vol.15 n°2 mai 2016 vol.15 n°3 juin 2016 vol.15 supplément n°3 juin 2016 vol.15 n°4 octobre 2016 vol.15 n°5 novembre 2016 vol.15 n°6 décembre 2016 vol.16 n°1 février 2017 Sages-femmes . vol.15 n°4 Mention de date :  octobre 2016 Paru le :  01/10/2016

Dépouillements

Ressenti des sages-femmes face à l’hémorragie du post-partum en France / H. Jeambrun in Sages-femmes, vol.15 n°4 (octobre 2016)

ISBD Public [article] Ressenti des sages-femmes face à l’hémorragie du post-partum en France [revue] / H. Jeambrun, Auteur ; M. Makosso, Auteur . - 2016 . - p.169-173. Langues : Français in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.169-173 Mots-clés : étude hémorragie hémorragie du post-partum post-partum prise en charge sage femme Résumé : Il s’agit d’une étude observationnelle multicentrique qui vise à effectuer une évaluation des pratiques professionnelles, en France métropolitaine sur des maternités des différents niveaux. Nous souhaitons avoir un reflet de la prévention de l’HPP, par les sages-femmes sur ces différents centres et avoir des indications sur leurs difficultés éventuelles de prise en charge. Nous faisons les hypothèses qu’il existe des disparités dans la prévention et le ressenti des sages-femmes face à une HPP. Nous avons fait le choix d’inclure tous les CHU de France et d’y ajouter un centre hospitalier (CH) de niveaux 1 et 2 par région. [article]  in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.169-173 Titre : Ressenti des sages-femmes face à l’hémorragie du post-partum en France Type de document : revue Auteurs : H. Jeambrun, Auteur ; M. Makosso, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.169-173 Langues : Français Mots-clés : étude hémorragie hémorragie du post-partum post-partum prise en charge sage femme Résumé : Il s’agit d’une étude observationnelle multicentrique qui vise à effectuer une évaluation des pratiques professionnelles, en France métropolitaine sur des maternités des différents niveaux. Nous souhaitons avoir un reflet de la prévention de l’HPP, par les sages-femmes sur ces différents centres et avoir des indications sur leurs difficultés éventuelles de prise en charge. Nous faisons les hypothèses qu’il existe des disparités dans la prévention et le ressenti des sages-femmes face à une HPP. Nous avons fait le choix d’inclure tous les CHU de France et d’y ajouter un centre hospitalier (CH) de niveaux 1 et 2 par région.

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Surveillance échographique élevée des grossesses à bas risque : fréquence, motifs et déterminants associés / D. Perrot in Sages-femmes, vol.15 n°4 (octobre 2016)

