive.
Méthodes : Sur la base d’un échantillonnage à deux degrés représentant les 94 947 ménages de la commune urbaine de Bobo-Dioulasso, 573 jeunes de 15 à 24 ans ont été interrogés. Cette collecte des données a été réalisée entre septembre 2014 et janvier 2015 dans les trois arrondissements de la commune. Un questionnaire a été utilisé pour évaluer les connaissances et les attitudes des jeunes.
Résultats : Les connaissances exactes des enquêtés sur la transmission, la prévention du VIH et la contraception étaient approximatives. Très peu de jeunes (9 %) avaient une connaissance complète des modes de transmission, et 5 % n’avaient aucune connaissance. La persistance des perceptions erronées sur l’efficacité du préservatif (25 %) et la contraception (32 %) n’empêchaient pas certains jeunes à les utiliser. Les connaissances et les attitudes des jeunes vis-à-vis du VIH et de la contraception variaient selon l’âge, le sexe, le niveau d’éducation et le type de supervision parentale.
Conclusion : Une proportion non négligeable de jeunes continue toujours d’avoir des connaissances insuffisantes sur le VIH/Sida et les contraceptifs. Les actions visant à renforcer les connaissances des jeunes sont de toute importance. Les capacités des parents et des prestataires devraient aussi être renforcées pour l’amélioration de la qualité de leurs relations avec les jeunes.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.525-534
Titre : Connaissances et attitudes des jeunes de Bobo-Dioulasso en matière de prévention du VIH et de la grossesse non désirée Type de document : revue Auteurs : Clétus Come Yélian Adohinzin, Auteur ; Nicolas Meda, Auteur ; Georges Anicet Ouédraogo, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.525-534 Langues : Français Mots-clés : Afrique
Burkina Faso
comportement à risque
contraceptif
jeune adulte
santé sexuelle
SIDA syndrome d'immunodéficience acquise
VIH virus d'immunodéficience humaineRésumé : Introduction : Malgré les efforts d’éducation à la santé, les jeunes se trouvent toujours confrontés à d’importants problèmes de santé. L’objectif de cette étude était d’évaluer le niveau des connaissances et attitudes des jeunes de Bobo-Dioulasso sur la santé sexuelle et reproductive.
Méthodes : Sur la base d’un échantillonnage à deux degrés représentant les 94 947 ménages de la commune urbaine de Bobo-Dioulasso, 573 jeunes de 15 à 24 ans ont été interrogés. Cette collecte des données a été réalisée entre septembre 2014 et janvier 2015 dans les trois arrondissements de la commune. Un questionnaire a été utilisé pour évaluer les connaissances et les attitudes des jeunes.
Résultats : Les connaissances exactes des enquêtés sur la transmission, la prévention du VIH et la contraception étaient approximatives. Très peu de jeunes (9 %) avaient une connaissance complète des modes de transmission, et 5 % n’avaient aucune connaissance. La persistance des perceptions erronées sur l’efficacité du préservatif (25 %) et la contraception (32 %) n’empêchaient pas certains jeunes à les utiliser. Les connaissances et les attitudes des jeunes vis-à-vis du VIH et de la contraception variaient selon l’âge, le sexe, le niveau d’éducation et le type de supervision parentale.
Conclusion : Une proportion non négligeable de jeunes continue toujours d’avoir des connaissances insuffisantes sur le VIH/Sida et les contraceptifs. Les actions visant à renforcer les connaissances des jeunes sont de toute importance. Les capacités des parents et des prestataires devraient aussi être renforcées pour l’amélioration de la qualité de leurs relations avec les jeunes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Évaluation de la prévalence des bilharzioses auprès des enfants de 5 à 14 ans après plusieurs années de traitement de masse dans le bassin du fleuve Sénégal / Moussa Abdellahi in Santé publique, vol.28 n°4 (juillet août 2016)
[article] Évaluation de la prévalence des bilharzioses auprès des enfants de 5 à 14 ans après plusieurs années de traitement de masse dans le bassin du fleuve Sénégal [revue] / Moussa Abdellahi, Auteur ; Oumar Ndir, Auteur ; Saidou Niang, Auteur . - 2016 . - p.535-540.
