[article] Hygiènes de vie comparées : Les personnes atteintes de maladies mentales et l’ensemble de la population canadienne [revue] / Ruth Schofield, Auteur ; Cheryl Forchuk, Auteur ; Phyllis Montgomery, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.15-19. Langues : Français in Infirmière canadienne > vol.17 n°5 (juin 2016) . - p.15-19 Mots-clés : | Canada enquête hygiène de vie maladie mentale
| Résumé : | Objectif :
Les personnes atteintes de maladies mentales vivent souvent dans une pauvreté chronique associée à une hygiène de vie pouvant inclure le tabagisme et une mauvaise nutrition, ce qui perturbe leur santé physique. Le but de notre étude était de voir s’il existe des différences entre une cohorte de personnes atteintes de maladies mentales dans le Sud-Ouest de l’Ontario et l’ensemble de la population canadienne en ce qui concerne la santé et l’hygiène de vie, c’est-à-dire nutrition, activité physique, tabagisme, consommation d’alcool et sommeil.
Méthode :
L’échantillon comportait 250 personnes ayant reçu un diagnostic psychiatrique depuis au moins un an. Nous avons effectué une entrevue quantitative structurée avec chacun des participants pour recueillir de l’information sur sa santé et son hygiène de vie en reprenant la formulation de questions de l’Enquête nationale sur la santé de la population et de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes. Nous avons calculé des intervalles de confiance à 95 % pour nos résultats et nous en sommes servis pour comparer les données aux normes canadiennes.
Résultats :
La probabilité d’avoir une mauvaise alimentation, un mauvais sommeil et une consommation excessive d’alcool est nettement plus élevée pour les personnes atteintes de maladies mentales que pour l’ensemble de la population.
Conclusion :
Il est important que le personnel infirmier, les établissements de soins de santé et les responsables des politiques soient conscients qu’un certain nombre de facteurs pourraient influer sur la santé et l’hygiène de vie des personnes atteintes de maladies mentales et que des stratégies différentes de promotion de la santé pourraient être nécessaires pour favoriser un mode de vie sain dans cette population. |
[article] in Infirmière canadienne > vol.17 n°5 (juin 2016) . - p.15-19 Titre : | Hygiènes de vie comparées : Les personnes atteintes de maladies mentales et l’ensemble de la population canadienne | Type de document : | revue | Auteurs : | Ruth Schofield, Auteur ; Cheryl Forchuk, Auteur ; Phyllis Montgomery, Auteur ; et al., Auteur | Année de publication : | 2016 | Article en page(s) : | p.15-19 | Langues : | Français | Mots-clés : | Canada enquête hygiène de vie maladie mentale
| Résumé : | Objectif :
Les personnes atteintes de maladies mentales vivent souvent dans une pauvreté chronique associée à une hygiène de vie pouvant inclure le tabagisme et une mauvaise nutrition, ce qui perturbe leur santé physique. Le but de notre étude était de voir s’il existe des différences entre une cohorte de personnes atteintes de maladies mentales dans le Sud-Ouest de l’Ontario et l’ensemble de la population canadienne en ce qui concerne la santé et l’hygiène de vie, c’est-à-dire nutrition, activité physique, tabagisme, consommation d’alcool et sommeil.
Méthode :
L’échantillon comportait 250 personnes ayant reçu un diagnostic psychiatrique depuis au moins un an. Nous avons effectué une entrevue quantitative structurée avec chacun des participants pour recueillir de l’information sur sa santé et son hygiène de vie en reprenant la formulation de questions de l’Enquête nationale sur la santé de la population et de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes. Nous avons calculé des intervalles de confiance à 95 % pour nos résultats et nous en sommes servis pour comparer les données aux normes canadiennes.
Résultats :
La probabilité d’avoir une mauvaise alimentation, un mauvais sommeil et une consommation excessive d’alcool est nettement plus élevée pour les personnes atteintes de maladies mentales que pour l’ensemble de la population.
Conclusion :
Il est important que le personnel infirmier, les établissements de soins de santé et les responsables des politiques soient conscients qu’un certain nombre de facteurs pourraient influer sur la santé et l’hygiène de vie des personnes atteintes de maladies mentales et que des stratégies différentes de promotion de la santé pourraient être nécessaires pour favoriser un mode de vie sain dans cette population. |
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