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Recommandations pour l’administration d’oxytocine au cours du travail spontané. Chapitre 3 : interventions associées à l’administration de l’oxytocine pendant le travail spontané / C. Barasinski in Sages-femmes, vol.16 n°1 (février 2017)
[article] Recommandations pour l’administration d’oxytocine au cours du travail spontané. Chapitre 3 : interventions associées à l’administration de l’oxytocine pendant le travail spontané [revue] / C. Barasinski, Auteur ; F. Vendittelli, Auteur . - 2017 . - p.36-48.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°1 (février 2017) . - p.36-48
Mots-clés : amniotomie
ocytocine
travail obstétrical
travail spontanéRésumé : Objectifs : L’objectif de notre travail était de détailler l’impact de co-interventions, utilisées pendant le travail, sur la dystocie dynamique ou sur le recours à l’oxytocine.
Méthodes : Nous avons recherché les études publiées sur les interventions étudiées, entre 1987 et 2015, en privilégiant les méta-analyses et les essais randomisés, via la base de données Medline et la Cochrane Library. Nous avons limité notre recherche aux études portant sur le travail spontanée des grossesses uniques à terme.
Résultats : En l’absence de dystocie dynamique, la direction active du travail n’est pas recommandée (grade B). Il est recommandé de ne pas réaliser une amniotomie de manière systématique au cours du 1er stade du travail (grade B). En cas de dystocie dynamique au cours de la phase active, il est recommandé de pratiquer une amniotomie avant l’administration d’oxytocine (accord professionnel). Il est recommandé d’encourager un soutien continu pendant le travail (grade B). À seule fin de limiter le recours à l’oxytocine pendant le travail, aucun argument scientifique ne permet de recommander : une position maternelle pendant les 1er et 2e stade du travail (grade C), l’immersion en baignoire durant le 1er stade (grade B), une perfusion intraveineuse, une hydratation orale ou une alimentation solide (grade B), une préparation anténatale avec des séances d’hypnose (grade C), l’utilisation de techniques de relaxation (grade C), d’acupuncture ou d’acupression (grade B) et l’utilisation de molécules à visée myorelaxante (accord professionnel).
Conclusions : Peu de co-interventions étudiées semblent moduler le recours à l’oxytocine.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°1 (février 2017) . - p.36-48
Titre : Recommandations pour l’administration d’oxytocine au cours du travail spontané. Chapitre 3 : interventions associées à l’administration de l’oxytocine pendant le travail spontané Type de document : revue Auteurs : C. Barasinski, Auteur ; F. Vendittelli, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.36-48 Langues : Français Mots-clés : amniotomie
ocytocine
travail obstétrical
travail spontanéRésumé : Objectifs : L’objectif de notre travail était de détailler l’impact de co-interventions, utilisées pendant le travail, sur la dystocie dynamique ou sur le recours à l’oxytocine.
Méthodes : Nous avons recherché les études publiées sur les interventions étudiées, entre 1987 et 2015, en privilégiant les méta-analyses et les essais randomisés, via la base de données Medline et la Cochrane Library. Nous avons limité notre recherche aux études portant sur le travail spontanée des grossesses uniques à terme.
Résultats : En l’absence de dystocie dynamique, la direction active du travail n’est pas recommandée (grade B). Il est recommandé de ne pas réaliser une amniotomie de manière systématique au cours du 1er stade du travail (grade B). En cas de dystocie dynamique au cours de la phase active, il est recommandé de pratiquer une amniotomie avant l’administration d’oxytocine (accord professionnel). Il est recommandé d’encourager un soutien continu pendant le travail (grade B). À seule fin de limiter le recours à l’oxytocine pendant le travail, aucun argument scientifique ne permet de recommander : une position maternelle pendant les 1er et 2e stade du travail (grade C), l’immersion en baignoire durant le 1er stade (grade B), une perfusion intraveineuse, une hydratation orale ou une alimentation solide (grade B), une préparation anténatale avec des séances d’hypnose (grade C), l’utilisation de techniques de relaxation (grade C), d’acupuncture ou d’acupression (grade B) et l’utilisation de molécules à visée myorelaxante (accord professionnel).
