[article] Pathologies utérines : pas si élémentaire… Certitudes, doutes et pièges diagnostiques [revue] / Lise Mezzetta, Auteur ; Alexandra Rubini, Auteur ; Camille Bourillon, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p.62-79. Langues : Français in Imagerie de la Femme > vol.27 n°2 (juin 2017) . - p.62-79 Mots-clés : | cancer du col utérin échographie hystérosonographie IRM imagerie par résonance magnétique utérus
| Résumé : | Qu’elles soient d’origine endométriale, myométriale ou cervicale, les pathologies utérines sont identifiées et analysées grâce à l’imagerie. Sans remplacer l’anapathologiste, les progrès techniques dont ont bénéficié l’échographie et l’IRM permettent avec précision de localiser, différencier, et caractériser les lésions bénignes et malignes de l’utérus, ainsi que les malformations utérines. L’imagerie est cependant limitée dans plusieurs situations, telles que la caractérisation de lésions atypiques myométriales, la distinction entre les tumeurs de haut ou de bas grade, certaines malformations utérines et chez les patientes dont le morphotype ou l’imprégnation œstrogénique est défavorable pour une imagerie de qualité. Le but de cet exposé est d’essayer de prévenir les pièges de l’imagerie en utilisant les séquences les plus pertinentes en IRM, notamment la séquence T2 tridimensionnelle, de développer l’échographie tridimensionnelle et avec hystérosonographie pour l’étude de la cavité endométriale. Certaines pathologies restent néanmoins un défi pour l’imagerie qui montre alors ses limites. |
[article] in Imagerie de la Femme > vol.27 n°2 (juin 2017) . - p.62-79 Titre : | Pathologies utérines : pas si élémentaire… Certitudes, doutes et pièges diagnostiques | Type de document : | revue | Auteurs : | Lise Mezzetta, Auteur ; Alexandra Rubini, Auteur ; Camille Bourillon, Auteur ; et al., Auteur | Année de publication : | 2017 | Article en page(s) : | p.62-79 | Langues : | Français | Mots-clés : | cancer du col utérin échographie hystérosonographie IRM imagerie par résonance magnétique utérus
| Résumé : | Qu’elles soient d’origine endométriale, myométriale ou cervicale, les pathologies utérines sont identifiées et analysées grâce à l’imagerie. Sans remplacer l’anapathologiste, les progrès techniques dont ont bénéficié l’échographie et l’IRM permettent avec précision de localiser, différencier, et caractériser les lésions bénignes et malignes de l’utérus, ainsi que les malformations utérines. L’imagerie est cependant limitée dans plusieurs situations, telles que la caractérisation de lésions atypiques myométriales, la distinction entre les tumeurs de haut ou de bas grade, certaines malformations utérines et chez les patientes dont le morphotype ou l’imprégnation œstrogénique est défavorable pour une imagerie de qualité. Le but de cet exposé est d’essayer de prévenir les pièges de l’imagerie en utilisant les séquences les plus pertinentes en IRM, notamment la séquence T2 tridimensionnelle, de développer l’échographie tridimensionnelle et avec hystérosonographie pour l’étude de la cavité endométriale. Certaines pathologies restent néanmoins un défi pour l’imagerie qui montre alors ses limites. |
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