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Pronostic en neuroréanimation / Louis Puybasset in Anesthésie & réanimation, vol.6 n°1 (janvier 2020)
[article] Pronostic en neuroréanimation [revue] / Louis Puybasset, Auteur ; Lionel Velly, Auteur ; Gérard Audibert, Auteur ; Caroline Duracher, Auteur ; Mathilde Chevignard, Auteur . - 2020 . - p.122-130.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°1 (janvier 2020) . - p.122-130
Mots-clés : AVC accident vasculaire cérébral
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
lésion cérébrale
neuroréanimation
pronostic
TC traumatisme crânienRésumé : Déterminer le pronostic d’un patient de réanimation après une lésion cérébrale grave est devenu difficile à cause des progrès de la réanimation qui assure la survie des patients, mais parfois au prix de séquelles neurologiques importantes. La prise en charge initiale doit toujours être agressive avec une intensité thérapeutique maximale. Établir un pronostic va être nécessaire pour répondre aux questions des familles. Par ailleurs, l’absence de récupération peut conduire à des décisions de limitation/arrêt des traitements qui doivent être soigneusement documentées. Pour affiner le pronostic, le clinicien dispose de la clinique, de l’imagerie, de l’électrophysiologie et de la biologie. La présente revue inclut le traumatisme crânien, l’accident vasculaire cérébral hémorragique et l’hémorragie sous-arachnoïdienne. Un chapitre spécial est consacré à l’enfant. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°1 (janvier 2020) . - p.122-130
Titre : Pronostic en neuroréanimation Type de document : revue Auteurs : Louis Puybasset, Auteur ; Lionel Velly, Auteur ; Gérard Audibert, Auteur ; Caroline Duracher, Auteur ; Mathilde Chevignard, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.122-130 Langues : Français Mots-clés : AVC accident vasculaire cérébral
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
lésion cérébrale
neuroréanimation
pronostic
TC traumatisme crânienRésumé : Déterminer le pronostic d’un patient de réanimation après une lésion cérébrale grave est devenu difficile à cause des progrès de la réanimation qui assure la survie des patients, mais parfois au prix de séquelles neurologiques importantes. La prise en charge initiale doit toujours être agressive avec une intensité thérapeutique maximale. Établir un pronostic va être nécessaire pour répondre aux questions des familles. Par ailleurs, l’absence de récupération peut conduire à des décisions de limitation/arrêt des traitements qui doivent être soigneusement documentées. Pour affiner le pronostic, le clinicien dispose de la clinique, de l’imagerie, de l’électrophysiologie et de la biologie. La présente revue inclut le traumatisme crânien, l’accident vasculaire cérébral hémorragique et l’hémorragie sous-arachnoïdienne. Un chapitre spécial est consacré à l’enfant. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034006 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Ischémie cérébrale retardée : diagnostic et prévention / Baptiste Bouchier in Anesthésie & réanimation, vol.6 n°1 (janvier 2020)
[article] Ischémie cérébrale retardée : diagnostic et prévention [revue] / Baptiste Bouchier, Auteur ; Thomas Ritzenthaler, Auteur ; Anne-Claire Lukaszewicz, Auteur ; Baptiste Balança, Auteur . - 2020 . - p.103-114.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°1 (janvier 2020) . - p.103-114
Mots-clés : échographie-doppler transcrânienne
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
ischémie cérébrale
vasospasmeRésumé : L’ischémie cérébrale retardée (ICR) reste une complication fréquente et dramatique de l’hémorragie méningée anévrismale, dont l’incidence, élevée avant le onzième jour post-saignement, impose une surveillance continue. Le diagnostic clinique d’une anomalie de perfusion avec un déficit neurologique peut être rendu difficile chez les patients qui ont des troubles de la conscience. La surveillance clinique seule est à risque de diagnostic trop tardif pour une prévention efficace de la lésion cérébrale définitive. Une approche multimodale pour un diagnostic précoce du risque d’ICR peut associer le Doppler transcrânien, de l’électrophysiologie, de l’oxymétrie ou du métabolisme cérébral, ou encore un biomarqueur plasmatique, qui devra être confirmé par une imagerie de perfusion. Cette difficulté diagnostique reflète la complexité des mécanismes à l’origine de l’ICR que les études expérimentales ont bien mis en évidence. En accord avec cette complexité, différentes stratégies de prévention thérapeutique ont ciblé la spasticité vasculaire, l’inflammation, l’agrégation