ISBD Public [article] Surveillance échographique élevée des grossesses à bas risque : fréquence, motifs et déterminants associés [revue] / D. Perrot, Auteur ; B. Coulm, Auteur . - 2016 . - p.174-182. Langues : Français in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.174-182 Mots-clés : bas risque déterminant échographie surveillance prénatale Résumé : Objectifs : Estimer au sein d’une population à bas risque obstétrical, la fréquence des femmes ayant bénéficié d’une surveillance échographique élevée (5 échographies ou plus durant la grossesse), identifier les motifs de ces échographies et étudier les déterminants associés. Méthodes : Étude transversale dans deux maternités parisiennes (CHU de type 3 et ESPIC de type 2), 200 femmes à bas risque obstétrical ont été incluses. Les données provenaient d’un entretien avec les femmes en suites de couches et des dossiers médicaux. Résultats : Un pourcentage de 36,5 des femmes à bas risque avaient eu une surveillance échographique élevée pendant la grossesse. Il s’agissait le plus souvent de femmes de niveau d’études élevé, dont la grossesse avait été suivie par un médecin. Exactement 40,8 % de ces échographies étaient réalisées sans réelle indication médicale ou intention de dépistage ou de diagnostic et pouvaient être considérées comme « potentiellement évitables ». Conclusion : Un nombre important de femmes à bas risque ont plus d’échographies que ce qui est recommandé. Les déterminants associés sont à la fois d’ordre individuel et organisationnel. La multiplication de ces échographies soulève des inquiétudes du fait des bénéfices incertains sur la santé et des coûts importants associés. Réfléchir à la pertinence de ces examens nous semble important. [article]  in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.174-182 Titre : Surveillance échographique élevée des grossesses à bas risque : fréquence, motifs et déterminants associés Type de document : revue Auteurs : D. Perrot, Auteur ; B. Coulm, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.174-182 Langues : Français Mots-clés : bas risque déterminant échographie surveillance prénatale Résumé : Objectifs : Estimer au sein d’une population à bas risque obstétrical, la fréquence des femmes ayant bénéficié d’une surveillance échographique élevée (5 échographies ou plus durant la grossesse), identifier les motifs de ces échographies et étudier les déterminants associés. Méthodes : Étude transversale dans deux maternités parisiennes (CHU de type 3 et ESPIC de type 2), 200 femmes à bas risque obstétrical ont été incluses. Les données provenaient d’un entretien avec les femmes en suites de couches et des dossiers médicaux. Résultats : Un pourcentage de 36,5 des femmes à bas risque avaient eu une surveillance échographique élevée pendant la grossesse. Il s’agissait le plus souvent de femmes de niveau d’études élevé, dont la grossesse avait été suivie par un médecin. Exactement 40,8 % de ces échographies étaient réalisées sans réelle indication médicale ou intention de dépistage ou de diagnostic et pouvaient être considérées comme « potentiellement évitables ». Conclusion : Un nombre important de femmes à bas risque ont plus d’échographies que ce qui est recommandé. Les déterminants associés sont à la fois d’ordre individuel et organisationnel. La multiplication de ces échographies soulève des inquiétudes du fait des bénéfices incertains sur la santé et des coûts importants associés. Réfléchir à la pertinence de ces examens nous semble important.

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Infection par le virus Zika chez la femme enceinte / O. Picone in Sages-femmes, vol.15 n°4 (octobre 2016)

ISBD Public [article] Infection par le virus Zika chez la femme enceinte [revue] / O. Picone, Auteur ; C. Vauloup-Fellous, Auteur ; E. D’Ortenzio, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.183-191. Langues : Français in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.183-191 Mots-clés : congénital femme enceinte infection microcéphalie prévention Zika Résumé : Une épidémie d’infection par le virus Zika sévit actuellement en Amérique du Sud et dans les départements français d’Amérique (Guyane, Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin). Cette infection est associée à un risque d’infection congénitale potentiellement grave. Cependant, l’incidence et le type exact des atteintes fœtales ne sont pas connus. Des mesures de prévention doivent donc être prises et sont recommandées par les acteurs de santé institutionnels nationaux (Haut Conseil de la santé publique [HCSP], Direction générale de la santé [DGS], Agence de biomédecine [ABM], Institut national de veille sanitaire [InVS] et internationaux [OMS, Center for Diseases Control, European Center for Disease Prevention and Control [ECDC]…). L’infection est inscrite dans la liste des maladies à déclaration obligatoire en France depuis le 2 février 2016. Nous proposons ici un rappel pratique sur les recommandations de prise en charge en cas d’infection par le virus Zika ou de suspicion d’infection chez une femme enceinte, en l’état actuel des connaissances. [article]  in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.183-191 Titre : Infection par le virus Zika chez la femme enceinte Type de document : revue Auteurs : O. Picone, Auteur ; C. Vauloup-Fellous, Auteur ; E. D’Ortenzio, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.183-191 Langues : Français Mots-clés : congénital femme enceinte infection microcéphalie prévention Zika Résumé : Une épidémie d’infection par le virus Zika sévit actuellement en Amérique du Sud et dans les départements français d’Amérique (Guyane, Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin). Cette infection est associée à un risque d’infection congénitale potentiellement grave. Cependant, l’incidence et le type exact des atteintes fœtales ne sont pas connus. Des mesures de prévention doivent donc être prises et sont recommandées par les acteurs de santé institutionnels nationaux (Haut Conseil de la santé publique [HCSP], Direction générale de la santé [DGS], Agence de biomédecine [ABM], Institut national de veille sanitaire [InVS] et internationaux [OMS, Center for Diseases Control, European Center for Disease Prevention and Control [ECDC]…). L’infection est inscrite dans la liste des maladies à déclaration obligatoire en France depuis le 2 février 2016. Nous proposons ici un rappel pratique sur les recommandations de prise en charge en cas d’infection par le virus Zika ou de suspicion d’infection chez une femme enceinte, en l’état actuel des connaissances.