Conclusions : Peu de co-interventions étudiées semblent moduler le recours à l’oxytocine.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030186 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Recommandations pour l’administration d’oxytocine au cours du travail spontané. Chapitre 1: définition et caractéristiques du travail normal et anormal / R. Béranger in Sages-femmes, vol.16 n°1 (février 2017)
[article] Recommandations pour l’administration d’oxytocine au cours du travail spontané. Chapitre 1: définition et caractéristiques du travail normal et anormal [revue] / R. Béranger, Auteur ; A.-A. Chantry, Auteur . - 2017 . - p.6-21.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°1 (février 2017) . - p.6-21
Mots-clés : dystocie
grossesse
RPC recommandation pour la pratique clinique
travail obstétricalRésumé : Depuis le milieu des années 1950, les définitions du travail normal établies par E. Friedman ont servi de référence pour guider la pratique obstétricale dans les maternités à travers le monde. Mais des travaux récents remettent en question ces définitions, considérées comme trop restrictives et induisant un interventionnisme excessif de la part des soignants. L’objectif de ce chapitre des recommandations pour la pratique clinique (RPC) était de redéfinir la structure et la durée du travail normal, ainsi que les critères définissant un travail anormal. À partir d’une revue systématique de la littérature, différentes recommandations ont été produites. En premier lieu, le diagnostic de dystocie du travail est inapproprié au cours de la phase de latence. Le début de la phase active du 1er stade du travail est établi entre 5 et 6cm de dilatation cervicale. D’autre part, la vitesse de dilatation est considérée comme anormale si<1cm/4h en début de phase active du 1er stade et<1cm/2h au-delà de 7cm de dilatation. Une durée maximale de la phase de descente du 2e stade du travail ne peut être déterminée à partir de la littérature, toutefois, la balance bénéfice-risque devient moins favorable à partir de 3h. Enfin, les données de la littérature ne permettent pas de recommander une durée maximale concernant les efforts expulsifs. Ces nouvelles recommandations devraient permettre de réduire le taux de recours à l’oxytocine et le taux de césarienne pour dystocie du travail. [article]
in Sages-femmes > vol.16 n°1 (février 2017) . - p.6-21
Titre : Recommandations pour l’administration d’oxytocine au cours du travail spontané. Chapitre 1: définition et caractéristiques du travail normal et anormal Type de document : revue Auteurs : R. Béranger, Auteur ; A.-A. Chantry, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.6-21 Langues : Français Mots-clés : dystocie
grossesse
RPC recommandation pour la pratique clinique
travail obstétricalRésumé : Depuis le milieu des années 1950, les définitions du travail normal établies par E. Friedman ont servi de référence pour guider la pratique obstétricale dans les maternités à travers le monde. Mais des travaux récents remettent en question ces définitions, considérées comme trop restrictives et induisant un interventionnisme excessif de la part des soignants. L’objectif de ce chapitre des recommandations pour la pratique clinique (RPC) était de redéfinir la structure et la durée du travail normal, ainsi que les critères définissant un travail anormal. À partir d’une revue systématique de la littérature, différentes recommandations ont été produites. En premier lieu, le diagnostic de dystocie du travail est inapproprié au cours de la phase de latence. Le début de la phase active du 1er stade du travail est établi entre 5 et 6cm de dilatation cervicale. D’autre part, la vitesse de dilatation est considérée comme anormale si<1cm/4h en début de phase active du 1er stade et<1cm/2h au-delà de 7cm de dilatation. Une durée maximale de la phase de descente du 2e stade du travail ne peut être déterminée à partir de la littérature, toutefois, la balance bénéfice-risque devient moins favorable à partir de 3h. Enfin, les données de la littérature ne permettent pas de recommander une durée maximale concernant les efforts expulsifs. Ces nouvelles recommandations devraient permettre de réduire le taux de recours à l’oxytocine et le taux de césarienne pour dystocie du travail. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030186 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Prédiction de l’entrée en travail sous 24 heures en cas de rupture des membranes à terme / C. Huret in Sages-femmes, vol.16 n°5 (novembre 2017)
[article] Prédiction de l’entrée en travail sous 24 heures en cas de rupture des membranes à terme [revue] / C. Huret, Auteur ; B. Pereira, Auteur ; Vincent Collange, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.324-330.
Langues : Français
in Sages-femmes > vol.16 n°5 (novembre 2017) . - p.324-330
Mots-clés : rupture prématurée des membranes
travail déclenché
travail obstétricalRésumé :
Objectifs : Identifier les critères prédictifs d’une entrée en travail sous 24 heures en cas : de RPM ≥ 37 SA.
Méthodes : Étude rétrospective monocentrique incluant les RPM ≥ 37 SA. Le critère de jugement principal était la mise en travail spontané dans les 24 heures. Nous avons comparé les facteurs prédictifs et la survenue de complications obstétricales et néonatales selon l’entrée en travail sous 24 heures spontané ou non dans la population avec Bishop < 6 et celle avec Bishop ≥ 6.