plaquettaire, le métabolisme cérébral, ou l’élimination du sang dans les espaces sous-arachnoïdiens. Les résultats inconstants des études cliniques ont confirmé la complexité de la lésion d’ICR. La nimodipine reste le seul traitement préventif recommandé avec un impact sur le devenir neurologique. Plus récemment, l’antagoniste du récepteur à l’endothéline semblait efficace sur la vasomotricité des artères cérébrales sans amélioration du devenir neurologique. Les prochaines études cliniques devraient préciser l’intérêt des inhibiteurs des phosphodiestérases ou du drainage du liquide céphalorachidien. Là encore, une approche multimodale des thérapeutiques devrait permettre la prévention optimale de cette complication redoutable. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.6 n°1 (janvier 2020) . - p.103-114
Titre : Ischémie cérébrale retardée : diagnostic et prévention Type de document : revue Auteurs : Baptiste Bouchier, Auteur ; Thomas Ritzenthaler, Auteur ; Anne-Claire Lukaszewicz, Auteur ; Baptiste Balança, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.103-114 Langues : Français Mots-clés : échographie-doppler transcrânienne
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
ischémie cérébrale
vasospasmeRésumé : L’ischémie cérébrale retardée (ICR) reste une complication fréquente et dramatique de l’hémorragie méningée anévrismale, dont l’incidence, élevée avant le onzième jour post-saignement, impose une surveillance continue. Le diagnostic clinique d’une anomalie de perfusion avec un déficit neurologique peut être rendu difficile chez les patients qui ont des troubles de la conscience. La surveillance clinique seule est à risque de diagnostic trop tardif pour une prévention efficace de la lésion cérébrale définitive. Une approche multimodale pour un diagnostic précoce du risque d’ICR peut associer le Doppler transcrânien, de l’électrophysiologie, de l’oxymétrie ou du métabolisme cérébral, ou encore un biomarqueur plasmatique, qui devra être confirmé par une imagerie de perfusion. Cette difficulté diagnostique reflète la complexité des mécanismes à l’origine de l’ICR que les études expérimentales ont bien mis en évidence. En accord avec cette complexité, différentes stratégies de prévention thérapeutique ont ciblé la spasticité vasculaire, l’inflammation, l’agrégation plaquettaire, le métabolisme cérébral, ou l’élimination du sang dans les espaces sous-arachnoïdiens. Les résultats inconstants des études cliniques ont confirmé la complexité de la lésion d’ICR. La nimodipine reste le seul traitement préventif recommandé avec un impact sur le devenir neurologique. Plus récemment, l’antagoniste du récepteur à l’endothéline semblait efficace sur la vasomotricité des artères cérébrales sans amélioration du devenir neurologique. Les prochaines études cliniques devraient préciser l’intérêt des inhibiteurs des phosphodiestérases ou du drainage du liquide céphalorachidien. Là encore, une approche multimodale des thérapeutiques devrait permettre la prévention optimale de cette complication redoutable. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034006 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible Hémorragie sous-arachnoïdienne anévrysmale / Gérard Audibert in Anesthésie & réanimation, vol.3 n°1 (janvier 2017)
[article] Hémorragie sous-arachnoïdienne anévrysmale [revue] / Gérard Audibert, Auteur ; Antoine Baumann, Auteur . - 2017 . - p.37-47.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°1 (janvier 2017) . - p.37-47
Mots-clés : HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
hydrocéphalie
ischémie cérébraleRésumé : Devant des signes cliniques d’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), le diagnostic positif est réalisé par une tomodensitométrie encéphalique sans injection.
Le diagnostic étiologique d’une HSA repose sur l’angioscanner cérébral qui permet d’identifier l’anévrysme et d’étudier ses rapports anatomiques avant traitement.
En phase aiguë, la réanimation de complications cardiovasculaires et/ou respiratoires ne doit pas retarder le traitement du sac anévrysmal de plus de 12 à 24heures.
La sécurisation du sac anévrysmal doit être réalisée le plus précocement possible, au mieux dans les 24 premières heures suivant l’admission.
Si elle est nécessaire, une dérivation ventriculaire externe doit être mise en place avant embolisation.
La principale complication après HSA est l’ischémie cérébrale retardée (ICR), qui reconnaît plusieurs étiologies, dont le vasospasme.
La détection du vasospasme repose sur l’examen clinique et sur la réalisation régulière de Doppler transcraniens.