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Connaissance de l’entretien prénatal précoce chez les femmes venant d’accoucher : étude transversale en 2011 dans la métropole lilloise (France) / E.M. Aernout in Sages-femmes, vol.15 n°4 (octobre 2016)

ISBD Public [article] Connaissance de l’entretien prénatal précoce chez les femmes venant d’accoucher : étude transversale en 2011 dans la métropole lilloise (France) [revue] / E.M. Aernout, Auteur ; S. Carpentier, Auteur . - 2016 . - p.192-197. Langues : Français in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.192-197 Mots-clés : entretien prénatal EPP entretien prénatal précoce périnatalité réseau de santé RSP réseau de santé en périnatalité Résumé : But : L’entretien prénatal précoce (EPP) est l’une des mesures phare du plan de périnatalité 2005–2007. Il permet aux futures mères de bénéficier d’un entretien de 45minutes, distinct d’une consultation médicale, favorisant l’expression de leurs attentes et leurs difficultés médicales, psychologiques ou sociales. Il doit être systématiquement proposé à toutes les futures mères au début de leur grossesse. L’objectif principal de notre étude était de déterminer la proportion de femmes ayant eu connaissance de l’entretien prénatal précoce et d’établir le profil des femmes qui le connaissaient. Les objectifs secondaires étaient de décrire le taux de réalisation de l’EPP ainsi que ses modalités de réalisation. Patientes et méthodes : Toutes les femmes ayant accouché entre le 16 et le 20 janvier 2011 dans l’une des dix maternités de la métropole lilloise ont été interrogées pendant leur séjour en maternité. Un modèle de régression logistique mixte a permis de dresser le profil des femmes ayant eu connaissance de l’entretien prénatal précoce. Résultats : Sur 311 femmes ayant accouché pendant la période d’étude, 270 ont été incluses dans l’enquête. Au total, 148 patientes (54,8 %) connaissaient l’entretien prénatal précoce et 79 (29,3 %) en ont bénéficié. Les femmes qui avaient un niveau d’étude élevé avaient significativement plus connaissance de cet entretien que celles à faible niveau d’étude. Les autres facteurs étudiés n’étaient pas significativement liés à la connaissance de l’EPP. Conclusion : Alors que l’EPP doit être proposé systématiquement à la femme enceinte, seulement la moitié des patientes qui accouchent nous disent en avoir eu connaissance au cours de leur grossesse. Les femmes de faible niveau d’étude devraient être davantage ciblées par les professionnels réalisant cet entretien. [article]  in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.192-197 Titre : Connaissance de l’entretien prénatal précoce chez les femmes venant d’accoucher : étude transversale en 2011 dans la métropole lilloise (France) Type de document : revue Auteurs : E.M. Aernout, Auteur ; S. Carpentier, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.192-197 Langues : Français Mots-clés : entretien prénatal EPP entretien prénatal précoce périnatalité réseau de santé RSP réseau de santé en périnatalité Résumé : But : L’entretien prénatal précoce (EPP) est l’une des mesures phare du plan de périnatalité 2005–2007. Il permet aux futures mères de bénéficier d’un entretien de 45minutes, distinct d’une consultation médicale, favorisant l’expression de leurs attentes et leurs difficultés médicales, psychologiques ou sociales. Il doit être systématiquement proposé à toutes les futures mères au début de leur grossesse. L’objectif principal de notre étude était de déterminer la proportion de femmes ayant eu connaissance de l’entretien prénatal précoce et d’établir le profil des femmes qui le connaissaient. Les objectifs secondaires étaient de décrire le taux de réalisation de l’EPP ainsi que ses modalités de réalisation. Patientes et méthodes : Toutes les femmes ayant accouché entre le 16 et le 20 janvier 2011 dans l’une des dix maternités de la métropole lilloise ont été interrogées pendant leur séjour en maternité. Un modèle de régression logistique mixte a permis de dresser le profil des femmes ayant eu connaissance de l’entretien prénatal précoce. Résultats : Sur 311 femmes ayant accouché pendant la période d’étude, 270 ont été incluses dans l’enquête. Au total, 148 patientes (54,8 %) connaissaient l’entretien prénatal précoce et 79 (29,3 %) en ont bénéficié. Les femmes qui avaient un niveau d’étude élevé avaient significativement plus connaissance de cet entretien que celles à faible niveau d’étude. Les autres facteurs étudiés n’étaient pas significativement liés à la connaissance de l’EPP. Conclusion : Alors que l’EPP doit être proposé systématiquement à la femme enceinte, seulement la moitié des patientes qui accouchent nous disent en avoir eu connaissance au cours de leur grossesse. Les femmes de faible niveau d’étude devraient être davantage ciblées par les professionnels réalisant cet entretien.

