Le catalogue du centre de documentation vous permet de chercher des documents dans l'ensemble des collections en rayon.
Fonds documentaire
Catalogue du fonds documentaire de l’IRF : https://catalogue-documentaire.chu-reims.fr
Base de données Em-Premium – revues numériques en ligne, abonnements IRF : https://www.em-premium.com
Recherche documentaire
Utilisation de bases de données (PubMed, etc.) - Utilisation Zotero - Rédaction de bibliographie
→ Accompagnement personnalisé (sur RDV) : cmoschetti@chu-reims.fr - 03 26 78 75 85
Normes bibliographiques (liens Université Montréal)
Normes Vancouver
Normes APA (7ème éd.)
Quelques bases de données documentaires
Em-Premium – Éditeur Elsevier – BDD médicale et paramédicale
LiSSa – Littérature scientifique en santé – Moteur de recherche (articles scientifiques en français dans le domaine de la Santé)
HAL – Archives ouvertes (thèses, articles scientifiques de niveau recherche)
PubMed – Base de données en biologie et médecine – Accès à la base biblio. MEDLINE
Cochrane – Ressource experte de revues systématiques en soins de santé
ScienceDirect – Base de données de revues pluridisciplinaire produite par Elsevier
Cairn - Base de données en sciences humaines et sociales
Centre de Documentation
- Horaires
Du lundi au jeudi : 8h-17h
Vendredi : 8h-13h
Contact
Tél : 03 26 83 28 24
Email : bibliotheque@chu-reims.fr
Informations pratiques
Prêts
5 documents
2 semaines de prêt
1 renouvellement de 2 semaines (accueil-mail-tél.)
Retard: suspension de prêt d'une durée égale au retard
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... | Votre compte |
journal de pédiatrie et de puériculture . vol.29 n°5Mention de date : octobre 2016Paru le : 01/10/2016 |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLes méningites du nourrisson et de l’enfant au centre hospitalier universitaire de Marrakech : expérience d’une unité pédiatrique marocaine / Karima El Fakiri in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°5 (octobre 2016)
[article] Les méningites du nourrisson et de l’enfant au centre hospitalier universitaire de Marrakech : expérience d’une unité pédiatrique marocaine : b, ⁎ , a, b, [revue] / Karima El Fakiri, Auteur ; M. Bourrous, Auteur ; C. Diffo, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.237-243.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°5 (octobre 2016) . - p.237-243
Mots-clés : enfant
liquide céphalorachidien
méningite
nourrissonRésumé : Introduction : Les méningites du nourrisson et de l’enfant demeurent une affection préoccupante en pédiatrie tant par sa fréquence que par sa gravité.
Objectif : Rapporter notre expérience dans les méningites du nourrisson et de l’enfant.
Matériels et méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective portant sur 150 patients atteints de méningite colligés dans le service de pédiatrie A du CHU Mohamed VI de Marrakech du 1er janvier 2009 au 31 décembre 2012.
Résultats : L’âge moyen a été de 60 mois et la prédominance a été masculine avec un sex-ratio de 2/2. Une otite a été la principale porte d’entrée dans 10 % et une antibiothérapie préalable a été administrée dans 26 % des cas. Les principaux signes cliniques ont été dominés par une fièvre (95 %), des vomissements (82 %) et des céphalées (68 %). Une ponction lombaire a été effectuée chez tous nos patients. Elle a montré une méningite virale (52 %), une méningite purulente (47 %) et une méningite tuberculeuse dans 2 cas. Les germes isolés ont été le pneumocoque (51 %) puis le méningocoque (40 %) et l’Haemophilus dans un cas. Le traitement instauré a été la céftriaxone (70 %) et l’association ceftriaxone et vancomycine dans 6 cas. L’évolution a été marquée par la survenue de séquelles dans 13 % et une létalité dans 1 % des cas.
Conclusion : Les méningites du nourrisson et de l’enfant posent encore un problème dans notre contexte car les méningites purulentes à pneumocoque les plus redoutables ont été retrouvées dans presque la moitié des cas dans notre étude.[article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°5 (octobre 2016) . - p.237-243
Titre : Les méningites du nourrisson et de l’enfant au centre hospitalier universitaire de Marrakech : expérience d’une unité pédiatrique marocaine : b, ⁎ , a, b, Type de document : revue Auteurs : Karima El Fakiri, Auteur ; M. Bourrous, Auteur ; C. Diffo, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.237-243 Langues : Français Mots-clés : enfant
liquide céphalorachidien
méningite
nourrissonRésumé : Introduction : Les méningites du nourrisson et de l’enfant demeurent une affection préoccupante en pédiatrie tant par sa fréquence que par sa gravité.
Objectif : Rapporter notre expérience dans les méningites du nourrisson et de l’enfant.
Matériels et méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective portant sur 150 patients atteints de méningite colligés dans le service de pédiatrie A du CHU Mohamed VI de Marrakech du 1er janvier 2009 au 31 décembre 2012.
Résultats : L’âge moyen a été de 60 mois et la prédominance a été masculine avec un sex-ratio de 2/2. Une otite a été la principale porte d’entrée dans 10 % et une antibiothérapie préalable a été administrée dans 26 % des cas. Les principaux signes cliniques ont été dominés par une fièvre (95 %), des vomissements (82 %) et des céphalées (68 %). Une ponction lombaire a été effectuée chez tous nos patients. Elle a montré une méningite virale (52 %), une méningite purulente (47 %) et une méningite tuberculeuse dans 2 cas. Les germes isolés ont été le pneumocoque (51 %) puis le méningocoque (40 %) et l’Haemophilus dans un cas. Le traitement instauré a été la céftriaxone (70 %) et l’association ceftriaxone et vancomycine dans 6 cas. L’évolution a été marquée par la survenue de séquelles dans 13 % et une létalité dans 1 % des cas.
Conclusion : Les méningites du nourrisson et de l’enfant posent encore un problème dans notre contexte car les méningites purulentes à pneumocoque les plus redoutables ont été retrouvées dans presque la moitié des cas dans notre étude.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029603 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant / I. Claudet in journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 n°5 (octobre 2016)
[article] Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant [revue] / I. Claudet, Auteur . - 2016 . - p.244-268.
Langues : Français
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°5 (octobre 2016) . - p.244-268
Mots-clés : accident domestique
antidote
intoxicationRésumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inapproprié et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution des symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont : tout symptôme neurologique isolé non fébrile inexpliqué (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide de e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. Note de contenu : + Autoévaluation p.269-271 [article]
in journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 n°5 (octobre 2016) . - p.244-268
Titre : Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant Type de document : revue Auteurs : I. Claudet, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.244-268 Langues : Français Mots-clés : accident domestique
antidote
intoxicationRésumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inapproprié et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution des symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont : tout symptôme neurologique isolé non fébrile inexpliqué (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide de e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. Note de contenu : + Autoévaluation p.269-271 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029603 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
00029603 | Rev | Revue | Centre de documentation | Archive | Disponible |
Centre de documentation (IRF)
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
Centre de documentation (IRF)Centre de Documentation Institut Régional de Formation - CHU de REIMS 45, rue Cognacq Jay 51100 Reims
Reims
France
contact