Le diagnostic d’ICR repose sur une technique d’imagerie de la perfusion cérébrale, soit scanner de perfusion soit imagerie par résonance magnétique.
La prévention de l’ICR repose sur la nimodipine administrée par voie orale ou intraveineuse.
Le traitement de l’ICR repose sur le maintien d’une pression de perfusion cérébrale (PAM≥100mmHg) et la neuroradiologie interventionnelle (angioplastie médicamenteuse par milrinone ou mécanique).[article]
in Anesthésie & réanimation > vol.3 n°1 (janvier 2017) . - p.37-47
Titre : Hémorragie sous-arachnoïdienne anévrysmale Type de document : revue Auteurs : Gérard Audibert, Auteur ; Antoine Baumann, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.37-47 Langues : Français Mots-clés : HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
hydrocéphalie
ischémie cérébraleRésumé : Devant des signes cliniques d’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), le diagnostic positif est réalisé par une tomodensitométrie encéphalique sans injection.
Le diagnostic étiologique d’une HSA repose sur l’angioscanner cérébral qui permet d’identifier l’anévrysme et d’étudier ses rapports anatomiques avant traitement.
En phase aiguë, la réanimation de complications cardiovasculaires et/ou respiratoires ne doit pas retarder le traitement du sac anévrysmal de plus de 12 à 24heures.
La sécurisation du sac anévrysmal doit être réalisée le plus précocement possible, au mieux dans les 24 premières heures suivant l’admission.
Si elle est nécessaire, une dérivation ventriculaire externe doit être mise en place avant embolisation.
La principale complication après HSA est l’ischémie cérébrale retardée (ICR), qui reconnaît plusieurs étiologies, dont le vasospasme.
La détection du vasospasme repose sur l’examen clinique et sur la réalisation régulière de Doppler transcraniens.
Le diagnostic d’ICR repose sur une technique d’imagerie de la perfusion cérébrale, soit scanner de perfusion soit imagerie par résonance magnétique.
La prévention de l’ICR repose sur la nimodipine administrée par voie orale ou intraveineuse.
Le traitement de l’ICR repose sur le maintien d’une pression de perfusion cérébrale (PAM≥100mmHg) et la neuroradiologie interventionnelle (angioplastie médicamenteuse par milrinone ou mécanique).Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00030996 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Déficit ischémique secondaire et hémorragie méningée, un nouveau paradigme / Roman Mounier in Anesthésie & réanimation, vol.2 n°6 (décembre 2016)
[article] Déficit ischémique secondaire et hémorragie méningée, un nouveau paradigme [revue] / Roman Mounier, Auteur ; Mathieu Martin, Auteur ; Fabrice Cook, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.391-400.
Langues : Français
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°6 (décembre 2016) . - p.391-400
Mots-clés : cerveau
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
ischémie
physiopathologie
vasospasmeRésumé : Malgré l’amélioration de la prise en charge de l’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), l’ischémie cérébrale retardée (ICR) reste la principale cause de morbi-mortalité chez les patients survivants à l’hémorragie initiale. La physiopathologie exclusive du vasospasme conduisant à l’infarctus cérébral (IC) est en pleine évolution. Notre objectif était de diffuser ce nouveau paradigme. Banques de données Medline et Ovid avec les mots clés : hémorragie méningée, hémorragie sous-arachnoïdienne, vasospasme, vasospasme angiographique, vasospasme ultrasonique, déficit ischémique neurologique retardé, déficit ischémique retardé, vasoconstriction cérébrale, ischémie cérébrale retardée, infarctus cérébral ; recommandations d’experts ; chapitres d’ouvrage de référence. Le vasospasme angiographique et/ou ultrasonique, considéré comme seul responsable de l’IC, a focalisé toutes les attentions depuis 30ans. L’efficacité de la nimodipine sur le pronostic des patients souffrant d’HSA sans action sur le calibre des artères cérébrales et l’inefficacité sur le pronostic neurologique des antagonistes des récepteurs de l’endothéline (clazosentan) malgré de bons résultats angiographiques ont fragilisé une théorie univoque. D’autres mécanismes physiopathologiques désormais bien identifiés redéfinissent la place de la réduction de calibre vasculaire dans la survenue de l’ICR et de l’IC, au sein d’une pathogenèse aux mécanismes multiples. La réduction du calibre artériel n’est ni nécessaire, ni suffisante pour expliquer la survenue de l’ICR ou de l’IC. D’autres mécanismes, isolés ou en association, viennent s’ajouter au vasospasme comme cause d’IC. [article]