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L’interruption médicale de grossesse sans foeticide : une enquête nationale / H. Chappé in Sages-femmes, vol.15 n°4 (octobre 2016)

ISBD Public [article] L’interruption médicale de grossesse sans foeticide : une enquête nationale [revue] / H. Chappé, Auteur ; P. Bétrémieux, Auteur ; V. Morel, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.198-204. Langues : Français in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.198-204 Mots-clés : foeticide IMG interruption médicale de grossesse soins palliatifs Résumé : But : L’IMG sans fœticide est mal connue et moins pratiquée que les soins palliatifs effectués après la naissance à terme d’un enfant ayant une pathologie létale. Peu d’équipes l’envisagent et sa pratique reste confidentielle. Cette enquête tente d’en cerner les pratiques. Matériel et méthodes : Enquête nationale par questionnaire auprès de 50 centres de diagnostic anténatal dépendant d’un CPDPN. Résultats : Trente-et-un centres ont répondu. Sept équipes ont rapporté leur expérience de l’IMG sans fœticide après 22–24 SA. Cette pratique concerne les fœtus atteints de pathologies « létales ». L’absence de fœticide fait suite à une demande parentale ou à une proposition de l’équipe médicale, après discussion pluridisciplinaire au cas par cas. Les enfants nés vivants au décours de ces IMG bénéficient tous de soins palliatifs. Les 24 autres centres ayant répondu à notre enquête réalisent systématiquement le geste foeticide au-delà de 22–24 SA. Ils souhaitent ainsi « protéger » le fœtus, ses parents et les soignants. Une majorité de ces équipes a déjà été confrontée à des demandes parentales d’abstention mais peu y répondent favorablement. Conclusion : Une solide « culture palliative » semble essentielle pour permettre aux soignants d’envisager le développement de l’IMG sans foeticide. [article]  in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.198-204 Titre : L’interruption médicale de grossesse sans foeticide : une enquête nationale Type de document : revue Auteurs : H. Chappé, Auteur ; P. Bétrémieux, Auteur ; V. Morel, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.198-204 Langues : Français Mots-clés : foeticide IMG interruption médicale de grossesse soins palliatifs Résumé : But : L’IMG sans fœticide est mal connue et moins pratiquée que les soins palliatifs effectués après la naissance à terme d’un enfant ayant une pathologie létale. Peu d’équipes l’envisagent et sa pratique reste confidentielle. Cette enquête tente d’en cerner les pratiques. Matériel et méthodes : Enquête nationale par questionnaire auprès de 50 centres de diagnostic anténatal dépendant d’un CPDPN. Résultats : Trente-et-un centres ont répondu. Sept équipes ont rapporté leur expérience de l’IMG sans fœticide après 22–24 SA. Cette pratique concerne les fœtus atteints de pathologies « létales ». L’absence de fœticide fait suite à une demande parentale ou à une proposition de l’équipe médicale, après discussion pluridisciplinaire au cas par cas. Les enfants nés vivants au décours de ces IMG bénéficient tous de soins palliatifs. Les 24 autres centres ayant répondu à notre enquête réalisent systématiquement le geste foeticide au-delà de 22–24 SA. Ils souhaitent ainsi « protéger » le fœtus, ses parents et les soignants. Une majorité de ces équipes a déjà été confrontée à des demandes parentales d’abstention mais peu y répondent favorablement. Conclusion : Une solide « culture palliative » semble essentielle pour permettre aux soignants d’envisager le développement de l’IMG sans foeticide.