Résultats : De janvier 2013 à décembre 2014, 520 patientes ont été incluses. Les facteurs prédictifs d’une entrée en travail sous 24 heures en cas de col défavorable à l’admission sont, en analyse multivariée, l’écoulement franc (p < 0,001) et une dilatation cervicale ≥ 2 cm (p < 0,001). En cas d’échec de l’expectative on retrouve une augmentation du taux de césarienne (24,3 % vs 9,5 % p < 0,001) sans différence concernant le taux d’infection materno-fœtale prouvée. En cas de col favorable à l’admission, aucun facteur prédictif d’entrée en travail sous 24 heures n’a été identifié. En cas d’échec nous avons observé une augmentation d’Apgar < 7 à 5 minutes (18,7 % vs 3,2 % p = 0,01) et du transfert en pédiatrie (18,8 % vs 3,2 % p = 0,04) mais sans augmentation significative du taux d’infection materno-fœtale.
Conclusion : L’entrée en travail sous 24 heures est l’issue de 70,8 % des RPM à terme. L’écoulement franc et un col modifié sont les principaux facteurs prédictifs en cas de Bishop < 6. Si un échec d’expectative survient avec un Bishop ≥ 6, le risque de mauvais état néonatal pourrait être augmenté.[article]
in Sages-femmes > vol.16 n°5 (novembre 2017) . - p.324-330
Titre : Prédiction de l’entrée en travail sous 24 heures en cas de rupture des membranes à terme Type de document : revue Auteurs : C. Huret, Auteur ; B. Pereira, Auteur ; Vincent Collange, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.324-330 Langues : Français Mots-clés : rupture prématurée des membranes
travail déclenché
travail obstétricalRésumé :
Objectifs : Identifier les critères prédictifs d’une entrée en travail sous 24 heures en cas : de RPM ≥ 37 SA.
Méthodes : Étude rétrospective monocentrique incluant les RPM ≥ 37 SA. Le critère de jugement principal était la mise en travail spontané dans les 24 heures. Nous avons comparé les facteurs prédictifs et la survenue de complications obstétricales et néonatales selon l’entrée en travail sous 24 heures spontané ou non dans la population avec Bishop < 6 et celle avec Bishop ≥ 6.
Résultats : De janvier 2013 à décembre 2014, 520 patientes ont été incluses. Les facteurs prédictifs d’une entrée en travail sous 24 heures en cas de col défavorable à l’admission sont, en analyse multivariée, l’écoulement franc (p < 0,001) et une dilatation cervicale ≥ 2 cm (p < 0,001). En cas d’échec de l’expectative on retrouve une augmentation du taux de césarienne (24,3 % vs 9,5 % p < 0,001) sans différence concernant le taux d’infection materno-fœtale prouvée. En cas de col favorable à l’admission, aucun facteur prédictif d’entrée en travail sous 24 heures n’a été identifié. En cas d’échec nous avons observé une augmentation d’Apgar < 7 à 5 minutes (18,7 % vs 3,2 % p = 0,01) et du transfert en pédiatrie (18,8 % vs 3,2 % p = 0,04) mais sans augmentation significative du taux d’infection materno-fœtale.
Conclusion : L’entrée en travail sous 24 heures est l’issue de 70,8 % des RPM à terme. L’écoulement franc et un col modifié sont les principaux facteurs prédictifs en cas de Bishop < 6. Si un échec d’expectative survient avec un Bishop ≥ 6, le risque de mauvais état néonatal pourrait être augmenté.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031567 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Postures : ce qu'en dit la science / Géraldine Magnan in Profession sage femme, n°226 (juin 2016)
[article] Postures : ce qu'en dit la science [revue] / Géraldine Magnan, Auteur . - 2016 . - p.14-19.