in Anesthésie & réanimation > vol.2 n°6 (décembre 2016) . - p.391-400
Titre : Déficit ischémique secondaire et hémorragie méningée, un nouveau paradigme Type de document : revue Auteurs : Roman Mounier, Auteur ; Mathieu Martin, Auteur ; Fabrice Cook, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.391-400 Langues : Français Mots-clés : cerveau
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
ischémie
physiopathologie
vasospasmeRésumé : Malgré l’amélioration de la prise en charge de l’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), l’ischémie cérébrale retardée (ICR) reste la principale cause de morbi-mortalité chez les patients survivants à l’hémorragie initiale. La physiopathologie exclusive du vasospasme conduisant à l’infarctus cérébral (IC) est en pleine évolution. Notre objectif était de diffuser ce nouveau paradigme. Banques de données Medline et Ovid avec les mots clés : hémorragie méningée, hémorragie sous-arachnoïdienne, vasospasme, vasospasme angiographique, vasospasme ultrasonique, déficit ischémique neurologique retardé, déficit ischémique retardé, vasoconstriction cérébrale, ischémie cérébrale retardée, infarctus cérébral ; recommandations d’experts ; chapitres d’ouvrage de référence. Le vasospasme angiographique et/ou ultrasonique, considéré comme seul responsable de l’IC, a focalisé toutes les attentions depuis 30ans. L’efficacité de la nimodipine sur le pronostic des patients souffrant d’HSA sans action sur le calibre des artères cérébrales et l’inefficacité sur le pronostic neurologique des antagonistes des récepteurs de l’endothéline (clazosentan) malgré de bons résultats angiographiques ont fragilisé une théorie univoque. D’autres mécanismes physiopathologiques désormais bien identifiés redéfinissent la place de la réduction de calibre vasculaire dans la survenue de l’ICR et de l’IC, au sein d’une pathogenèse aux mécanismes multiples. La réduction du calibre artériel n’est ni nécessaire, ni suffisante pour expliquer la survenue de l’ICR ou de l’IC. D’autres mécanismes, isolés ou en association, viennent s’ajouter au vasospasme comme cause d’IC. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00029862 Rev Revue Centre de documentation Archive Disponible Comment je fais : une imagerie pour une céphalée en coup de tonnerre / Béatrice Kerleroux in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle, vol.3 n°3 (juin 2020)
[article] Comment je fais : une imagerie pour une céphalée en coup de tonnerre [revue] / Béatrice Kerleroux, Auteur ; Grégoire Boulouis, Auteur ; C. Oppenheim, Auteur ; C. Boutet, Auteur . - 2020 . - p.181-185.
Langues : Français
in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.3 n°3 (juin 2020) . - p.181-185
Mots-clés : anévrisme
céphalée
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
neuroradiologieRésumé : L’imagerie cérébrale joue un rôle majeur en présence d’une symptomatologie neurologique aiguë, en permettant notamment le diagnostic des pathologies neuro-vasculaires pour lesquelles on dispose de thérapeutiques spécifiques à la phase aiguë permettant de diminuer la morbidité et le handicap. Nous décrivons ici les principales pathologies à rechercher et le bilan d’imagerie à réaliser devant une céphalée en coup de tonnerre. [article]
in Journal d'imagerie diagnostique et interventionnelle > vol.3 n°3 (juin 2020) . - p.181-185
Titre : Comment je fais : une imagerie pour une céphalée en coup de tonnerre Type de document : revue Auteurs : Béatrice Kerleroux, Auteur ; Grégoire Boulouis, Auteur ; C. Oppenheim, Auteur ; C. Boutet, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.181-185 Langues : Français Mots-clés : anévrisme
céphalée
HSA hémorragie sous-arachnoïdienne
neuroradiologieRésumé : L’imagerie cérébrale joue un rôle majeur en présence d’une symptomatologie neurologique aiguë, en permettant notamment le diagnostic des pathologies neuro-vasculaires pour lesquelles on dispose de thérapeutiques spécifiques à la phase aiguë permettant de diminuer la morbidité et le handicap. Nous décrivons ici les principales pathologies à rechercher et le bilan d’imagerie à réaliser devant une céphalée en coup de tonnerre. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00034383 Rev Revue Centre de documentation Présentoir Disponible 12/ 20 L’hémorragie sous-arachnoïdienne non traumatique / Constantin Moraru in Soins gérontologie, vol.21 n°120 (juillet août 2016)
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