Langues : Français
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.535-540
Mots-clés : Afrique
bilharziose
SénégalRésumé : Introduction : L’avènement des barrages de Diama et Manantali dans les années 80 a modifié le profil de la Bilharziose dans le bassin du fleuve Sénégal, avec l’apparition de la forme intestinale dans le Delta et la prévalence élevée de la forme urinaire dans toutes les zones écologiques du bassin.
Méthodes : La présente recherche avait pour objectif principal d’évaluer la prévalence des bilharzioses après plusieurs années de traitement de masse avec praziquantel 600 mg permettant l’apprécier la pertinence des directives de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en termes de fréquence d’administration et en particulier dans le bassin du fleuve Sénégal. Les selles et les urines de 1 215 enfants des écoles publiques, répartis entre 24 villages identifiés dans les trois zones écologiques du bassin du fleuve Sénégal que sont le Delta, la Vallée et le Haut bassin, ont été examinées.
Résultats : Ces résultats ont révélé des prévalences endémiques de la bilharziose urinaire dans toutes les zones écologiques du bassin du fleuve Sénégal : 57,4 % dans le Delta, 32,5 % dans la Vallée et 25,1 % dans le Haut bassin. En ce qui concerne la forme intestinale de la bilharziose, une prévalence de 21,8 % a été soulignée dans le Delta du fleuve, ainsi que le passage de cette forme au niveau de la Vallée.
Conclusion : Les résultats de cette recherche ont confirmé que les bilharzioses demeurent toujours un problème de santé publique dans le bassin du fleuve Sénégal malgré plusieurs traitements de masse au praziquantel 600 mg. Cette situation nécessite une réflexion sur les fréquences d’administration de ce médicament dans le bassin du fleuve Sénégal et l’importance de la prise en compte des pratiques sociales et les réalités sociologiques pour l’éradication de la bilharziose.[article]
in Santé publique > vol.28 n°4 (juillet août 2016) . - p.535-540
Titre : Évaluation de la prévalence des bilharzioses auprès des enfants de 5 à 14 ans après plusieurs années de traitement de masse dans le bassin du fleuve Sénégal Type de document : revue Auteurs : Moussa Abdellahi, Auteur ; Oumar Ndir, Auteur ; Saidou Niang, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.535-540 Langues : Français Mots-clés : Afrique
bilharziose
SénégalRésumé : Introduction : L’avènement des barrages de Diama et Manantali dans les années 80 a modifié le profil de la Bilharziose dans le bassin du fleuve Sénégal, avec l’apparition de la forme intestinale dans le Delta et la prévalence élevée de la forme urinaire dans toutes les zones écologiques du bassin.
Méthodes : La présente recherche avait pour objectif principal d’évaluer la prévalence des bilharzioses après plusieurs années de traitement de masse avec praziquantel 600 mg permettant l’apprécier la pertinence des directives de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en termes de fréquence d’administration et en particulier dans le bassin du fleuve Sénégal. Les selles et les urines de 1 215 enfants des écoles publiques, répartis entre 24 villages identifiés dans les trois zones écologiques du bassin du fleuve Sénégal que sont le Delta, la Vallée et le Haut bassin, ont été examinées.
Résultats : Ces résultats ont révélé des prévalences endémiques de la bilharziose urinaire dans toutes les zones écologiques du bassin du fleuve Sénégal : 57,4 % dans le Delta, 32,5 % dans la Vallée et 25,1 % dans le Haut bassin. En ce qui concerne la forme intestinale de la bilharziose, une prévalence de 21,8 % a été soulignée dans le Delta du fleuve, ainsi que le passage de cette forme au niveau de la Vallée.
Conclusion : Les résultats de cette recherche ont confirmé que les bilharzioses demeurent toujours un problème de santé publique dans le bassin du fleuve Sénégal malgré plusieurs traitements de masse au praziquantel 600 mg. Cette situation nécessite une réflexion sur les fréquences d’administration de ce médicament dans le bassin du fleuve Sénégal et l’importance de la prise en compte des pratiques sociales et les réalités sociologiques pour l’éradication de la bilharziose.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029973 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
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