Langues : Français
in Profession sage femme > n°226 (juin 2016) . - p.14-19
Mots-clés : accouchement
position
posture
travail obstétricalRésumé : Prisées par nombre de sages-femmes, les diverses positions censées favoriser le travail et l'accouchement commencent à peine à être évaluées. Plusieurs travaux récents, allant tous dans le même sens, apportent des résultats bien décevants. Faut-il abandonner ces pratiques ? [article]
in Profession sage femme > n°226 (juin 2016) . - p.14-19
Titre : Postures : ce qu'en dit la science Type de document : revue Auteurs : Géraldine Magnan, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.14-19 Langues : Français Mots-clés : accouchement
position
posture
travail obstétricalRésumé : Prisées par nombre de sages-femmes, les diverses positions censées favoriser le travail et l'accouchement commencent à peine à être évaluées. Plusieurs travaux récents, allant tous dans le même sens, apportent des résultats bien décevants. Faut-il abandonner ces pratiques ? Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00031330 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible PCA rémifentanil au cours de l’accouchement / Marie Bruyère in Le praticien en anesthésie réanimation, vol.25 n°2 (avril 2021)
[article] PCA rémifentanil au cours de l’accouchement [revue] / Marie Bruyère, Auteur . - 2021 . - p.61-66.
Langues : Français
in Le praticien en anesthésie réanimation > vol.25 n°2 (avril 2021) . - p.61-66
Mots-clés : douleur
travail obstétricalRésumé : La PCA rémifentanil est la technique alternative la plus efficace après l’analgésie péridurale pour contrôler la douleur liée au travail obstétrical et améliorer le confort maternel. En France, elle est utilisée en cas de contre-indication à l’analgésie péridurale, et se situe en 3e position pour les techniques alternatives à l’APD, après le protoxyde d’azote et la nalbuphine. Aucune étude bien conduite ne permet de conclure à un effet bénéfique de la PCA rémifentanil sur le taux de césarienne et de manœuvres instrumentales. L’administration de rémifentanil a peu ou pas d’effet sur le bien être néonatal, mais peut provoquer des désaturations voire des arrêts respiratoires chez les parturientes. Son utilisation doit être sécurisée par un protocole écrit, une surveillance maternelle rapprochée (monitorage cardiorespiratoire, one-to-one, présence d’un accompagnant), de l’O2 nasal systématique et l’utilisation d’un capnographe. [article]
in Le praticien en anesthésie réanimation > vol.25 n°2 (avril 2021) . - p.61-66
Titre : PCA rémifentanil au cours de l’accouchement Type de document : revue Auteurs : Marie Bruyère, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.61-66 Langues : Français Mots-clés : douleur
travail obstétricalRésumé : La PCA rémifentanil est la technique alternative la plus efficace après l’analgésie péridurale pour contrôler la douleur liée au travail obstétrical et améliorer le confort maternel. En France, elle est utilisée en cas de contre-indication à l’analgésie péridurale, et se situe en 3e position pour les techniques alternatives à l’APD, après le protoxyde d’azote et la nalbuphine. Aucune étude bien conduite ne permet de conclure à un effet bénéfique de la PCA rémifentanil sur le taux de césarienne et de manœuvres instrumentales. L’administration de rémifentanil a peu ou pas d’effet sur le bien être néonatal, mais peut provoquer des désaturations voire des arrêts respiratoires chez les parturientes. Son utilisation doit être sécurisée par un protocole écrit, une surveillance maternelle rapprochée (monitorage cardiorespiratoire, one-to-one, présence d’un accompagnant), de l’O2 nasal systématique et l’utilisation d’un capnographe. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00035286 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Origines et caractéristiques de la douleur du travail et de l’accouchement / Jade Merrer in Sages-femmes, vol.19 n°4 (juillet août 2020)
PermalinkMyles : Pratique obstétricale / Maureen Raynor (2019)
PermalinkIntérêt des manœuvres périnéales en prévention des traumatismes obstétricaux / Morgane Cordeiro in Vocation sage femme, vol.16 n°127 (juillet août 2017)
PermalinkGestion du deuxième stade du travail : quelles nouveautés en 2018 ? / C. Le Ray in La lettre du gynécologue, n°417 (novembre décembre 2018)
PermalinkComprendre et composer avec la douleur au cours du travail obstétrical / Clara Daigremont in Vocation sage femme, vol.19 n°141 (novembre décembre 2019)
PermalinkApport des méthodes non pharmacologiques dans les douleurs obstétricales / Hélène Cinelli in Sages-femmes, vol.19 n°4 (juillet août 2020)
PermalinkAnalgésie péridurale optimale en 2019 / Marie Bruyère in Le praticien en anesthésie réanimation, vol.23 n°4 (septembre 2019)
PermalinkAnalgésie péridurale en obstétrique / Jade Merrer in Sages-femmes, vol.19 n°4 (juillet août 2020)
PermalinkAnalgésie obstétricale, la singularité de la France / Jade Merrer in Sages-femmes, vol.19 n°4 (juillet août 2020)
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