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Indicateurs sur la prévention et la prise en charge de l’HPP : résultats 2015, une dynamique d’amélioration de la qualité des maternités indéniable / Sandrine Morin in Sages-femmes, vol.15 n°4 (octobre 2016)

ISBD Public [article] Indicateurs sur la prévention et la prise en charge de l’HPP : résultats 2015, une dynamique d’amélioration de la qualité des maternités indéniable [revue] / Sandrine Morin, Auteur . - 2016 . - p.213-216. Langues : Français in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.213-216 Mots-clés : hémorragie du post-partum indicateur maternité qualité Résumé : Les maternités recueillent depuis 2012 à partir du dossier patient, les données pour le calcul de 3 indicateurs de qualité et de sécurité des soins portant sur la prévention et la prise en charge initiale de l’hémorragie du post-partum immédiat (HPPI), sous la coordination de la HAS. En 2015, les moyennes nationales pour les 518 maternités françaises étaient les suivantes : 85 % des dossiers d’accouchement font état d’une prévention correcte de l’hémorragie lors de la délivrance (+5 points), 65 % des dossiers d’accouchement font état d’une surveillance clinique minimale complète dans les deux heures qui suivent l’accouchement (+12 points) et 74 % des dossiers d’HPPI font état d’une prise en charge initiale de l’HPPI telle que recommandée. Tous les résultats sont en augmentation et l’organisation des maternités est de plus en plus structurée sur ce sujet. Afin de soutenir ces résultats, voire les améliorer, il faut poursuivre la systématisation de la prophylaxie par ocytocine, de la surveillance clinique minimale recommandée, de la quantification des pertes sanguines au moment du diagnostic. Ces indicateurs permettant la comparaison inter-maternités servent aux maternités dans le suivi et l’amélioration des pratiques cliniques ; aux tutelles dans le cadre du pilotage institutionnel ; aux usagers dans leurs démarches de recherche d’information sur la qualité des d’établissements de santé (Les résultats sont disponibles par maternité sur le site www.scopesante.fr/). La prochaine campagne de recueil aura lieu au cours du 1er semestre 2017. [article]  in Sages-femmes > vol.15 n°4 (octobre 2016) . - p.213-216 Titre : Indicateurs sur la prévention et la prise en charge de l’HPP : résultats 2015, une dynamique d’amélioration de la qualité des maternités indéniable Type de document : revue Auteurs : Sandrine Morin, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.213-216 Langues : Français Mots-clés : hémorragie du post-partum indicateur maternité qualité Résumé : Les maternités recueillent depuis 2012 à partir du dossier patient, les données pour le calcul de 3 indicateurs de qualité et de sécurité des soins portant sur la prévention et la prise en charge initiale de l’hémorragie du post-partum immédiat (HPPI), sous la coordination de la HAS. En 2015, les moyennes nationales pour les 518 maternités françaises étaient les suivantes : 85 % des dossiers d’accouchement font état d’une prévention correcte de l’hémorragie lors de la délivrance (+5 points), 65 % des dossiers d’accouchement font état d’une surveillance clinique minimale complète dans les deux heures qui suivent l’accouchement (+12 points) et 74 % des dossiers d’HPPI font état d’une prise en charge initiale de l’HPPI telle que recommandée. Tous les résultats sont en augmentation et l’organisation des maternités est de plus en plus structurée sur ce sujet. Afin de soutenir ces résultats, voire les améliorer, il faut poursuivre la systématisation de la prophylaxie par ocytocine, de la surveillance clinique minimale recommandée, de la quantification des pertes sanguines au moment du diagnostic. Ces indicateurs permettant la comparaison inter-maternités servent aux maternités dans le suivi et l’amélioration des pratiques cliniques ; aux tutelles dans le cadre du pilotage institutionnel ; aux usagers dans leurs démarches de recherche d’information sur la qualité des d’établissements de santé (Les résultats sont disponibles par maternité sur le site www.scopesante.fr/). La prochaine campagne de recueil aura lieu au cours du 1er semestre 2017.

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